Populisme TV : « Mon modèle féminin, c’est Marine Le Pen »

Captain Harlock
Démocratie Participative
10 mars 2021

 

La droite populiste a mis un certain temps à s’accorder sur un discours homogène à l’attention des masses. Le résultat est à la hauteur des espérances : des négresses récemment arrivées à Roissy qui chantent les louanges de Marine Le Pen dans la meilleure tradition des chefferies de l’Afrique de l’Ouest.

Inutile de dire que les médias populistes, de Sud Radio en passant par Boulevard Voltaire, s’enthousiasment dans cette nouvelle étape d’afro-thérapie.

Entendez-vous le lancinant bavardage africain recueilli par les mille micros du populisme pour enseigner à la viande blanche comment on doit se tenir ?

Comme les routes menant à Rome, vous n’échapperez pas à l’Idée française qui n’est rien d’autre que le Nègre. Avec le bastringue populiste moins qu’avec les autres.

Si vous la croyez un tout petit moins dévorée par le feu de la passion cafre, vous êtes égaré.

Elle brûle d’amour pour le nègre et mettra tout en œuvre pour vous détruire si vous objectez.

Toujours d’après le média du maire de la ville judéo-arabe de Béziers, Robert Ménard, les Blancs lassés de se faire submerger par des millions de sous-hommes d’Afrique font partie du problème. Ils n’aiment pas la France. Ils deviennent suspects en plus de ne plus être de vrais Français. Il faut le leur dire très franchement, sans détour.

Le Boomer Nicolas Gauthier sermonne avec vigueur ces Blancs qui donnent des sueurs froides à la Judée en récusant la France séfarade avec ses cohortes de nègres. Sa référence : une doctrinaire métisse de la LICRA, étalon-or du patriotisme.

Boulevard Voltaire :

Heureusement, des voix, elles aussi “noires”, sont de plus en plus nombreuses à s’élever contre cette pensée sottement binaire, telle Rachel Khan, écrivain et juriste, dans son livre Racée qui refuse justement d’être “assignée” à son seul taux de mélanine. Citée par Le Point, elle affirme ainsi : « Les mots de racisé.e ou afro-descendant.e me font froid dans le dos. Il a pourtant fallu que je les avale, ces termes, au point de devenir de “femme de couleuvre”. »

Il est vrai que le pedigree ethnico-culturel de cette dame peut donner à réfléchir tout en provoquant les pires cauchemars, à la fois chez les racistes et les antiracistes, puisqu’à la fois africaine et européenne, binationale franco-gambienne aux ascendances juives et de lointaine religion animiste, quoique de culture islamo-chrétienne. Et notre fine mouche de noter : « Avant l’intensification des replis identitaires, les choses étaient plus sympathiques. J’apportais d’autres réalités selon les milieux, un décalage, une porosité dans les différents groupes que je rencontrais. J’étais Juive chez les Noirs, Noire chez les Juifs, juriste chez les artistes, artiste chez les politiques… Maintenant, je suis à chaque fois quelque chose “de service” ! »

Pour abonder en son sens, on ajoutera que les trois principaux facteurs pouvant permettre de définir un être humain sont, dans l’ordre, la culture, la religion et la couleur de peau. Emil Cioran, philosophe d’origine roumaine, disait : « On n’habite pas un pays, on habite une langue. » Léopold Sédar Senghor, défunt président du Sénégal et membre éminent de l’Académie française, n’aurait pas mieux dit.

Cioran ! Poète de la Garde de Fer prêchant l’antisémitisme désormais dûment mobilisé par les fines plumes du « populisme » hyper patriote pour nous refourguer l’empoisonnement afro-ashkénaze !

Surpris ? Mais vous n’êtes qu’au tout petit début de ces prodiges du spiritisme !

Tous les Saints du Ciel, tous les cadavres seront convoqués, aussi souvent que nécessaire, pour vous faire admettre que vos filles doivent se faire sauter par des nègres ahuris et insolites sous l’œil amusé du juif, cœur et âme de cette France « populiste » qui fleure bon la pissotière levantine.

Pesante confiance juive suppose brûlante loyauté.

Comme une vieille putain qui a perdu ses charmes, la Réaction nappage-youtre doit recourir au chantage pour nous soutirer ce qu’elle veut, tout ça formidablement bleu blanc rouge.

Le bleu blanc rouge hypnotise, fait taire les derniers hésitants.

Le tricolore, fichu comme il est, disproportionné, criard, m’a toujours paru charrier l’assassinat, comique-troupier de l’école du meurtre. Un piège à Aryens, beuglant.

Par la droite, par la gauche, par surprise ou dument annoncé, de la bouche de 10 imams et de 100 rabbins, en loges comme en chaire, par l’excuse du marxisme ou du giga-capitalisme, le miracle nègre est obligatoire. Rechignez-vous ? Vous êtes louche, franchement ennemi de la France des clochers, hermétique à la civilisation.

L’horizon français est nègre.

C’est le quatrième mot qui manque sur les frontons des mairies. Il est à lui seul la devise de l’Indivisible.

Avec vos aigreurs et vos complications, mauvais sujets, vous troublez les quiétudes patriotiques de la France haïtienne, c’est-à-dire de la seule France possible. La France des notables, apaisée, dans son bain à feu doux des Antilles.

La France brûle de finir nègre, je la trouve fort à point, pourrie, croulante de métis. Encore 50 ans, plus un seul Français qui ne soit métis de quelque chose en « ide », araboïde, arménoïde, bicoïde, polonoïde… Et « français », bien entendu, cent mille fois plus que vous et moi. 

Louis Ferdinand Céline

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