PSG / Istanbul : le match transformé en cellule d’aide psychologique après l’utilisation du mot « noir » par l’arbitre roumain

Captain Harlock
Démocratie Participative
10 Décembre 2020

« Maman, le monsieur il a dit noir »

C’est tellement gay.

Cette non-affaire est devenue une séance de masturbation collective africaine.

Des multi-millionnaires qui se posent en victimes de l’oppression blanche parce qu’un arbitre a dit qu’un noir était noir alors que sans le championnat et le public européens tous ces métèques seraient encore dans leurs bleds à prostituer leurs sœurs pour un sac de colle.

Cette insolente ingratitude est caractéristique de ces gens-là.

Ces joueurs du PSG sont moins bavards à propos de leur employeur qatari qui pratique l’esclavage des racisés le plus officiellement du monde.

Quelle farce.

C’est ce qui se passe quand vous n’avez plus de respect pour vous même : les étrangers vous passent sur le ventre.

Ce n’est d’ailleurs pas surprenant de voir Paris et Istanbul délirer ensemble contre la Roumanie. Encore que Paris soit beaucoup plus négrifiée qu’Istanbul.

Je ne vois pas l’intérêt de suivre ce sport qu’est le football. C’est l’antichambre de la négrification du monde blanc. Si vous aimez le football, jouez avec des amis et cantonnez-vous à ça. Accorder dix minutes d’attention à ce cirque antiblanc, c’est déjà trop.

Quel est l’intérêt de regarder des nuées de nègres sur une pelouse qui nous crachent au visage à la moindre occasion ?

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