Pour conjurer la « guerre civile », le général de Villiers propose d’investir dans l’intégration des immigrés de banlieue « sur les 4 ou 5 prochaines générations »

Captain Harlock
Démocratie Participative
06 décembre 2020

Le De Gaulle du pauvre. Encore.

Les médias juifs mènent depuis des semaines une campagne coordonnée pour donner un semblant de substance politique à l’ectoplasme Villiers. Henri Vernet, du Parisien, cache à peine ses intentions.

Cette fois-ci, Villiers déplace la narration sur le terrain de la « guerre civile ».

Le Parisien :

Dans votre livre, vous parlez d’un «point de bascule»…

Oui, je ne suis pas le seul à le craindre. Cela peut basculer lentement, ou très rapidement s’il y a une étincelle comme en 1789 ou en 1914. La France est une vieille démocratie, un pays mûr, mais elle a historiquement du mal à se réformer. C’est souvent par explosions, par ruptures. On est dans une drôle de période, qui n’est en fait pas drôle du tout, comme l’était la « drôle de guerre ». La France est en paix depuis 75 ans. Nous les militaires, n’avons pas envie de la guerre. On sait ce que c’est. Ma crainte, c’est la guerre civile. Quand on décapite un prof devant un collège ou qu’on assassine trois personnes venues prier dans une église…

Rassurez-vous, Villiers ne veut mener aucune guerre contre les allogènes.

Il veut jouer au grand frère.

Vous écrivez dans votre livre qu’il y a une demande croissante d’autorité ?

Bien sûr. Tout devient tellement chaotique que les gens ressentent ce besoin, réclament de l’autorité. Dans les cités, c’est ce qui me frappe. Dans l’armée, j’ai commandé des Français venus de partout, beaucoup des cités. J’ai trouvé intéressant d’aller les voir chez eux. A ma grande surprise, aux Mureaux, ils m’ont dit : « Mon général, vous on vous respecte. » Il y avait beaucoup de solides gaillards, certains jeunes sortant de prison, pas des enfants de chœur. Je leur demande pourquoi ils sont venus ? « On veut vous voir, l’armée on vous respecte », m’ont-ils répondu. Le respect ça marche dans les deux sens. Si on veut que tous ces jeunes soient fiers d’être Français, il faut comprendre que ça se fera progressivement, en les aimant. Mais tolérer que certains puissent être là, en quasi-autarcie sécuritaire et économique, c’est inacceptable. On voit un lien de plus en plus prégnant entre les caïds qui dirigent la cité avec les trafics et les salafistes qui la dirigent sur le plan religieux.

Sur cette quête du respect des afro-musulmans qui nous submergent, Villiers annonce son ambitieuse solution.

Par contre, vous serez mort depuis longtemps avant qu’elle se matérialise.

N’est-il pas trop tard pour changer cela ?

Non, on va mettre trois, quatre, cinq générations à résoudre ce problème, à restaurer l’équilibre entre fermeté et humanité. Récupérer des jeunes de 20 ans qui haïssent la France, qui sont proches des caïds, ou des salafistes, ça ne peut être ni simple, ni rapide. La tâche est gigantesque. Mais avons-nous d’autres choix ? La politique, cela devrait être l’art d’inscrire son action dans le long terme.

Quatre ou cinq générations représentent un gros siècle, période durant laquelle il faudrait faire de l’animation sociale de quartier pour inculquer à Toufik et Mamadou les « valeurs de la République ».

« L’art d’inscrire son action dans le long terme », comme le dit Villiers.

Nous n’aurons pas besoin d’attendre si longtemps. D’ici 2025, la moitié des naissances en France seront non-blanches. Dès 2050, 2060 au plus tard, la France sera majoritairement peuplée d’extra-Européens. Nous aurons sur le dos 20 millions de mahométans, tous acquis à l’Etat Islamique ou Al Qaeda.

Soit Villiers est authentiquement autiste, soit il cherche activement à nous mystifier.

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