Pour prouver leur soumission aux nègres, les flics antifas distribuent des bonbons aux boucaques

Sigmar Polaris
Démocratie Participative
20 juin 2020

 

Kek

Non ce n’est pas du second degré, c’est du premier degré. La police française distribue des bonbons aux noirs et aux moricauds qui leur crachent dessus pour gratter l’amitié.

France Info :

Face aux critiques dont ils se disent injustement victimes, les policiers ont organisé une opération peu banale vendredi 19 juin à Bayonne : une distribution de bonbons devant une école publique, rapporte France Bleu Pays Basque.

Masque sur le visage et paquets de bonbons à la main, les policiers ont joué les pères Noël avant l’heure, devant l’école Jules Ferry, non loin de la gare de Bayonne. Les forces de l’ordre expliquent qu’elles recherchent de la population le soutien qu’elles estiment ne plus avoir du côté de la place Beauvau.

« Nous sommes en colère », explique ainsi Laurent Saysset, membre du syndicat Alliance. « C’est une opération (…) pour montrer que la police est proche de la population, suite aux propos de notre ministre qui nous a jetés en pâture aux médias, en disant que nous étions une police raciste, fasciste et violente. »

La distribution de bonbons s’est déroulée dans une ambiance cordiale face à des parents et des enfants un peu surpris de la démarche, mais plutôt satisfaits de voir des policiers tout sourire. « Je pense que cela peut leur faire du bien, parce qu’on n’a pas toujours une bonne image, alors qu’ils sont là pour nous protéger nous », estime ainsi une maman.

Linda Kebbab, déléguée SGP Police FO a relayé sur son compte Twitter les images d’une opération similaire menée par des policiers à Saint-Denis en région parisienne. « La BTC [brigade territoriale de contact, police de sécurité du quotidien] de Saint-Denis distribue des sucettes aux passants et des mauvais points au ministre. Le monde des bisounours où vivent les politiques nous désarme pour plaire à une minorité bruyante », ils devraient « mieux former les policiers pour mieux protéger la majorité silencieuse », écrit-elle sur le réseau social.

L’école de Bayonne en question n’a pas été choisie au hasard par les policiers antifascistes.

Quand je serai grand je deviendrai dealer comme mon père

L’extrême-gauche a raison, il faut démanteler la police et la remplacer par des milices blanches.

Commentez l’article sur EELB