Raflant un salaire à 6 chiffres par mois, une nana de 21 ans lâche son boulot d’opticienne pour littéralement devenir une chienne sur le net

Captain Harlock
Démocratie Participative
17 juillet 2020

Suivez-moi dans cette promenade le long de la rivière qui borde l’entrée des Enfers de la démocratie juive.

The Daily Star :

Une femme a tourné le dos à sa carrière d’opticienne pour vivre comme chienne à plein temps.

Jenna Phillips, 21 ans, originaire du Texas (États-Unis), se fait un salaire à 6 chiffres par mois grâce à ses « numéros » sur le site d’abonnement pour adultes OnlyFans. Lorsqu’elle était enfant, Jeanne aimait faire semblant d’être un chiot, se roulait, allait chercher des balles et aimait recevoir des félicitations comme une « bonne fille ».

Pendant ses deux années de travail dans le domaine des soins oculaires, Jenna a ouvert un compte sur lequel elle a publié du « contenu vanille » pendant les 18 premiers mois. Ce n’est que lorsqu’elle a rencontré deux hommes à Chicago qui lui ont parlé de « scènes de jeux d’animaux » qu’elle a décidé d’en savoir plus.

« Je me sens comme un chienne. Je veux me rouler, jouer à aller chercher, me faire gratter la tête, courir et jouer. Tout ça. J’ai toujours agi comme un chiot mais pas de manière sexuelle au début. Je faisais semblant d’être un chiot quand j’étais petite. En y repensant maintenant, ça a en quelque sorte toujours été là. Je ne savais pas qu’il y avait une scène, je pensais juste que c’était ma personnalité. Quand il s’agit de jeux d’animaux, la majorité des filles font des chatons, des renards ou des lapins et la majorité des chiots sont des hommes. J’ai longtemps réfléchi après m’être mise aux jeux d’animaux la première fois. Je me sens comme un chien [donc c’est ce que j’ai décidé d’être]. »

Le compte de Jenna a vraiment décollé quand elle a commencé à télécharger des vidéos de jeux d’animaux plus pervers sous le nom de « thatpuppygirl ». Aujourd’hui, elle fait payer à ses fans 16 £ (20 $) par mois pour s’abonner à son contenu OnlyFans non censuré où elle court après des balles, se promène en laisse et prend des bains nus.

Elle ajoute : « Avant, OnlyFans n’était qu’un passe-temps, mais je ne faisais que des trucs « vanille ». J’ai alors réalisé qu’il n’y avait pas vraiment de marché pour les « chiots » féminins. C’est maintenant mon travail à plein temps. Mes revenus ont été multipliés par 100 depuis que je suis passé au contenu de jeux pour chiots. Je gagne un revenu mensuel à six chiffres.« 

La majorité de ses revenus proviennent de personnes qui demandent des vidéos personnalisées, un fan payant la somme impressionnante de 1 000 £ (1 200 $) pour une seule séquence.

Bien qu’elle soit prête à faire de gros efforts pour satisfaire ses fans, Jenna a clairement indiqué que certaines choses sont interdites. Elle explique : « Certaines demandes vont un peu trop loin. Des gens m’ont demandé de filmer avec un vrai chien et j’ai dit non immédiatement. Il n’y a pas d’animaux dans mon film et il n’y en aura jamais. Mais j’essaie de comprendre d’où viennent les gens avec leurs pratiques sexuelles déviantes. Je sais que beaucoup de gens me diraient que ma propre pratique est folle alors j’essaie de ne pas porter de jugement. J’aime aussi en apprendre plus sur les déviances. C’est mon style de vie 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Même quand je ne suis pas devant la caméra et en public, j’aime qu’on me tienne en laisse. Je n’ai jamais eu de contrecoup dans la vie réelle. Cela n’arrive qu’en ligne ».

Ce truc donne le vertige.  La première chose à dire, c’est que ce phénomène n’est pas du tout le résultat d’une explosion de la prostitution réelle. Les gens n’ont pas plus de relations sexuelles qu’avant. Au contraire, ce phénomène devient endémique parce que de nombreux mecs n’ont plus accès aux femmes comme c’était le cas lorsque le mariage unique était la norme et que tout le monde était marié à 25 ans.

Vous avez des millions et des millions de gars qui ont été balayés par la libéralisation du marché sexuel, tout comme la fermeture du charbonnage a laissé sur le carreau des tas de mineurs dans l’est et le nord de la France.

Ces millions de mecs sans gonzesses ont un salaire et du temps libre mais ne trouve pas de matériel de qualité décente à consommer sur la durée. Aucune maison close facile d’accès n’existe près de chez eux ou, lorsqu’il y en a, elles sont trop peu nombreuses pour satisfaire la demande avec l’inévitable conséquence sur les tarifs.

Donc ces gars affamés sont en suspension sur le net, avec une CB et un Paypal.

Ce n’était qu’une question de temps pour que des sites intégralement dédiés aux putes virtuelles n’émergent mais la grande différence entre ça et le bordel d’antan, c’est que le client n’a rien en échange de son fric. C’est le même principe que les bars à hôtesses où les clients crament leur blé en boissons mais c’est encore pire parce qu’au moins dans un bar les clients peuvent boire.

Ici, rien. Et c’est à l’échelle industrielle.

Cette traînée de 21 ans peut traiter des dizaines et des dizaines de clients par jour sans se fatiguer et elle n’a aucune espèce de raisons de craindre de répercussions dans sa vie réelle car il n’y en a tout simplement pas. La société ne culpabilise plus les traînées. Avec un tel boulevard, tout est absolument permis aux pires garces. C’est aussi et surtout la dernière manifestation de la cruauté illimitée dont peuvent faire preuve les traînées en Occident. Personnellement, j’assimile ça à de la torture. De la torture psychologique sur fond d’escroquerie. C’est un business model qui repose sur l’exploitation à outrance des dysfonctionnements sexuels qu’entraîne cette société féministe chez les mecs réduits en esclavage par la démocratie de marché.

Le féminisme ne paie pas

Pour en revenir à cette opticienne devenue une « chienne virtuelle », le truc le plus important à retenir c’est que le féminisme ne ramène pas de shekels et que cette pute le sait et l’accepte sans sourciller. Pas de rébellion ou d’insoumission : elle est explicitement prête à faire pratiquement n’importe quoi contre de l’argent.

Si vous allez sur Onlyfans pour voir de quoi il retourne, vous verrez que les femmes obèses à cheveux bleus n’existent pour ainsi dire pas. Ou, plus exactement, s’il y en a, elles ne génèrent pas de vues ni de profits. En revanche, vous trouverez des tas de femmes féminines, minces, sans tatouages, généralement européennes, hispaniques ou asiatiques. Ce sont ces nanas-là qui génèrent le plus d’argent, pas les boudins intersectionnels.

La sexualisation volontaire et tarifée de leurs corps par les traînées qui a été rendue possible par le féminisme aboutit paradoxalement à une hyper compétition qui ne laisse aucune chance aux thons progressistes ou aux connasses féministes.

C’est un truc qui mérite d’être médité, si vous voulez mon avis.

Les femmes recherchent l’attention, uniquement et exclusivement

Par définition, le concept de ce site repose sur le fait pour une femme de savoir attirer l’attention d’un mec dans l’espoir de le faire payer en échange de l’accès virtuel à son corps.

Mais ces nanas ne sont pas seulement sur ces sites pour faire du fric mais également pour obtenir la gratification émotionnelle de l’attention masculine. Tout comme les poufs sont prêtes à tout pour obtenir des « j’aime » sur Insta, ces garces sont encore plus déterminées à capter le regard de milliers et de milliers d’hommes, surtout lorsqu’elles se savent en compétition avec d’autres nanas potentiellement plus belles qu’elles. Le fait est que sur ces sites, un client est un client. Qu’il soit beau ou non n’a aucune importance puisqu’il n’est qu’un pseudo. C’est donc le nombre de mecs qui est le critère déterminant pour ces traînées et elles seront prêtes à tout pour obtenir l’attention du plus grand nombre d’hommes.

C’en est au point où certaines d’entre elles ont des godes qui vibrent à chaque fois qu’elle reçoive un pourboire en live. Parfois jusqu’à atteindre l’orgasme au son du fric qui tombe sur leur compte.

A l’évidence, ce qui est vrai sur ce type de sites est vrai dans la vie quotidienne, pour peu que les conditions soient réunies à un instant T.

L’aspect positif

Il y a cependant un aspect positif pour les mecs dans tout ça, aussi glauque que ce soit. Ce système qui repose sur le fric ne permet pas à des pétasses de jouer indéfiniment avec des types qui s’impatientent parce qu’elles ne montrent rien ou trop lentement en dépit des pourboires qu’elles touchent.

Le principe reste le donnant/donnant.

Si elles traînent trop, les types peuvent rapidement choisir une autre gonzesse, plus belle et plus légère. A force de voir des nanas toujours mieux foutues et toujours plus faciles, les mecs apprennent à développer une sorte de satisfaction et deviennent totalement indifférents aux boudins narcissiques qui les snobent IRL. Il devient difficile pour les habitués de nanas virtuelles de se faire mener en bateau par une 5,5/10 qui compte sur la famine ambiante pour extorquer un maximum de blé à un pauvre gars en échange d’un très théorique bout de nichon. Typiquement, plus une gonzesse est moyenne physiquement, plus c’est une connasse inabordable, aussi bien physiquement que financièrement.

En fait, les nanas les plus belles sont souvent les plus faciles à choper pour peu qu’on soit suffisamment blasé et au fait de la psychologie féminine élémentaire. Cette réalité est encore plus marqué sur ce genre de sites puisque c’est systémique.

Donc voilà où nous en sommes avec les femmes libérées par le féminisme et une connexion internet.

Commentez l’article sur EELB