Qu’est-ce que le Narbonoïde ?

Captain Harlock
Démocratie Participative
23 Avril 2020

 

Ces derniers temps, un thème revient très fréquemment dans les discussions de certaines franges de nos milieux, tantôt pour ironiser, tantôt pour polémiquer. Il s’agit de ces fameux « Narbonoïdes » évoqués par Louis-Ferdinand Céline.

Pour ceux qui ne sauraient pas exactement de quoi il retourne, certains extraits tirés de ses pamphlets éclaireront le novice.

L’Ecole des Cadavres :

« La France n’est latine que par hasard, par raccroc, par défaites, en réalité elle est celte, germanique pour les trois quarts. Le latinisme plaît beaucoup aux Méridionaux francs-maçons. Le latinisme, c’est tout près de la Grèce. La Grèce, c’est déjà de l’Orient. L’Orient, c’est tout près de la Loge ; La Loge c’est déjà du Juif. Le Juif, c’est déjà du nègre. Ainsi soit-il. La bougnoulisation du Blanc par persuasion latine, par promiscuité maçonnique. La France est aryenne, pas du tout juive, pas du tout nègre. La partie solide de la France, l’anti discoureuse, a toujours été la partie celte et germanique ; la partie qui se fait tuer, la partie qui produit, la partie qui travaille, la partie qui paie est celte et germanique. Dix départements du Nord paient autant d’impôts que tout le reste de la France. La partie non celtique de la France cause et pontifie. Elle donne au pays ses ministres, ses vénérables, ses congressistes hyper-sonores. C’est la partie vinasseuse de la République, la Méridionale, profiteuse, resquilleuse, politique, éloquente, creuse. »

Et encore, en novembre 1942 :

« Zone Sud, peuplée de bâtards méditerranéens, de Narbonoïdes dégénérés, de nervis, Félibres gâteux, parasites arabiques que la France aurait eu tout intérêt à jeter par-dessus bord. Au-dessous de la Loire, rien que pourriture, fainéantise, infect métissage négrifié. »

Sur le sujet, Maurice Barrès disait sur un ton tout aussi tranchant :

« Ces frivoles Méridionaux sont la cause vivante de l’avilissement des consciences, de l’abaissement moral et politique de la France. »

En résumé, dans le processus de dissolution raciale que traverse la France contemporaine, la partie méridionale du pays est parfois identifiée comme étant à l’avant-garde historique de ce mouvement.

Du moins si la thématique en question se limite effectivement aux Méridionaux, ce qui semble être de moins en moins le cas, le terme « narbonoïde » servant de plus en plus souvent à désigner tel ou tel bâtard improbable, fruit pourri de l’immigration récente.

Ce qu’exprime Céline, c’est que le Sud de la France raccroche presque contre son gré la France du Nord à la Méditerranée, laquelle a comme principal défaut, au moins sur son rivage sud, d’être peuplée d’un salmigondis de races médiocres où, depuis des millénaires, les peuples vont s’éteindre. Et ainsi, par aimantation, la partie aryenne de la France subirait une mortelle influence raciale par son flanc sud.

Le problème mal posé dès l’origine

Chacun raisonne dans le strict cadre de l’état-nation hérité du 19ème siècle, c’est-à-dire sur la base d’un cadastre administratif, pour déterminer si oui ou non « la France » est plutôt de telle ou telle coloration ethnique, culturelle ou phénotypique.Ce n’est pas le bon niveau d’analyse quand on parle de race.

La France n’a jamais été historiquement un objet stable. Elle a eu pour politique constante, ces 5 derniers siècles, d’agrandir ses marches orientales au détriment du Saint-Empire germanique. Une large part de ce que chacun considère comme un territoire français depuis l’aube des temps n’est en réalité que le fruit de changements de frontières récents au regard de l’histoire longue.

Cette politique d’expansion était le fruit d’une guerre fratricide entre grands féodaux germaniques depuis la partition de l’empire à Verdun, en 843.

Ironiquement, les régions germaniques et les régions historiquement les plus « latinisées » ont donc intégré le royaume de France à la faveur du même mouvement général. Ce qui a contribué à accroître l’hétérogénéité – relative – de l’ensemble.

L’histoire raciale n’est pas l’histoire nationale. La France comporte en son sein, comme tous les états européens, différents sous-types raciaux du même grand groupe aryen. A ces sous-groupes s’ajoutent des groupes ethno-culturels.

En d’autres termes, la raciologie se joue des frontières politiques.

Il est indubitable que les différences linguistiques et culturelles entre le Sud et le Nord de la France s’expliquent par une exposition beaucoup plus intense à l’influence grecque puis romaine, donc méditerranéenne, et que le milieu naturel, tel le climat et la géographie, a façonné les mentalités d’une manière différente au fil des siècles.

Toute la côte sud de la France actuelle était déjà colonisée par Rome au 2ème siècle avant Jésus-Christ, exposant celle-ci à la culture romaine et aux échanges commerciaux internationaux.

Le caractère du Sud est beaucoup plus extraverti, gai et hâbleur que celui du Nord, rappelant en cela la volubilité et la légèreté italiennes.

De prime abord, les relations sont beaucoup aisées à nouer dans la partie la plus méridionale de la France, la région étant ouverte depuis longtemps aux influences extérieures. Mais elles sont aussi plus fragiles car très souvent intéressées et de toute façon conditionnelles. La mentalité commerçante, transactionnelle où l’intérêt individuel a supplanté l’intérêt du groupe y prévaut bien davantage que dans le Nord en raison de l’exposition millénaire au négoce méditerranéen.

Dans la partie la plus méridionale de la France, le mérite individuel vis-à-vis des autres est moins déterminant que l’entregent et l’art de la manoeuvre et de la négociation.

Pour le Nord, encore paysan et rural jusqu’à il y a peu, la valeur d’un homme est indexée sur sa capacité de travail pour la communauté. L’art oratoire n’y joue aucun rôle. Pire, parler trop tend à vous faire passer pour un manipulateur.

Le Sud et le déclin racial

S’il est une accusation fondée contre la partie la plus méridionale de la France, c’est bien qu’elle a été, via Marseille, la première porte d’entrée de l’Afrique en France. Ou plus exactement, elle en a été la première victime. Phénomène démesurément aggravé par la colonisation, Marseille étant à l’époque le plus grand port colonial français.

Lucien Rebatet, résume dans Je Suis Partout du 30 août 1941 :

« Je n’ignore pas qu’il y a toute une élite de Marseillais charmants et raisonnables… Mais il y a tout le reste qui se voit davantage : cette populace bâtarde, cette vulgarité huileuse, olivâtre, qui est le fruit dont on ne sait quels baroques et impurs croisements, cette mixture de bicots, d’Arméniens, de Maltais, de Smyrniotes, l’unique coin de la France où la décadence de la race par le métissage soit vraiment un fait. Il y a ce prolétariat de nègres tristes, en vieux canotiers et salopettes bleues, ce mélange de crasse et de vanité, ces foules de rôdeurs pouilleux côtoyant les lascars au cheveu bleu trop bien verni, en chemisette aubergine ou mandarine. A Marseille, la verve, la belle volupté méridionale sont encanaillées. Juifs tchèques ou polonais, de l’espèce décrassée, confortablement bourgeois dans leur complet gris, mais à la gueule sinistre de hiboux déplumés, la cinquantaine largement sonnée, jargonnant dans leur ignoble yiddish, semblable à de l’allemand écorché par un sidi …

Regardons les choses d’un peu plus haut. Marseille devait bien compter 5 000 Juifs en
septembre 1939. Elle en avait cent mille et peut-être davantage au terme de la grande fuite de juin 1940. Elle en garde depuis une cinquantaine de mille. Dix fois plus de Juifs qu’avant : voilà par ici un des résultats les plus certains de la Révolution Nationale … [Marseille] réunissait toutes les conditions pour devenir une citadelle du gaullisme : l’affluence de Juifs, le grouillement d’une pègre prête aux plus basses besognes, les relations naturelles avec le Proche-Orient, l’Afrique du Nord, c’est-à-dire les régions où les intrigues anglaises sont les plus serrées. »

Les conséquences de cette pollution raciale se sont depuis sédimentées en France. Des faciès grotesques et noircis, au sommet duquel s’accroche une demi-tignasse onduleusement suspecte, grimacent sur les plateaux de télévision pour chanter l’impératif de la promiscuité sexuelle avec le Grand Sud.

Le teint, orangé-verdâtre, suinte de haine.

Des Antillais du Liban tonitruent leur ascendance, comme des singes, inconsciemment, par réflexe facial. Leur titre de gloire, c’est le passeport français, sésame de la revanche génétique, autorisation dûment délivrée par la préfecture à tous les génocides antiblancs.

La République a livré les campagnes de Gaule à la soif esclavagiste du Sud éternel, avec ses pillards et ses agioteurs.

Quelle est la part exacte et métrée de ces débris qui surnagent dans la mer de boue hexagonale ? Nul ne le sait, il faudrait des centaines de chercheurs pour trancher la question. Nous en sommes réduits à des supputations, des devinettes, des approximations. Mais il est des masques qui valent culpabilité.

Parfois nous sommes informés très précisément au sujet d’un rejeton de Galicie, de Pologne ou de Tunis.

Aujourd’hui, c’est toute la France qui connaît le sort de Marseille : le cataclysme racial par le pourrissement du sang.

La remontée du Sud jusqu’au Nord, la colonisation par une marée de métis pourris. Il n’a pas fallu longtemps pour que Roubaix rejoigne Marseille.

Par extension donc, la « narbonoïdation » pourrait à juste titre décrire ce sinistre mécanisme où le Moyen-Orient, l’Afrique, la Judée viennent s’amalgamer dans la promiscuité des ruelles de France pour accoucher d’un sous-prolétariat racial défiguré, innommable parce qu’inconnu, jaillissant à flots énormes des maternités de l’Etat Français, choyés, gras, rigolards sous l’oeil débile de Gauloises psychologiquement lessivées.

Le miracle.

Le ghetto de Cracovie conflue avec le fleuve Congo et la casbah d’Alger dans une geste obscène.

Hollywood-sur-Orne.

Au bout de ce tunnel, Bombay.

L’expérimentation raciale dont est l’objet la Gaule aux mains des juifs est inédite en Europe, pas même possiblement égalée par la Grande-Bretagne. Elle ferait rougir les Omeyyades d’Espagne, ces violeurs de Blanches, de par sa plus pénétrante pourrissure.

En France, Dreyfus et la gloire du tirailleur sénégalais ont ouvert les coeurs et les culs, promettant à la plèbe gauloise, abrutie de vin, sa rédemption enivrante par la bite nègre. Et que l’on ne s’y méprenne pas : cette plèbe ne fait aucune difficulté, elle reste très chrétiennement soucieuse de ne point offenser l’orgueil des nouveaux Français, ceux qui font la fierté des réguliers de la buvette. Ils sont soucieux de faire preuve d’égards.

Parler de race en France fait bien plus mauvais effet socialement qu’une blague de cul sortie en plein repas de famille, sous le nez des enfants et de la grand-mère. Les têtes s’allongent, se tordent sous l’effet de l’énorme vérité, douloureuse, tenace, inacceptable, explosive, menaçante de conséquences, portant au bord de la fusion le réacteur mental de la très charitable populace gauloise, pas rétive à se faire engrosser par toute la Cafrie conviée à consommer le tendre cul des petites Blanches offertes, sans complication, par papa-maman et monsieur le curé, ce recruteur d’âmes haïtiennes, sans parler du maire et du docteur, en mal de votes et de patientèle.

Que ça nous plaise ou non, les grandes villes de France se sont transformées en forges infernales où les ouvriers du Diable s’affairent à extirper des entrailles obscures de l’Afrique de la viande orientalo-négroïde pour les armées de Satan en quantités énormes. Elle nous rit au nez, d’ailleurs, cette barbaque, à son déployé, sous le déférent et respectueux regard de la maréchaussée, paternellement émue par l’innocence enfantine de ces populations capricieuses et assassines.

Chacun, en France, a ses pudeurs sur le sujet, ses précieuses conditions. Qui consent au mulâtre  et à la mulâtresse moyennant sa très catholique croix, qui par son rap, qui encore par ses nichons. Par le haut et par le bas, par le mâle et la femelle, cernés, nous sommes engueulés jusqu’à la surdité pour céder à l’impératif nègre. Mais pour l’essentiel, on engueule rien du tout, c’est l’enthousiasme par le handball et le basket.

Certes, il y a des timidités, ici et là.

C’est vrai qu’il existe des phases, des stades, des manoeuvres dilatoires avant la destination finale voulue par les juifs et les démocrates qu’est la grande nuit noire de l’Afrique. On vous passera une demi-beurette, pour vous accoutumer, tranquillement, au grand bain, si vous faites des manières, des hésitations. Un quart de nègre – est-ce bien méchant, au fond, cher Monsieur, qu’un quart de nègre ? – ou un octavon de Hmong saupoudré d’aborigène de Pondichéry, miraculé de la Réunion. Et puis Mayotte. L’arrière-grand-père tchadien de la future ex ? Pensez ! Ce qui compte, c’est de dire bonjour, merci, au revoir, d’être ému à l’évocation du souvenir de l’Holocauste. L’important, pour conclure l’affaire aryenne, c’est de sauter le pas génital.

Ce jus, effectivement, est né à Marseille, la poêle à frire où se liquéfie le beurre blanc avec une petite cuillérée de pisse d’Oran, fumet nouveau, avec ses cigales, tristes et éternelles. Et sa juiverie, noiraude, sifflante, pétitionnaire. Sa CGT « pastaga ». Sous un soleil de plomb, assommant, lézardeux, déconnant. La génétique à perpétuité, fossilisée. Des millions d’années sous sédation biologique, terminale.

Fierté raciale

Je pars du principe, en tant que raciste, qu’il est naturel et souhaitable qu’un individu cultive sa fierté raciale en ayant une idée positive de ses ascendants et de leurs réalisations.

Qu’un Provençal de race contemple les arènes de Nîmes ou le Pont du Gard avec admiration est le plus naturel des sentiments. C’est aussi le plus utile, s’il permet de se faire une idée de soi valorisante, d’affirmation.

Les temples de pierre sont bien peu de choses à côté des temples de sang et l’histoire ne s’arrête pas à l’édification de monuments. Paris en est l’exemple grotesque. Ce qui compte, ce ne sont pas les temples construits mais les hommes qui peuvent les construire.

Rome a succombé au cosmopolitisme, n’ayant plus de vision claire d’elle-même, traversée de sectes orientales et d’agioteurs levantins, encore accablée par l’égalitarisme révolutionnaire sorti des catacombes chrétiennes qui lui fit perdre, au 4ème siècle, les dernières préventions à l’égard de la démocratie et de l’abâtardissement racial.

Edit de Caracalla, 212, édit de Milan, 313, édit de Théodôse, 380. Les mêmes droits pour toutes les peuplades devant l’Etat, les mêmes droits – et devoirs – devant Jéhovah. Des familles de patriciens romains, Rome échoua entre les mains de sémites de Syrie juchés sur le trône impérial.

La démocratie sera toujours le masque du juif et l’excuse des races de boue pour priver la race blanche d’avenir. C’est une chute, matérielle, biologique.

L’idéalisation de la Méditerranée finit toujours mal, racialement parlant, peu importe la finasserie ou le prétexte. Elle prédispose à l’Afrique et à Jérusalem. Demain La Mecque. Plus rien ne se trouve en Méditerranée, humainement, qui soit de nature à faire avancer la race blanche en Europe. C’est une friche. Une friche avec la mer.

Une friche qui aimante les indolents. Surtout les femmes, qui vivent pour pouvoir bronzer.

La motivation réelle, au fond, plus que le latinisme  universitaire ou les vers de Marc Aurèle, est le cagnard. Et le cagnard a un produit : la mélanine et la sieste.

Qu’est-ce qu’un Narbonoïde ?

Le Narbonoïde est ce bâtard brunâtre d’évidente ascendance proche-orientale, peu importe le pourcentage, qui parle d’autant plus fort qu’il est un incapable et un escroc, et qui prêche la mort de la race blanche. Face louche de demi-irakien, converti à l’islam, communiste ou royaliste.

Candidat au commandement des masses aryennes qu’il jalouse et hait secrètement, le despotisme oriental est chez lui une seconde nature. Le mensonge et l’esbrouffe, comme chez le juif, sont ce qui lui tiennent lieu d’intelligence sociale. Pas une arnaque qui ne l’aimante. Brouiller les pistes raciales est pour lui une obligation existentielle : pas de parasitisme possible face à des populations nordiques conscientes d’elles-mêmes, déterminées à établir une dictature raciste dont il sera, par évidence, fermement exclu.

On ne trouve pas plus volubile dès qu’il s’agit d’utiliser le catéchisme républicain ou le bavardage chrétien pour barrer la route à la rage libératrice du racisme blanc. Pour tromper l’homme nordique, on peut faire confiance à son imagination débordante.

Expert en relativisme génétique, rabbin honoraire.

La différence fondamentale entre un antiraciste de type nordique et un antiraciste de type narbonoïde, est que le premier agit par goût de la justice, dévoyé par le sémitisme, tandis que le second ramène son couplet antiraciste non pas par charité, mais par intérêt. C’est pour continuer à se mouvoir au sein des masses aryennes et les escroquer qu’il prend à témoin Mamadou ou Mohamed afin de les exciter contre l’Aryen qu’il veut abattre.

Si c’est brun comme un Andalou avec des ancêtres les pieds dans la Méditerranée et que ça chante les louanges de la lie raciale allogène qui végète en France, c’est du Narbonoïde. De l’agitateur narbonoïde. Ce qui nous vient généralement – mais non exclusivement – de l’Espagne rouge ou de l’Italie rouge et exporte la guerre raciale à des fins d’exploitation politique.

Ces gens nous haïssent racialement et nous le disent sur tous les tons.

A aucun moment il ne vient à l’idée de l’homme nordique, déstabilisé par autant d’aplomb, qu’il s’agit là d’une agression métèque. Naïf, timide, gauche, il se met à déconner dans ses principes, à ressasser ses concepts, à se sidérer de mauvaise conscience. Exactement comme lorsqu’un nègre crise.

Le Nord n’a pas pour habitude d’aboyer.

La morale nordique commande de haïr ces métèques au décuple, tout aussi frontalement.

L’audace de ces intrus va si loin qu’ils en sont même arrivés à décréter que l’homme de type nordique, en France, est un object insolite et exotique, de pure importation. Des Allemands pour ainsi dire. Des boches par capillarité. Cousins germains. Être blond ou roux est frappé de quasi-suspicion chez le Grand Vénérable de la Loge Lumière et Justice à l’Orient du bastringue juif, Monsieur Youtronidjian.

Si la France s’appelle la France, c’est parce qu’une poignée de guerriers germaniques en a pris possession pendant plus d’un millénaire par la force des armes et la certitude de leur droit : celui du plus fort. Pas de sermon ni de droits de l’homme, le glaive.

L’histoire appartient à ceux qui ont un orgueil racial illimité et le potentiel à la hauteur de cet orgueil.

La fiction nationale

S’il faut réaliser une chose, en France, avant tout le reste, c’est d’exhumer cette conscience raciale nordique, enfouie dans le coeur des masses blanches sous le fatras des décombres du catholicisme et le joug de la démocratie avec ses loges toulousaines, ses juifs insolents, ses métis goguenards au sang pourri, ses quarterons d’Algériens déroulant du Jaurès en vous regardant de haut. Quand l’esprit nordique sera régénéré, la partition raciale se fera d’elle-même.

Aujourd’hui, la fiction « nationale » française n’est plus qu’un détournement de sang, un racket racial d’inspiration juive, le moyen pour des millions de sous-hommes de ruiner l’avenir du meilleur stock génétique présent en France en le pillant. Sans parler des ratés, pululant dans les administrations, pour lesquels une nation n’est que la somme de tous les finis couillons de bureaucrates qui spolient les travailleurs.

Je n’aime pas les escroqueries et je ne veux pas vivre avec Rokhaya Diallo et ses Antillais, ni des demi singes d’Egypte au sang soufflé par le sperme des violeurs de la Péninsule Arabique. Ni avec le bougnoule Mélenchon, ni le bandit ibérique Martinez. Rien ne m’y oblige, j’ai le droit et le devoir de dire non, définitivement. D’opposer le droit du sang au droit de la bave.

Objecteur de conscience.

Je n’aime pas leurs gueules, j’ai jamais pu les sentir. Ils puent la sueur, la sardine et la pissotière rance de Tripolitaine. Je saute pas à pieds joints dans l’urine, voyez-vous. Je me fais pas des onguents de chiures tziganes.

Plus grave, cependant, que le fielleux Narbonoïde pollueur de race, l’Etat Narbonoïde corrupteur du sang. La République juive avec son mot d’ordre : les métèques d’abord ! Cette fistule anale.

S’il s’agit d’un vrai effort « national » à fournir, soit : qu’on détruise l’Etat-Métèque ! Plus un sou pour l’ogre nègre, que les babouins meurent d’inanition. Racisme fiscal, égoïsme génétique. A en faire exploser les rédactions de tous les torchons radicaux-socialistes sudistes. On verra combien de tout toute cette vermine pontifiera, du haut de sa famine.

Bref, au Nord, toujours au Nord. Le Nord fondamental.

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