Réfugié à Deauville pour échapper à l’antisémitisme digital, le journaliste juif Guy Birenbaum continue de gémir sa rancoeur contre les goyim

La rédaction
Démocratie Participative
16 février 2023

Le juif Birenbaum a pris un sérieux coup de vieux sous l’effet de la jovialité des Nazis

Aujourd’hui, nous passons en revue les effets positifs de Democratie Participative sur le débat public français avec l’histoire de Guy Birenbaum, un empoisonneur juif dont la vie a été ruinée par la résistance contresémite.

Birenbaum est désormais en Normandie, forcément à Deauville, le shtetl français, dissimulé avec son or.

L’article de complaisance d’Ouest-France est payant. On n’y perd rien. Cela doit être une série de gémissements sur fond d’anecdotes sans intérêt, mais le début donne bien le ton.

Ouest-France :

Pionnier du Web, Guy Birenbaum fut accro aux réseaux sociaux avant de tomber en dépression. Dix ans plus tard, l’ancien chroniqueur radio hyperactif revient avec un livre de souvenirs écrit dans son refuge normand.

Le matin, quand il est à Trouville, Guy Birenbaum enfile le ciré et les bottes pour se rendre sur la plage avec son chien, un berger australien de 35 kg, où il ramasse des débris de porcelaine rejetés par la mer. Les morceaux de céramique s’empileront dans sa maison de pêcheur où ils seront patiemment triés et expertisés en famille.

Guy Birenbaum n’est plus le même homme. On l’avait connu hyperactif, touche-à-tout et même dézingueur. Pionnier du Web, il était devenu l’un des plus fins connaisseurs des réseaux sociaux. Blogueur, chroniqueur radio, polémiste, il intervenait à tout bout de champ, donnant son avis sur tout, distribuant « des clics et des claques », titre de son émission sur Europe 1.

Un jour, il a craqué. Surmenage, burn out. Guy Birenbaum a expérimenté à ses dépens la violence des réseaux sociaux : « Un matin, j’ai été incapable de me lever. Branché en permanence sur le Web, j’ai absorbé comme une éponge l’antisémitisme et la violence de l’époque​, expliquait-il, en 2015, dans un livre, Vous m’avez manqué (Les Arènes), où il faisait le récit de sa dépression.

Depuis, il s’est (un peu) déconnecté. Il a supprimé les alertes et les notifications sur son smartphone. Aujourd’hui, il s’est mis en retrait, partageant son temps entre Clamart (Hauts-de-Seine) et la Côte fleurie, où il préside le club de tennis de Deauville. Inactif depuis qu’il été licencié d’Europe 1, juste avant le Covid, il a pris le temps de rassembler ses souvenirs dans un livre qui a le goût du diabolo menthe, Toutes les histoires sont vraies…

Le juif Birenbaum a mal supporté le fait d’être désigné publiquement comme juif.

Face à l’antisémitisme et malgré ses tentatives de lâcher prise, le juif Birenbaum ploie sous le poids de l’âge et de l’usure.

Par une projection typiquement sémitique, il avait appelé sa dépression juive une dépression « vronzaise ».

Le besoin pathologique du juif de s’approprier les pays des autres est légendaire. Il pose partout les pieds sous la table, s’adressant aux autochtones comme à leurs valets de pieds. Quand l’indigène l’avise et lui rappelle qu’il est un juif de fraîche infiltration, l’hébreu défaille complètement. La puissance juive ne repose que sur les airs d’autorité et le culot avec lesquels le juif se met d’emblée à distribuer ses consignes aux goyim après avoir débarqué quelque part. Il compte sur la sidération du goy pour que sa domination soit accueillie comme allant d’elle-même.

Un rejet brutal et immédiat fait s’effondrer tous ses rêves d’accaparement. Ne reste que l’avorton de Judée, esseulé, face à un bloc sur lequel il n’a pas de prise. Le souvenir amer du pogrom traverse instantanément sa cervelle. La cervelle du juif n’est qu’un champignon gluant réchappé de dix mille révoltes contre son parasitisme.

Le juif mime l’humanité, mais il n’est qu’un truqueur. Il ne diffère pas de ces entités biologiques qui semblent n’exister que pour plonger les autres créatures dans la misère.

Regardez ce court reportage, toute la question juive y est résumée en moins de deux minutes :

Le contresémitisme est la résistance du système immunitaire du peuple autochtone à l’action parasitaire et destructrice du juif. Le contresémitisme est le prérequis moral de toute action politique qui se donne pour but de préserver et développer les forces de vie au sein d’un peuple.

Lorsque quelqu’un refuse de lutter contre le juif, il signe non seulement sa faiblesse dans la lutte pour la survie, mais accélère puissamment l’action dissolvante du juif contre son peuple. Il n’y a rien de plus immoral que la bienveillance à l’égard du juif.

Le secret, avec ces juifs toxiques, c’est de rendre toxique le terreau sur lequel il prospère. Pour cela, favoriser un antisémitisme d’ambiance est la première des choses à réaliser, avec patience. Le juif ne doit respirer que des bouffées d’air rendu irrespirable par l’antisémitisme.

L’antisémitisme fonctionne comme fonctionne le marché : tendance haussière, tendance baissière. Nous sortons progressivement du plus terrible bear market de l’histoire de l’antisémitisme. Avec l’avènement de la décennie 2030, nous verrons le plus extraordinaire marché haussier de l’histoire de l’antisémitisme.

Nous sommes à la veille d’un renversement de tendance spectaculaire.

Ces juifs nous prennent de haut, s’étouffent d’imprécations contre nous, mobilisent leur presse pour s’en prendre à ceux qui refusent de céder à leur terreur. Toutefois, quiconque à deux sous de mémoire constate l’explosion exponentielle de l’antisémitisme.

Tous ces juifs sont agrippés à l’État français comme des naufragés à un radeau, gémissant leur exhibitionnisme tribal sans aucune retenue.

Même Macron s’épargne de participer au dîner du CRIF. Si cette prise de distance signifie quelque chose, c’est bien que les réactions populaires virulentes contre la juiverie vociférante sont devenues un fait politique qui doit être pris en compte par l’État. Non pas que Macron ou que cette république soient moins inféodés à la juiverie, mais la participation de Macron aggrave l’hostilité à l’endroit de la race juive au lieu de la dompter. On sait que les juifs ont perdu quand, tentant de riposter pour défendre leur position raciale dans une société, ils aggravent la virulence de l’opposition qui leur est faite.

Le juif Birenbaum semble au moins un tout petit lucide sur la gravité de leur situation qui est, et j’insiste, irréversible.

La parenthèse juive de l’histoire occidentale se referme sous nos yeux. Le futur est rayonnant.

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