Pour financer l’importation illimitée de migrants, le traître Macron sacrifie sciemment les viticulteurs français dans sa guerre commerciale contre Trump

Captain Harlock
Démocratie Participative
27 juillet 2019

Donald Trump est furieux. Macron a décidé de taxer Google et les autres.

La France vient d’imposer une taxe numérique sur nos grandes entreprises technologiques américaines. Si quelqu’un les taxe, ce devrait être leur pays d’origine, les États-Unis. Nous annoncerons sous peu une action réciproque substantielle suite à la bêtise de Macron. J’ai toujours dit que le vin américain est meilleur que le vin français ! 

Macron a besoin d’argent.

Non pas pour financer nos services d’urgence saturés d’arabes et de nègres stupides mais pour en importer d’autres.

Nous allons en effet avoir le grand privilège d’accueillir de nouveaux médecins, ingénieurs et philologues en provenance d’aller savoir quel pays marron.

Cette seule folie autour du culte du migrant nous coûte une véritable fortune. Mais Macron est bien décidé à se payer le soutien de la finance juive et des ONGs trotskistes qu’elle finance en accueillant, aux frais des contribuables français, toujours plus de nègres clandestins ahuris.

Macron nous ruine

Appréciez un peu le génie de Macron : l’accueil des seuls migrants clandestins mineurs nous coûte la modeste somme de 2 milliards d’euros par an et la fiotte de l’Élysée vient juste de charger un peu plus la barque.

Avec sa nouvelle taxe sur Google et compagnie, il escompte récupérer 500 millions d’euros par an.

Les USA sont le premier consommateur de vin et spiritueux du monde. Environ 25% du vin consommé aux USA est importé. En valeur, les vins français arrivent en tête avec plus d’un tiers des parts de marché. C’est notre premier client dans ce secteur pour un volume de près de 4,5 milliards d’euros.

Trump ne mettra donc pas longtemps à récupérer ces 500 millions aux frais des viticulteurs français.

En fait, il va probablement en prendre davantage pour punir Macron d’avoir voulu jouer au plus malin.

Conclusion

Macron importe toujours plus de métèques à un coût toujours plus exorbitant pour gagner son concours de bite contre Salvini et faire plaisir à la presse juive, à Soros et aux passeurs de clandestins trotskistes de SOS Méditerranée. Totalement fauché, il se dit qu’il va taxer des boîtes US sous le nez de Trump en pensant que c’est populaire auprès des mêmes gauchistes qu’il courtise.

Résultat : on a perdu du blé, des emplois et on a gagné des nègres et des musulmans pour les 100 prochaines années.

A ce stade, il y a deux options : soit Macron est si idiot qu’il ne sait pas ce qu’il fait, soit c’est du sabotage conscient de la part de ce valet des banquiers juifs.

J’opte évidemment pour la seconde option. Ravager un des derniers pans de la culture française était trop tentant pour cette ordure.

N’allez pas croire que le gouvernement US n’a pas prévenu Macron des conséquences de sa taxe à 500 millions.

Macron a sacrifié le vignoble français en toute connaissance de cause.

Soyons sérieux : quiconque veut trouver 500 millions d’euros en France sait parfaitement où les trouver.

Pour Macron et sa clique, taxer les entreprises numériques américaines semble offrir des perspectives fiscales nouvelles.

Si ça suppose d’en faire porter les conséquences par le secteur privé viticole tout en évitant de toucher aux millions de parasites africains qui nous sucent le sang, il n’en a rien à foutre.

Macron vient de salement vous enculer, une réaction ?

Si vous connaissez des gens qui travaillent dans ce secteur, expliquez-leur bien avec quel cynisme Macron les sacrifie pour son tour de passe-passe fical sur fond d’importation illimitée de nègres.

La stratégie à adopter en représailles consisterait à encourager les viticulteurs à exiger de Macron qu’il paie la différence avec des aides gouvernementales exceptionnelles. C’est-à-dire la différence estimée en terme de profits sur les ventes américaines.

Pour foutre cette saleté sous pression.

Des émeutes de viticulteurs seraient du meilleur effet.

Commenter l’article sur /dempart/