Rallié aux antifas après avoir été amputé d’une main, l’ex Gilet Jaune Boudinet veut revoter Macron pour stopper le fascisme

Captain Harlock
Démocratie Participative
20 avril 2022

 

Le mouvement des Gilets Jaunes a duré deux mois, de novembre 2018 à décembre 2018.

Il était essentiellement périurbain, ce qui était bien illustré par la concentration des participants sur les ronds-points, très éloignés des grands centres urbains écolo-boboïsés. Forcément, puisque le mouvement s’opposait aux taxes sur l’essence voulues par le système dans le cadre du Great Reset réchauffiste.

Sentant l’opportunité, la petite bourgeoisie issue de la fonction publique votant Mélenchon a monté des manifestations bidon dans les grands centres urbains pour aller se plaindre auprès des macronistes pour lesquels leur boss appelle à présent à voter.

Quand le peuple a obtenu gain de cause sur les taxes, ils sont restés seuls dans les villes pour récupérer le mouvement.

Ces gens-là ne voulaient pas moins d’impôts, mais plus d’impôts puisque ces parasites étatistes dépendent de la dépense publique pour vivre.

L’opposition factice Mélenchon/Macron a permis de temporiser ensuite.

Le truc est devenu complètement grotesque quand les deux frères du Grand Orient se sont croisés à Marseille et que Mélenchon s’est montré déférent et doux comme une chatte aux pieds de Macron.

L’arrivée du Covid a par la suite convaincu 90% des gens qu’ils allaient décéder du rhume fabriqué par Bill Gates dans les six mois. Ils ont oublié les impôts, les taxes, l’invasion du tiers-monde, l’islam invasif.

Ils ont tous mis des masques et se sont faits piquer trois fois.

Depuis, Vladimir Poutine a guéri le monde du Covid19.

Ce qui, à défaut d’un Prix Nobel de la Paix, devrait lui valoir un Prix Nobel de Médecine.

Avec la fin de la campagne présidentielle, les gauches sont sortis d’hibernation pour à nouveau en vouloir à Macron – le temps de faire le plein de voix.

Mais les gauchistes sont des gens disciplinés sur un nombre très limités de points, dont celui du soutien inconditionnel à la grande bourgeoisie cosmopolite face à la colère paysanne.

Marine Le Pen est arrivée en tête dans plus de 20,000 communes en France, massacrées par le turbo-globalisme macroniste.

Avant, le FN en tête au premier tour :

Maintenant :

Un observateur lambda en concluerait que « logiquement » les mélenchonistes devraient soutenir cette population marginalisée par l’Etat Français et sa clique dirigeante.

C’est ne pas voir que les disputes entre mélenchonistes et macronistes sont des disputes de famille. C’est une embrouille de factures, pas une question existentielle.

C’est pour cela que les éléments antifas et urbains de la fonction publique mélenchoniste entrent en action : ils sont solidaires culturellement et socialement de leurs voisins friqués macronistes qui habitent à un ou deux kilomètres de chez eux, pas des paysans fascistes.

Le chef des antifas lyonnais donne le ton.

Tous les antifas, sans exception aucune, sont pétrifiés devant un seul juif.

Mettez leur un juif sous le nez et ils demandent les ordres.

C’est fascinant.

Ensuite vient le Boudinet, l’estropié trotskiste de Bordeaux élu conseiller municipal avec la bande de Besancenot et de sa marionnette Poutou.

Il a perdu une main, il est chaud pour perdre la deuxième. Il craint que Marine Le Pen ne lui fasse perdre la troisième.

Pour une victime du globalisme total, voter Marine Le Pen ne pose aucun problème de conscience, à l’évidence. Pour la petite bourgeoisie de gauche, c’est un péché qu’elle peut s’offrir car elle sait qu’elle n’a rien à craindre du système.

On s’amuse au premier tour, on soutient le régime au second, on repart pour cinq ans de jeu de rôle marxiste.

Le populo, lui, vote Marine Le Pen – quand il décide d’aller voter.

Les braillards rouges sont les chiens de la bourgeoisie. Ils l’ont toujours été et le seront toujours. Cela n’a rien de nouveau.

Ceci dit, leur dolorisme est presque illimité. Ils adorent souffrir jusqu’à l’extrême pour empêcher qu’un sursaut vital ne traverse la population blanche.

J’espère que la prochaine fois les flics amputeront Boudinet de sa tête, qui ne lui sert à rien.

Et encore une fois, en ce jour saint, Heil Hitler !

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