Rendant toujours plus probable l’authenticité de l’holocauste, les flics ne trouvent rien d’antisémite dans le meurtre de la vieille Knoll

Captain Harlock
Démocratie Participative
03 octobre 2018

Vous vous rappelez du meurtre antisémite de Mireille Knoll ? Outre que cela n’a jamais été un meurtre antisémite, nous apprenons qu’en effet, ce n’est pas un meurtre antisémite.

Le Parisien :

Après six mois d’enquête, le meurtre de Mireille Knoll demeure nimbé de mystère. Deux suspects, les seuls présents dans l’appartement parisien de l’octogénaire au moment du crime, restent mis en examen pour « homicide volontaire à raison de l’appartenance de la victime à une religion » : Yacine M. et Alex C., deux amis rencontrés en prison qui se rejettent mutuellement la responsabilité des coups de couteau.

Six mois d’enquête.

Six mois à mobiliser un nombre invraisemblable de policiers pour retourner la dernière plinthe du dernier appartement de ce quartier.

Tout ça pour s’entendre dire, « ouais, c’est mystérieux, c’est un genre de mystère, on sait pas trop, c’est antisémite mais c’est mystérieux. »

Si le mobile antisémite ne fait aucun doute pour les enfants de la retraitée, les enquêteurs du 2e district de la police judiciaire de Paris ont mené d’importantes investigations pour l’étayer. Sans grand succès jusqu’ici. Le 4 juillet, ils ont mené une enquête de voisinage d’un genre particulier dans l’immeuble HLM de l’avenue Philippe-Auguste (Paris XIe), où vivaient Mireille Knoll et Yacine M., ainsi que dans les résidences voisines. Objet des questions ? « Le bien vivre-ensemble, les problèmes liés au racisme et l’antisémitisme pouvant exister ». Presque l’intitulé d’une étude de sociologie.

Ces flics sont là, depuis six mois, avec un ordre du jour impératif donné par leurs commissaires politiques juifs : créditer cette histoire de pogrom.

Sauf qu’il n’y en a pas, pas plus qu’il n’y a de violences antisémites en France.

L’antisémitisme en France n’a qu’une seule forme : dire la vérité.

Les flics savent parfaitement qu’il n’y a rien à trouver.

En ce moment, les discussions autour des machines à café de la PJ doivent ressembler à celles du temps de la Tchéka, à la Loubianka.

Quelqu’un va devoir signer le rapport adressé au Commissaire du Peuple Juifenstein qui va dire, en synthèse, la formule, « #onarientrouvé #cépasmafaute #nioublinipardon ».

Je compatis avec ces flics qui sont désormais des Nazis par défaut.

Le mieux, c’est encore de tirer à la courte paille pour savoir qui va avoir sa carrière détruite pour n’avoir pas su monter un dossier conforme aux attentes des juifs du ministère de l’Intérieur.

C’est la méthode la plus réglo.

Pas moins de 87 personnes ont été interrogées. « Aucune ne nous faisait part de problèmes liés à la présence dans la résidence de différentes communautés religieuses ou de familles d’origines géographiques différentes, rapportent les policiers dans leur synthèse. Au contraire, toutes s’accordaient à dire qu’il faisait plutôt bon vivre dans le quartier. »

Le plus ancien locataire, arrivé en 1969, explique n’avoir jamais entendu Yacine M., accusé par son complice d’avoir crié « Allah Akbar » lors du meurtre, « dire quoi que ce soit sur la communauté juive ». Un autre décrit une « résidence calme, sans histoires ». Une quête avait même été organisée dans l’immeuble après la mort de la sœur de Yacine M.

Seul un voisin évoque des incidents, mineurs : le jeune homme de 28 ans aurait jeté des bouteilles sur des passants et refusé de payer une barquette de frites dans un kebab du quartier… En outre, lors d’un transport dans l’appartement de la retraitée cet été, les juges d’instruction n’ont retrouvé que de rares objets religieux : un pendentif représentant un chandelier à sept branches, une statuette avec des inscriptions hébraïques…

Je les admire. Ils ont quand même été jusqu’à recenser les barquettes de frites renversées dans les kebabs.

Les kebabs antisémites.

On dira ce qu’on voudra, la tyrannie juive sait donner de l’allant à ses fonctionnaires.

Enfin, quand les juifs sont concernés. Sinon, vous, démerdez-vous.

Au reste, on voit aussi que la folie juive, une fois les juifs au pouvoir, devient la norme dans un état sémitisé. Ce genre de sketchs qui aurait fait rire n’importe qui il y a quelques décennies est maintenant pris avec le plus grand sérieux par les grands corps de l’Etat.

Laisser cette secte de fanatiques et de détraqués s’emparer du gouvernement ne pouvait que se terminer ainsi.

En revanche, l’instruction a révélé la personnalité agitée des deux suspects. Le jour du crime, Yacine M. s’est livré à deux canulars en appelant le 112 avec le téléphone de Mireille Knoll. Prétendant être « militaire à Levallois-Perret », il a déclaré à l’opérateur : « Pas trop de feu, pas trop d’incendie ». Troublant alors que les suspects ont déclenché un feu dans l’appartement de la retraitée après le meurtre.

Interrogée, la responsable d’une association de réinsertion pour les ex-détenus raconte que Yacine M. avait prétendu une fois « être fiché S », et qu’il disait être suivi par un psychiatre et un addictologue pour sa consommation excessive d’alcool. Contacté, son avocat n’a pas souhaité faire de commentaires.

Voilà, le djihadiste alcoolique antisémite.

Un profil qui colle.

De son côté, Alex C., qui était sous curatelle, est soumis à un lourd traitement médicamenteux en détention. En six mois, il a tenté de se suicider à trois reprises, en se scarifiant et en mettant le feu à son lit. « J’ai voulu faire ça car j’ai du mal à dormir, a-t-il expliqué aux juges en septembre. Je vois encore la scène qui s’est passée au moment des faits. »

« Notre client, dont l’état de santé se dégrade, subit tous les jours l’hostilité du monde carcéral en raison de l’ampleur du dossier », regrettent ses avocats, Me. Karim Laouafi et Merabi Murgulia. Vendredi, les juges d’instruction ont mandaté un expert psychiatre pour ausculter les deux suspects. Parmi ses missions, outre évaluer l’éventuelle présence « d’anomalies mentales » : « Dire si l’infraction reprochée aux sujets est en relation avec des éléments biographiques des intéressés. » En clair… dire s’ils sont antisémites.

Ces deux désoeuvrés vont être les victimes de la folie hébraïque ad vitam aeternam.

Le meurtre est devenu totalement anecdotique dans cette affaire : ce qui importe pour ce gouvernement juif, c’est l’antisémitisme.

C’est-à-dire le défi à l’égard de la tyrannie juive. Toute forme de défiance, petite ou grande.

Et tous les partis juifs ont foncé comme un seul homme.

Cette tyrannie a dépeint ces deux paumés aux masses, grâce à sa presse, comme les architectes d’un pogrom. Quand la vérité éclatera sur cette affaire, le pouvoir juif subira le plus grand revers politique depuis 1945 en France.

L’anti Affaire Dreyfus. Non pas que Dreyfus fût innocent, je parle ici en termes d’exploitation politique juive.

L’effondrement de cette pseudo « Affaire Knoll » symbolisera, comme jamais auparavant, en quoi cette histoire de « violences antisémites » est une vaste conspiration et qu’elle n’est que le masque de la conjuration juive pour s’emparer du contrôle intégral de l’Etat.

Les gens découvriront ce que nous savons tous : lorsque les juifs veulent accroître encore leur main mise sur un état, ils se présentent en victimes de nouvelles persécutions de la part des autochtones. Justifiant a priori leurs propres crimes contre eux.

Chaque fois que les juifs viennent hurler au pogrom devant les caméras, c’est l’annonce d’un renforcement brutal de l’étau sémitique sur le gouvernement. Ce qui entraîne immédiatement des persécutions, très réelles celles-là, contre les patriotes qui résistent à la prédation hébraïque.

La plus grande erreur des juifs

Les juifs, en ayant tout misé sur cette affaire, ont commis une grave erreur. Ils ont une nouvelle fois péché par arrogance.

Quand cette affaire s’écroulera sur elle-même, les juifs et les partis juifs seront totalement discrédités, passant pour ce qu’ils sont réellement : des conjurés et des traîtres.

L’Etat Français n’étant pas encore totalement bolchevisé, il est impossible pour ces juifs de simplement décréter coupables X ou Y d’antisémitisme sans aucun élément tangible. Il faut, a minima, un mot pour que leur tribunal rabbinique puisse agir. Si l’un de ces deux accusés avait au moins écrit une phrase ambiguë sur Facebook, cela aurait suffi à boucler le dossier antisémite.

Mais il n’y en a même pas une.

Il ne reste plus qu’une alternative aux juifs : assumer totalement la judéo-bolchevisation de l’Etat, c’est-à-dire l’abolition des derniers principes de la justice encore en vigueur pour les remplacer par le pouvoir juif souverain où le monarque hébraïque décrète qui est coupable, sans qu’aucune preuve ne soit nécessaire.

C’est une victoire car tout ce qui pousse le juif à sortir de l’ombre est un pas décisif vers la défaite du juif grâce aux progrès de l’antisémitisme dans les masses.