Pour écraser les Blancs, la traînée des juifs Schiappa annonce que la France tentera d’imposer au G7 la censure de l’internet

Captain Harlock
Démocratie Participative
07 février 2019

On arrive au niveau du G7 maintenant.

A cause d’un mème.

Sans exagération.

20 Minutes :

« C’est l’un de nos combats ». En France comme à l’étranger, la pression s’accentue depuis quelques mois sur les grandes plateformes pour mieux lutter contre les dérives en ligne, dont sont victimes de plus en plus d’internautes. Invitée mardi soir à la remise des prix du Fonds pour le civisme en ligne organisée par Facebook, la secrétaire d’État Marlène Schiappa a annoncé à 20 Minutes que la lutte contre le harcèlement en ligne et les discours de haine sur les réseaux sociaux serait l’un des principaux sujets mis sur la table du prochain G7, qui se déroulera au mois d’août en France.

Le G7, ce sont donc les 7 principales économiques occidentales.

Et ce dont veut parler le gouvernement juif, c’est de traquer, à l’échelle mondiale, ceux qui disent des choses qui leur déplaisent sur internet.

Littéralement.

« C’est un sujet très important pour le gouvernement, c’est aujourd’hui l’une de nos priorités, et c’est pour cela que nous venons de décider que ce serait l’un des axes majeurs de la prochaine réunion du G7 [sommet des sept plus grandes puissances économiques du monde] qui se tiendra à Biarritz cet été », a expliqué la secrétaire d’État chargée de l’Égalité femmes-hommes et de la Lutte contre les discriminations. « Le harcèlement en ligne, et d’une manière générale, la modération sur les réseaux sociaux sont des thèmes qui préoccupent tous les pays, nous devons y apporter des réponses communes ».

« La France va « se battre » pour un projet législatif au niveau européen contraignant les opérateurs du Net, et notamment les réseaux sociaux, à retirer très rapidement le « torrent de boue » des contenus « haineux, racistes ou antisémites » », avait déjà déclaré en mars le Premier ministre Edouard Philippe. « Nous ne pouvons pas tout faire tout seul. Il y a un vrai travail collectif de régulation à faire », reconnaît aujourd’hui Marlène Schiappa, qui tient toutefois à rappeler que le gouvernement a déjà entrepris de nombreuses actions pour lutter notamment contre le cyber-harcèlement. « Une loi très importante a été votée en août dernier contre le harcèlement « de meute », ce que l’on appelle plus communément les raids numériques. Depuis l’année dernière, la notion de répétition dans le harcèlement a évolué : si 100 personnes vous envoient chacune un message de haine, chacune de ces 100 personnes peut être condamnée pour cyber-harcèlement », explique la secrétaire d’Etat.

« A travers cette loi, c’est un message que nous avons voulu envoyer à tous ceux qui participent aux lynchages collectifs, à tous ceux qui diffusent des messages de haine. C’est une loi très importante, mais pour qu’elle vive, il faut que chacun s’en saisisse, que des signalements soient faits, que des plaintes soient déposées… Il y en a encore trop peu. Et il faut que les services de police et de justice soient le plus réactifs possibles. On y travaille. Tout n’est pas encore parfait, je le concède, mais un gros travail de formation et de communication a déjà été entrepris, et cela continue aujourd’hui », précise la secrétaire d’État chargée de l’Égalité femmes-hommes.

Le gouvernement souhaiterait donc faciliter le processus de signalement entre les grandes plateformes et les pouvoirs publics pour permettre une meilleure prise en charge des « victimes ». « Les réseaux sociaux doivent se responsabiliser, permettre aux utilisateurs de signaler plus facilement les messages violents, bloquer les comptes de « harceleurs » et surtout supprimer le plus rapidement possible les contenus illicites », détaille Marlène Schiappa, pointant notamment du doigt la plateforme Twitter, l’un des pires élèves en matière de signalement et de modération. « Certains ne jouent pas le jeu, font très peu d’efforts pour supprimer les contenus haineux, c’est pour cela que nous travaillons actuellement à un projet de loi sur le sujet. Il devrait être présenté dans les prochains mois ».

Schiappa nous en veut particulièrement pour avoir rappelé ce qu’elle était. Mais elle n’est ici qu’une exécutante de troisième ordre.

Je l’ai évoqué à de nombreuses reprises ci : les juifs veulent l’instauration d’une censure totale au niveau européen, voire au delà si possible.

L’acharnement avec lequel ils tentent de détruire Démocratie Participative témoigne de leur détresse. Ils savent que le temps jouent contre eux.

Ils veulent abolir la liberté d’expression en Europe en bolchevisant l’internet. C’est-à-dire le placer sous leur coupe.

Et cette France sémitisée, devenue le principal instrument des juifs sur le continent, veut organiser cette chasse gigantesque aux Blancs qui veulent rester libres, aux nations aryennes qui veulent vivre.

C’est un combat épique et décisif. Si les juifs devaient parvenir à faire de l’Union Européenne leur bras séculier sans plus aucune limitation, l’Europe serait détruite par la guerre raciale qu’ils alimentent frénétiquement  grâce à leur programme de submersion migratoire.

Impitoyablement réduits au silence par des juges serviles, les peuples européens seraient écrasés par la répression des états placés sous le contrôle de l’UE.

Beaucoup de gens ne mesurent pas encore ce qui se passe, mais nombreux sont ceux qui commencent à déceler les contours de la tyrannie juive qui se met progressivement en place.

Cette force démoniaque qui s’est infiltrée dans tous les rouages de l’Etat veut désormais prendre le contrôle définitif de l’administration bruxelloise.

Elle doit être stoppée.

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