Poitiers : la pondeuse de négrillons guinéenne jugée irresponsable du meurtre sauvage de la jeune Blanche qui lui torchait le cul aux frais de l’Etat

Leutnant
Démocratie Participative
23 janvier 2019

Les travailleurs blancs vont devoir prendre en charge cette négresse qui était déjà prise en charge par les Blancs.

Centre Presse :

Frustrés. C’est le sentiment des proches de Marina Fuseau l’éducatrice charentaise poignardée à mort dans le foyer pour jeunes mères de la rue Riffaut à Poitiers en octobre 2016.

Ce mardi 22 janvier se tenait le procès en irresponsabilité pénale devant la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Poitiers de Mariama Sylla, une jeune guinéenne de 21 ans, accusée d’avoir planifié sa mort.

La famille et les proches de la trentenaire charentaise ne peuvent pas accepter le verdict des experts concluant à une irresponsabilité.

Ils auraient souhaité un vrai procès d’assises, un procès où ils auraient eu directement la parole. Pas comme ce matin.

Au terme de l’audience, la mère de Marina s’est faufilée discrètement jusqu’à la jeune accusée pour lui présenter la photo de sa fille alors qu’elle repartait avec son escorte vers la prison de Vivonne.

« Elle voulait tuer mon fils! » a redit sèchement, les yeux exhorbités la jeune accusée à la mère éplorée. Des propos qu’elle venait de réitérer devant la cour pour expliquer son geste.

Placée dans ce foyer de Poitiers en juin 2016 deux jours avant la naissance de son fils en , Mariama Sylla avait changé de comportement après un avortement un an plus tard.

Renfermée, aggressive, elle accusait les éducatrices et Marina en particulier de vouloir la séparer de son fis.

« Elle voulait tuer mon fils et moi. Oui, je le pense toujours. »

Cette Blanche voulait sauver l’Afrique en France.

Les dieux de la Gaule ont veillé à la récompenser comme il se devait.