Prague : démantèlement d’un monument à la gloire de la tyrannie judéo-bolchevique

Captain Harlock
Démocratie Participative
11 Avril 2020

La décommunisation se poursuit en République Tchèque.

Russia Today :

Scandalisée par le démantèlement d’un monument dédié au maréchal soviétique Konev à Prague, la Russie demande sa restitution. Les autorités tchèques refusent et les tensions entre les deux pays connaissent un regain.

La Russie a annoncé vendredi avoir ouvert une enquête pour «profanation publique des symboles de la gloire militaire russe» après le déboulonnage la semaine dernière à Prague de la statue d’un maréchal soviétique. La mairie du sixième arrondissement de la capitale tchèque a fait enlever le 3 avril la statue du maréchal Ivan Konev.

«Par ces actions cyniques, les autorités municipales de Prague ont gravement violé les obligations contractées par la République tchèque», a estimé dans un communiqué le Comité d’enquête russe, chargé du dossier. Un traité tchéco-russe de 1993 oblige la République tchèque à prendre soin des monuments militaires russes sur son territoire. Le Comité dénonce également le «mépris pour la mémoire commune et l’histoire de la lutte du peuple soviétique contre le fascisme» de la part de ceux qui ont fait enlever la statue.

Certains Russes n’ont toujours pas compris que le Mur de Berlin était tombé. Des nostalgiques continuent de confondre l’Union Soviétique et la Russie.

Aucune nation ne peut décemment accepter de payer pour la glorification de sa propre occupation par un état étranger, surtout au regard de la nature intrinsèquement criminel de l’état bolchevique russe.

En attendant que les Russes paient pour l’entretien d’une statue d’Adolf Hitler sur la Place Rouge, la démantèlement de ces monuments est aussi logique que légitime. Quoique très tardif.

Selon le Code pénal russe, la sanction pour ce délit prévoit une amende jusqu’à 300 000 roubles (environ 3750 €) ou égale au montant du salaire du condamné pour une période de deux ans maximum ou encore une peine de travaux forcés jusqu’à 360 heures.

Le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou a de son côté lancé un appel à son homologue tchèque Lubomir Metnar, réclamant dans un courrier que Prague remette à Moscou la statue du maréchal soviétique, selon un communiqué de l’armée russe. «Je vous demande de rendre dès que possible le monument à la Fédération de Russie. Nous attendons de vous des informations sur le lieu et la date de son transfert. Si le règlement de ce problème requiert des frais financiers, nous sommes prêts à les payer intégralement», a écrit Sergueï Choïgou dans cette lettre, citée par les médias russes.

Cette demande russe est raisonnable. Après tout, c’est le gouvernement soviétique qui a édifié ces monuments atroces à la gloire de la barbarie bolcheviste.

Ils s’ajouteront aux innombrables statues et monuments du même genre qu’ils ont entassé dans des décharges.

C’est idéal pour un Mémorial des crimes du judéo-bolchevisme.

Toutefois, le ministère tchèque des Affaires étrangères a refusé d’honorer la demande du ministre russe de la Défense de restituer le monument du maréchal soviétique à la Russie, selon le message du ministère tchèque. «Le transfert du monument du maréchal de l’Union soviétique Ivan Stepanovitch Konev, qui a été démonté le 3 avril par les autorités municipales de la région de Prague-6, ne constitue pas une violation des obligations tchèques découlant des accords avec la Russie. Le monument est la propriété de Prague-6», a déclaré le ministère des Affaires étrangères.

Le président de la commission des affaires internationales de la Douma d’État Léonid Sloutsky a qualifié cet acte de «vandalisme, moquerie et infraction de toutes les obligations internationales de la République tchèque». Le secrétaire de presse du président russe Dmitri Peskov a aussi rappelé que la Fédération de la Russie «a exprimé à différents niveaux son incompréhension, ses regrets et son indignation face aux actions de plusieurs capitales européennes visant à démanteler les monuments honorant les soldats de l’Armée rouge qui ont donné leur vie et contribué à la libération de ces pays du fascisme ».

Les hordes mongoles de l’Armée Rouge encadrées par les commissaires politiques juifs n’ont jamais rien libéré.

Elles ont semé la mort et la ruine sur une moitié de l’Europe, pillant et violant dans des proportions jamais vues depuis sous la direction de fanatiques juifs comme Ilya Ehrenburg.

S’en sont suivies 50 années de répression sauvage de la part des brigands rouges à la solde des juifs de Moscou. On ne compte plus les charniers des victimes de l’ogre communiste dans les pays européens qu’il a occupé. A commencer par la Russie.

C’est contre cette invasion qu’ont héroïquement lutté les forces de l’Axe pour sauver coûte que coûte la liberté de l’Europe.

Nous sommes hélas pris en étau entre la propagande judéo-démocratique d’un côté et la propagande judéo-marxiste de l’autre, même si cette dernière est bien moins présente en Europe de l’Ouest.

Sauf peut-être en France où les avenues, rues, écoles et places à la gloire du bolchevisme se comptent par milliers.

Ironiquement, ces mêmes lieux sont désormais des foyers d’infection ethnique.

Ces souillures bolchevistes inspirées par le démon juif doivent donc être expurgées partout en Europe.

 

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