Poitiers : excité par l’avocat rouge Aurélien Bourdier, le tribunal pris d’assaut pour empêcher le jugement d’un criminel étranger incapable de parler français

Captain Harlock
Démocratie Participative
06 Février 2020

Il n’y a pas que la magistrature qui est un foyer de pestilence marxiste.

L’écrasante majorité des avocats sont autant d’anarcho-communistes enfiévrés qui lorgnent avec avidité sur la lie afro-maghrébine pour étendre l’anarchie partout où c’est possible.

A Poitiers, l’avocat rouge Aurélien Bourdier a monté un soviet de bavards en plein tribunal pour sauver la mise d’un bandit allogène incapable de parler un mot de français.

La Nouvelle République :

Il fallait bien que ça finisse par arriver et c’est arrivé, hier mardi, lors de l’audience correctionnelle de juge unique.

Le président Josserand, juge d’instruction au pôle criminel à Poitiers, ne prend personne en traître. Il annonce la couleur d’emblée : « Je ne procéderai à aucun renvoi de dossier. »

Depuis le début de la grève des avocats, c’était devenu quasiment automatique et les affaires sont désormais audiencées en février 2021.

Une situation dénoncée depuis une semaine par les magistrats qui avaient prévenu que ce n’était plus tenable, sous entendu, c’est désormais terminé.

L’audience débute donc sous tension avec, en visioconférence, un détenu sans avocat poursuivi pour avoir violenté deux agents pénitentiaires à Vivonne.

Le clash, bref et violent, intervient alors que le président annonce au prévenu, dont on ne comprend guère les propos, qu’il est condamné à sept mois de prison ferme avec mandat de dépôt.

Le prévenu, sans avocat qui plus est, doit avoir la parole en dernier. Me Bourdier se lève pour pointer l’oubli. Le président se cabre, l’avocat aussi. « C’est une honte ! C’est une parodie de justice, il ne comprend même pas le français. Ce n’est pas ça la justice ! » lance l’avocat.

Le président ordonne à l’avocat de se taire, menaçant de le faire sortir ! C’est la bronca immédiate. L’audience est suspendue. Les avocats battent le rappel ; le bâtonnier est appelé à la rescousse. Magistrats et greffiers avertis de l’incident descendent voir ce qui se passe.

Le soufflé retombe aussi vite qu’il était monté après une brève entrevue en privé entre le président et le bâtonnier.

« Pour la sérénité des débats », annonce le président, dans une salle noircie par les robes d’avocats, « les dossiers sont renvoyés ! »

Les avocats repartent, ravis de cette capitulation.

Voilà le brigand communiste susmentionné.

Défenseur de passeurs de clandestins et des assassins du Maghreb, on lui doit aussi la libération de meurtiers sri lankais. Peu étonnant qu’on le retrouve dans le comité de soutien du Parti Socialiste.

La vermine à l’état chimiquement pur.

Cela n’a rien de neuf. En France, les avocats ont toujours fourni des cadres au bolchevisme. A commencer par Robespierre, Danton ou Desmoulins.