Pour célébrer l’égorgement d’Alban Gervaise « au nom d’Allah », l’église où son enterrement a été célébré organisait une « fête Chrétiens-Musulmans » dimanche

La rédaction
Démocratie Participative
14 juin 2022

 

Vous avez sûrement oublié Alban Gervaise, égorgé par un « déséquilibré » musulman devant ses enfants « au nom d’Allah », à Marseille.

L’armée française a fait le strict minimum, pour ne pas froisser son recrutement dans les banlieues ethniques, « vivier d’avenir ».

L’armée française adore l’islam et les musulmans. Elle a passé un siècle à s’en servir dans toutes ses guerres, mais avec une gourmandise toute particulière contre les Blonds de Germanie.

Alors ça, c’était vraiment son truc.

L’ennui, c’est que les musulmans sont passablement indisciplinés et remuants, donnant de la lame pour un oui ou pour un non. Alban Gervaise, médecine militaire, a fait les frais de cette nouvelle étape du projet républicain qu’est la conversion de la France à l’islam.

Les obsèques de la victime des couteaux de la paix ont eu lieu à l’église Saint Jérôme.

La communauté catholique de la paroisse a rapidement tourné la page, dimanche, grâce à une « rencontre festive » islamo-chrétienne. Les Catholiques venaient seuls, les musulmans avec leurs surins, les premiers jouant le rôle de moutons.

Les deux vont au paradis : l’égorgé et l’égorgeur.

C’était annoncé dès 1989 par Monseigneur Lefebvre qui, très empiriquement après des années passées en Afrique islamique, connaissait le sujet. Ce qui n’empêchait pas les juifs de France 2 (Antenne 2 à l’époque) de parler de sa lutte contre l’islamisation comme d’un « combat d’arrière-garde ».

Il me semble quant à moi que les égorgeurs musulmans sont au contraire à l’avant-garde de l’invasion islamique de la France.

La fonction de l’Église Catholique aujourd’hui, en plus d’importer un volume phénoménal de noirs, est de livrer les couteaux de l’armée du Prophète en moutons frais. Là dessus, ils sont intraitables.

C’est une relation sado-masochiste qui fait système. Les Catholiques, pétris de dolorisme, adorent souffrir et les mahométans, ultra haineux et dominateurs, adorent faire souffrir. Ils sont faits pour s’entendre.

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