Praveena, la chieuse de rue du Sri Lanka, solidaire de la négresse Hapsatou Sy pour éradiquer l’homme blanc

Captain Harlock
Démocratie Participative
25 septembre 2018

J’ai eu l’occasion de parler de la chieuse de rue du Sri Lanka, la pajeet Praveena Mee.

Cette rom directement tombée de l’avion continue de baratiner son public de dalleux tout en leur chiant ostensiblement dans la bouche.

Cette pouilleuse du tiers-monde est parfaitement représentative de ces femelles colorées voulant prospérer du fruit de millénaires de culture blanche tout en s’acharnant à la détruire en raison de leur profond complexe d’infériorité raciale.

Je ne vais pas revenir sur le cas Zemmour mais ce que révèle toute cette histoire de prénoms, indubitablement, c’est que ces masses de métèques manifestent d’instinct la volonté de maintenir en Europe ce qui leur sert de « culture » et de la rendre le plus visible possible.

Bref, de s’établir en conquérants.

Comme un chien qui chie au coin d’une rue pour marquer son territoire.

L’idéologie profonde de Praveena Mee

Ce que cette pajeet identifie comme une menace chez Zemmour, c’est bien évidemment le fait qu’un homme lui dise par procuration de remiser ses sandales, de se laver les mains et de fermer sa gueule de mendiante.

Ce soutien à la négresse musulmane Sy met en lumière la solidarité antiblanche de ces femelles issues des pires tribus de la planète pour se liguer contre nous, chez nous.

Grâce à la démocratie juive, ces femelles de bidonvilles qui débarquent en Europe se voient soudainement en situation sociale de pouvoir prendre à parti n’importe quel homme blanc pour exiger qu’il se soumette.

De la pire lie de l’humanité fascinée par l’homme blanc, elles se transforment invariablement en hyènes génocidaires.

S’il y a une chose à comprendre avec ces populations marrons, c’est que le contact avec l’humanité blanche ne les laisse jamais dans un état stable. C’est une réaction de nature chimique. Dès lors que cette déstabilisation a lieu, il faut absolument garder votre position de dominant, faute de quoi, ces peuplades le perçoivent comme une invitation au génocide.

La propension à l’égalitarisme des Blancs empêche ces mêmes Blancs de comprendre cette réalité élémentaire. La majorité des Blancs ne comprend pas à quel point nous déstabilisons profondément et irréversiblement ces colorés par un simple contact.

Ces races inférieures nous voient selon deux paramètres : le premier, « nous » et « eux »; le second, le pouvoir. Ces basanés associent instinctivement la race blanche au pouvoir, à la prospérité et à la beauté. Si vous avez les femelles d’Afrique, d’Asie et d’Inde qui s’acharnent à se blanchir, ce n’est pas par hasard.

Ces races veulent donc s’approprier, au sens propre, ce pouvoir. Soit sournoisement en blanchissant leur race par métissage, soit brutalement, en réduisant les Blancs en esclavage à la première occasion.

Les nouveaux riches de l’immigration colorée

Pour nous, cette basse humanité représentera toujours une perte nette, à tous les niveaux. En revanche, pour elle, tout contact avec la race blanche se convertit immédiatement en gains. Les nègres qui ont le niveau de vie le plus élevé de la terre se trouvent aux USA, le pays d’où provient le torrent le plus fabuleux de rage raciste nègre contre les Blancs de cette terre.

Le moindre coloré qui parvient à s’installer en Europe a gagné à la loterie de la civilisation. Ces métèques sont autant de nouveaux riches déterminés à régler le compte de leurs stupides bienfaiteurs.

Chevaliers blancs de merde

Maxime, défenseur des femelles multicolores

Le cancer du féminisme est tout aussi conditionné par la biologie que la question raciale.

Nous ne serions pas dans la situation qui est la nôtre si les mâles alpha n’avaient pas été éliminés en masse entre 1914 et 1945. En France, le peu qui tenait debout a été éliminé par De Gaulle à la fin de la guerre d’Algérie.

Nous sommes à présent débordés par la foule des tanches voulant être dominées par les femmes.

Ce genre de traînées du sous-continent indien ne peut exister que grâce à la masse de crevards blancs sur lesquels elle dégueule si copieusement.

Cette société sémitisé a inventé le concept des Blancs qui mendient symboliquement du sexe à des femelles roms.

Comment voulez-vous qu’une chieuse de rue n’en vienne pas à nourrir des projets génocidaires avec le torrent de chevaliers blancs de merde qui rampent dans ses commentaires pour mendier du désir sexuel ?

Les seuls qui semblent vouloir contenir la menace féministe dans leur communauté sont, à ce stade, les salafistes. La plus grande menace qui pèse d’ailleurs sur l’islam – et que guette le juif avec avidité -, ce sont les beurettes, l’équivalent orientale de nos putes à nègres.

Même des bougnoules à 80 de QI ont réussi à comprendre ce paradigme.