Progrès : La lèpre tzigane se concentre dans 570 bidonvilles

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
20 octobre 2017

La marche du progrès ne peut être stoppée.

BFMTV :

Près de 16.000 personnes ont été recensées dans des campements illicites et des squats cette année. Selon un dernier relevé, plus de 570 bidonvilles ont été dénombrés sur le territoire français. À moins de deux semaines de la trêve hivernale, les évacuations s’accélèrent.

Le 1er novembre marquera l’arrêt des expulsions pour les locataires, jusqu’au printemps prochain. Pour la première fois, les bidonvilles bénéficieront également de la trêve hivernale, grâce à loi Égalité et citoyenneté adoptée le 27 janvier dernier. Mais d’ici là, c’est la course aux évacuations, alerte le collectif Romeurope.

Ils « alertent » et BFMTV alerte qu’ils alertent.

Et ces lois infernales qui portent toujours les mêmes noms : « république », « solidaire », « égalité », « citoyen ». Tout le verbiage de 1789 tourné à la sauce Emmaüs-PCF.

« Depuis début juillet, plus de 4.600 personnes, dont de nombreux enfants », ont été expulsées « du bidonville ou squat où ils vivaient, soit près de 50 personnes par jour », indique le CNDH Romeurope dans un communiqué. Parmi ces expulsés, « une moitié à peine a bénéficié de quelques nuits d’hôtel avant de se réinstaller un peu plus loin », déplore Manon Fillonneau, déléguée générale de Romeurope, citée par Le Monde ce jeudi.

« On devrait se demander pourquoi, avec une évacuation tous les trois jours en moyenne depuis quelques années dans ce pays, et une par jour en ce moment, on a toujours le même nombre d’habitants en bidonvilles », s’interroge-t-elle.

Oui, c’est vrai, on devrait absolument se demander pourquoi la vermine tzigane n’a de cesse de croître en France.

Démocratie Participative exige en conséquence un « diagnostic social systématique » et demande qu’un spécialiste éprouvé de la question tzigane soit nommé à cette fin.

Nous avons le candidat idéal.

Hélas, la presse n’a pas communiqué la liste des foyers infectieux où s’enkyste la lèpre bohémienne.

C’est fort dommage.