RACISME SANS PRÉCÉDENT : le monde s’arrête de tourner après qu’un arbitre roumain a dit qu’un noir était noir

Captain Harlock
Démocratie Participative
09 Décembre 2020

 

Y a-t-il un sport plus gay que le football ?

Sur la base du drama d’hier au Parc des Princes lors du match PSG/IBFK, je dirai que non.

Ces « surhommes » négroïdes s’effondrent émotionnellement parce qu’un arbitre roumain a parlé d’un noir en disant qu’il était noir en roumain. « Negru ». Un tel degré de fragilité n’existe chez aucune autre race.

Ce qui est factuel : ce noir est bel et bien noir. On dirait qu’on ne peut plus remarquer qu’un noir est noir, en Europe. Du moins, dans les stades de football. Ce sport est devenu une sorte de religion dédiée à l’adoration du nègre.

Bizarrement, les noirs vivent très mal le fait qu’on remarque leur couleur de peau bien qu’ils passent leur vie à nous dire qu’ils sont noirs. Les noirs considèrent que la plus grande réalisation de l’histoire du monde est le fait que leur peau soit noire.

Mais quand vous leur dites qu’ils sont noirs, ils réagissent comme vous réagiriez si vous aviez un micro pénis et que tout le monde vous disait dans les vestiaires du stade que vous avez un micro pénis.

Les noirs ne sont pas des intellectuels, ils gèrent leur frustration par le rapport de force direct. Il suffit de voir ce Webo s’agiter comme un primate à 2 centimètres du visage de cet arbitre pour voir que ces créatures négroïdes sont brutales et stupides.

Les noirs ont un énorme complexe d’infériorité racial qu’ils compensent par une agressivité débridée à l’égard des Blancs.

Les signes du complexe d’infériorité des races inférieures vis-à-vis des Blancs :

  • Elles rendent les Blancs coupables de leurs échecs
  • Elles ne supportent pas les avis des Blancs
  • La compétition raciale les dérange
  • Elles sont antisociales
  • Ce n’est jamais de leur faute
  • Elles n’aiment pas être corrigées par des Blancs

Jadis, nous dressions les noirs à la chicote quand ils oubliaient leur position dans l’échelle de l’évolution. Aujourd’hui, à cause de la démocratie juive, ils croient à l’égalité raciale, ce qui entraîne toujours plus d’incompréhensions à mesure que les noirs échouent socialement au sein des sociétés blanches.

Ils réagissent à cet échec systématique en vociférant comme des primates contre les Blancs, les sourcils froncés.

Leur capacité d’auto-critique est d’exactement zéro sur une échelle de un à cent.

L’égalitarisme racial et l’antiracisme entraînent toujours plus de tensions raciales parce que le nègre ne comprend pas pourquoi les médias juifs lui assurent qu’il est un surhomme alors qu’en pratique il est incapable de se situer ailleurs que tout en bas de l’échelle sociale.

Les nègres croient que cela s’explique par la théorie conspirationniste juive du « racisme systémique ». Selon cette théorie, les Blancs qui ont créé les pays blancs privent les noirs du droit naturel de diriger ces pays blancs parce qu’ils sont « racistes ».

En fait les noirs pensent que les Blancs leur ont volé les pays d’Europe.

Dans la vidéo suivante, cette femme spécialisée dans la puériculture vous dit tout ce qu’il faut savoir à propos des noirs. Elle ne parle pas des noirs en tant que tels mais des très jeunes enfants, ce qui correspond à l’âge mental de n’importe quel noir.

Elle résume toute la question raciale noir :

Nos enfants sont avant tout des êtres émotionnels… la partie rationnelle du cerveau de notre enfant est très peu développée… il est complètement envahi par ses émotions…

Les noirs, en raison de leur faible QI (70 environ) sont d’éternels enfants attardés.

Je ne recommande toutefois pas les solutions que cette femme propose, elles ne feraient qu’aggraver le caractère capricieux d’un noir.

La vidéo suivante permet d’affronter les crises que font les grands enfants que sont les noirs. Les noirs, conscients de leur infériorité, s’en prennent violemment aux Blancs pour les faire céder de la même façon qu’un enfant crise pour faire céder ses parents. C’est le même mécanisme.

La réponse est simple : il faut les laisser criser et les ignorer totalement. Ou les châtier.

Plus les Blancs réagissent en essayant de réconforter les noirs qui crisent, plus les noirs font de crises puisque les Blancs s’intéressent à eux en retour pour leur céder des trucs. Les émotions des noirs n’ont aucune valeur, s’y intéresser pour un Blanc n’a aucun sens. La seule chose qui a du sens à propos des noirs quand on est blanc, c’est de savoir comment dresser cette créature primitive.

Tout ce qui entraîne la confusion chez les noirs doit être proscrit. La supériorité raciale blanche doit être rappelée par les Blancs en toutes circonstances et, inversement, l’infériorité raciale des noirs doit être rappelée en toutes circonstances. A ce moment-là, les rapports commenceront à se réguler car les noirs ne pourront plus rien obtenir en se comportant comme des singes arrogants.

C’est aussi pour ça qu’il faut constamment bombarder les nègres du mot « nègre », pour les épuiser émotionnellement en leur signifiant que leurs émotions n’ont aucune valeur, donc qu’eux-mêmes n’ont aucune valeur. Une fois qu’ils comprennent qu’ils n’ont aucune valeur pour nous, ils n’ont plus rien à marchander. Le nègre reprend contact avec la réalité, pour son plus grand bien, et veille à ne pas déclencher la colère de l’homme blanc.

Commentez l’article sur EELB.su