Que faut-il penser de la droite négrophile et de ses nègres magiques (Analyse)

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
19 décembre 2017

 

La droite identitaire française a semble-t-il une solution à nos problèmes raciaux : du tricolore et la Marseillaise.

Avant de continuer, afin de clarifier les choses : oui, dans l’absolu, il est plus reposant pour les nerfs d’avoir affaire à un nègre passablement reconnaissant de ne pas vivre dans une poubelle africaine plutôt qu’à Joey Starr.

D’accord, c’est entendu.

Mais il faut tout de même aller au fond des choses.

Tout le discours de la gauche, reprise par les métèques, repose sur cette idée simple : les races n’existent pas et encore moins une hiérarchie entre elles sur la base de leur potentiel et de leurs réalisations. C’est ce postulat de base qui a été utilisé pour convaincre les Européens de l’Ouest et les Français qu’installer des millions de nègres et d’arabes dans leur pays – je ne voudrais pas omettre les roms et les juifs – ne pouvait avoir aucun impact négatif sur leur cadre culturel, étant entendu qu’un cafre du Congo vaut bien un Normand.

Et si d’aventure des problèmes surgissent lors du processus, il ne peut s’agir que de conséquences exogènes. La dimension « sociale » comme le disent les communistes. Pour expliquer au prolétariat français la destruction de son environnement culturel, les journalistes judéo-trotskistes et les profs de gauche ont cette explication miracle : l’exploitation par la bourgeoisie blanche raciste.

Si cette bourgeoisie est responsable d’une seule chose, c’est d’avoir importé ces nègres en premier lieu. Et rien de plus.

Une fois la théorie du « milieu social » plantée dans la tête de millions de goys infectés de marxisme, les bêtes sauvages d’Afrique et du Moyen-Orient ont pu être exonérées de tous leurs méfaits, surtout les plus odieux et les plus insupportables.

Et si d’aventure vous remarquez qu’il y a une causalité entre l’appartenance raciale et la criminalité, vous « ethnicisez » le débat. Vous « essentialisez ». Et comme vous le savez, puisque un nègre congolais est la réplique exacte d’un Normand, toute « essentialisation » du nègre est par nature absurde, contre-productive. Et méchante.

Bref, donnez un drapeau tricolore à Mamadou et tous nos problèmes seront résolus. S’il chante la Marseillaise en plus, le QI, actuellement en forte baisse, devrait remonter.

J’irai même plus loin : en donnant des drapeaux tricolores aux nègres d’Afrique en Afrique, leur QI moyen devrait rapidement rejoindre celui des Français de souche.

En somme, il s’agit d’un concept nouveau, révolutionnaire, copernicien : il faut assimiler les nègres et les crouilles et tout ira mieux.

Oui.

Non.

Cosmopolitisme patriote

Croyez-le ou pas, mais du Patrice Quarteron, en France, c’est aussi vieux que De Gaulle.

Et ces Patrice Quarteron ont amené leurs cousins.

Aussi surprenant et inattendu que cela puisse paraître : le nègre appelle le nègre. Et cela ne se convertit pas en francisation excessive.

Un peu comme pour les souverainistes et leur retour à la France des années 50, la droite jacobine rêve d’une France des années 70 où il y aurait de « bons nègres ».

Je précise au passage que je ne parle pas de performances sportives ou de choses de ce genre. Je n’ai aucun problème avec un sportif qui est au top dans son domaine, que ce soit un nègre ou autre. Mais le sport n’est pas ce qui fonde un peuple ou une culture, ce sont deux choses absolument distinctes.

Tout comme la poterie et la géopolitique n’ont rien de commun, marquer des buts est sans rapport avec ce qui fonde un pays européen.

Et même si Quarteron m’a fait rire avec son kebab proposé au cafard turc, il y a une limite intellectuelle à ne pas franchir : le nègre de souche.

Hélas, puisque la France n’a aucun mouvement de droite – et encore moins d’extrême-droite -, nous devons nous contenter de l’aile droite de la gauche cosmopolite.

Le cosmopolitisme patriote.

Le truc le plus radical que propose la « droite identitaire française », à ce stade, c’est que Mamadou gueule la Marseillaise un peu plus fort et qu’il dise merci en sortant.

Bref, un cours de maintien pour nègres.

Je suis au regret d’être un peu plus audacieux.

Le problème – et il est très profond – c’est que la France n’a pas été décolonisée mentalement. Comme si rien ne s’était passé, la franscaille nourrit toujours d’instinct ses grands projets impériaux du haut de ses défaites, ce concours de bite sénile hérité du 18ème siècle.

Le recrutement massif de tirailleurs sénégalais, célébrés en héros, et cette joie non feinte lorsque Mamadou, le fils prodigue, revient à la maison comme Médor avec sa médaille en chocolat : tout cela en dit long sur cet inconscient négrophile du Français de base, surtout s’il est « patriote ».

Comme tout le monde le sait, « la Guadeloupe était française avant la Savoie ! ».

Et ce qui vaut pour la Guadeloupe, à terme, finit naturellement par l’être du dernier pouilleux d’Afghanistan naturalisé. Ce système d’idées à sa cohérence et sa dynamique.

Cette dégénérescence est analogue à celle de la vieille aristocratie ruinée du 19ème siècle qui, pour feindre d’être encore digne d’appartenir à l’élite dirigeante, s’affiliait à la bourgeoisie, notamment juive, et pouvoir ainsi mener grand train.

Pour pouvoir encore exister aux Jeux Olympiques, la France recrute du nègre en quantités absolument énormes. Cette évolution était initiée par Mangin avec ses cafres pour abattre la puissance blanche allemande en 1914. La masse contre la race.

Ce calcul finit toujours par la mort raciale de celui qui s’y risque. Les génies de l’état-major français n’avaient pas envisagé que Boubacar Traoré irait saillir leurs petites-filles.

Rien n’a depuis changé dans les tronches françaises : il s’agit de solliciter la masse des nègres et des crouilles pour continuer à pouvoir jouer dans la cour des grands et exister.

Le prix d’une ingérence en Syrie ? Des dizaines de milliers d’égorgeurs hirsutes dans chaque village français, au nom de la « solidarité internationale » et de la « tradition d’accueil de la France ». Chaque stupidité de cette élite hébraïsée et communisée se convertit en un drame encore plus terrifiant.

Le coût pour le petit peuple de l’arrogance de ces élites françaises dégénérées ? Des mètres cube de foutre africain dans les ventres des Gauloises à la cervelle éclatée par les rééducateurs du peuple élu, forcément ultra-patriotes.

Pas d’autisme

Maintenant, je ne veux pas sombrer dans l’autisme complet et m’exciter contre un nègre « super patriote », surtout quand des millions de serpillières blanches s’acharnent à vouloir anéantir leur propre race avec fanatisme. Je veux simplement souligner le danger de cette bamboulophilie rampante de la droite jacobine, soucieuse de ses succès d’estime auprès des cannibales.

Précisons avant de poursuivre qu’il y a différentes sortes de nègres et d’arabes et que même si tous sont des nuisibles, il y a un ordre de priorité à respecter par soucis d’efficacité.

Par exemple, les mulâtres des Caraïbes françaises sont moins nuisibles, à court terme, que des hordes d’algériens ou de soudanais. Les antillais n’aiment pas du tout les bamboulas d’Afrique même s’ils nous sortent leur refrain anti-esclavagiste à toutes les sauces et chantent en coeur avec les autres cafres ce couplet infect. Ces nègres sont vaguement chrétiens et surtout, ayant un peu de sang blanc, considèrent avec mépris les nègres non-blanchis venus d’Afrique.

Ceci étant dit, ces mulâtres des îles sont d’un racisme antiblanc total. On ne compte plus ceux qui nous tirent dessus quitte à se mettre en bande avec les bougnoules : Anelka ou Taubira en sont les plus beaux exemples.

Le syndrome François Durpaire.

Mais évidemment, ce ne sont pas des djihadistes et le flux d’immigration nègre des îles est sans commune mesure avec celui d’Afrique ou d’Orient.

Que faut-il penser de la promotion de super bamboula ?

Encore une fois, la droite française fait la promotion de ce type de nègres pour les mauvaises raisons.

Il y a une bonne raison pour promouvoir le nègre agrégé de grammaire, francophile, médaillé d’or aux JO. Cela repose sur un mécanisme psychogique bien identifié : le contraste.

Bien sûr, les grands esprits de la francophonie patriote ne s’intéressent pas à la psychologie ni à la façon de l’utiliser en politique.

Cette règle de base est simple : si vous exhibez le « nègre idéal », celui qui n’existe pas, aux masses de Blancs, vous alimentez chez elles l’espoir que ces super nègres existent bel et bien et qu’en fait, c’est le standard en la matière. Plus vous présentez un super nègre aux masses, celui après lequel elles soupirent, plus leur exigence en matière de label qualité nègre augmente.

Concrètement, après avoir vu Quarteron hurler « Vive la France avec son tricolore », le Français de bonne volonté prend son métro ou son train en espérant croiser ces fameux super nègres patriotes au coin de la rue. Sauf que cela n’arrive jamais. En lieu et place, des bandes de bamboulas agressifs qui crachent parterre en vous dévisageant d’un air mauvais. Les émeutes raciales et les cocktails Molotov sur les pompiers font le reste.

Quand il revoit Quarteron à la télé, le Français de bonne volonté en vient à lui en vouloir comme à un vendeur sépharade que l’on recroise après avoir eu la mauvaise idée de lui acheter des pantalons à une jambe. Il devient encore plus raciste qu’avant : « Où est mon nègre de luxe ? Je l’ai cherché, je ne l’ai pas trouvé ! ».

Cette spirale n’en finit plus.

C’est ce qui explique les succès énormes des films antiracistes merdiques français remplis de singes et de beurs : la dépression raciale ambiante. Le remède étant pire que le mal, pour chaque dose de films antiracistes injectée dans les masses, la frustration grandit d’autant devant une réalité toujours aussi indépassable.

La conclusion, tirée en silence, s’impose progressivement : « On m’a menti : ».

Au surplus, cet exercice de guerre psychologique fonctionne dans l’autre sens : un nègre ou un arabe « assimilé », c’est-à-dire soumis, déchaîne la rage de l’immense masse des métèques en sédition. Ce qui accroit leur haine et leur volonté d’en découdre. Les Blancs n’en perdent pas une miette et réalisent le degré de haine que les bougnoules et les nègres ressentent pour leur culture, celle à laquelle se subordonne vaguement le fameux nègre super-patriote en tricolore.

En conclusion, on dira que cette promotion agressive des métèques supra-patriotes et ultra-français est probablement un des meilleurs atouts pour la droite raciste. Il suffit juste de ne pas y croire une seule seconde soi-même.