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Captain Harlock
Démocratie Participative
02 Janvier 2021
L’année 2021 commence sous les meilleurs auspices. Malgré la crise sanitaire et les difficultés économiques, les Fronssés restent optimistes ! La preuve ? La vigoureuse démographie gauloise !
Commençons par Le Creusot.
Il n’a pas attendu 10 heures ! C’est en effet à 9h58 que Waher a poussé son premier cri à la Maternité de l’Hôtel-Dieu du Creusot. Ce solide garçon pesait 4,120 kilos et mesurait 54 centimètres… Une taille peu souvent atteinte à la naissance. Waher est le premier enfant de Chakila et Anzize Ahamed, un couple domicilié au Creusot et originaire des Comores.
Pardon, un couple fronssé.
Direction Dreux où la nouvelle année commence également très bien.
A quelques chambres de Louane, Julien Alkhatib, 3,9 kg, a clôturé l’année 2018 en beauté. Petit frère de Ward, deux ans et demi, Julien est le deuxième enfant de Nesrin, la maman âgée de 20 ans, et d’Osama, 28 ans.
Pour ce couple de Drouais, domicilié dans le quartier des Feilleuses, la venue de Julien est une étape importante vers une vie meilleure. Fuyant les bombardements et la tragédie syrienne, Nesrin et Osama ont quitté Damas en mars 2016.
Julien, un beau prénom français qui résout tous les problèmes.
Rendons à Nancy à présent.
Thaïs est le premier bébé de l’année 2021, pour la maternité régionale de Nancy, née à 1 h 53. Mais elle n’est que le deuxième enfant de l’agglomération de Nancy, puisqu’un Baptiste est né à Majorelle à 0 h 09.
C’est l’été dès le mois de janvier.
Nous allons en Savoie à présent où les douze coups de minuit ont été un moment de grande émotion à Chambéry.
La petite Yara est née à 1 h 13 le 1er janvier 2021, à la maternité de l’Éveillon de Chambéry en Savoie. Elle pèse 3,330 kg pour 50 cm. En plus d’être le premier bébé savoyard de l’année, elle est également le premier enfant de Khansa Seedhamed, 32 ans, et de Farid Mohamed Fahmi, 33 ans, tous deux Soudanais et résidant au Biollay à Chambéry.
Un moment d’espérance française.
Enchantement à Villefranche-sur-Saône.
Lucie et Léo Sébastien et Tantely habitent Saint-George-de-Reneins. La nuit a été éprouvante pour ce charmant couple. Ils sont ravis d’accueillir Léo, premier bébé de l’année 2021 à l’hôpital Nord-Ouest, né à 8 h 29. Il pèse 3,280 g. La grande sœur de Léo se prénomme Olivia.
On entend déjà les rythmes de la samba.
Passons à présent par la Normandie, dans l’Eure, où le premier bébé de l’année est membre du peuple élu.
Le premier bébé 2021 du département de l’Eure est une Vernonnaise. Abigail a montré le bout de son nez à 0 h 42 ce 1er janvier à la maternité de Vernon. Elle pèse 2,970 kilos et elle a déjà été gâtée en recevant un doudou de la direction !
Ils sont loin, les Vikings !
Toujours sous l’angle de la thématique prénom français, Mickaëlle est le dernier petit miracle de Romilly-sur-Seine.
Dans la nuit de jeudi à vendredi, Mickaelle a poussé ses premiers cris à 22 h 31… exactement. Elle pesait à cet instant 3,170 kg. Un joli cadeau du Nouvel an pour sa maman, Barbara Delva et John Olson, son papa. Tous les deux habitent à proximité de Pont-sur-Seine. Nous adressons nos félicitations aux heureux parents et déposons tous nos vœux de bonheur dans le couffin de ce beau bébé.
Les déclinologues n’ont qu’à bien se tenir !
Petit passage dans le Béarn profond où la natalité est forte.
Le petit garçon né à 0 h 43 à la polyclinique de Navarre est le premier bébé de l’année en Béarn. Il est le seul à être né dans la nuit de la Saint-Sylvestre à Pau.
Une Saint-Sylvestre paloise étrangement calme et un seul cri dans la nuit. Souvent marqué par une poignée de naissances entre l’hôpital et la clinique de Navarre, le passage à la nouvelle année a été marqué par une paisibilité bien conforme…
Bravo !
Très loin du Béarn, dans le Nord, une série de naissances donne tout son sens au mot du Général De Gaulle, « Tous Français, de Dunkerque à Tamanrasset ! ».
« Mayar veut dire en algérien lumière de la nuit », et c’est dans cette nuit particulière de changement d’année qu’elle est née, à 1 h 30. Éclairant celle de Megouda, Lommoise de trente-trois ans, qui s’attendait à la voir arriver quelques jours plus tard : « J’avais des contractions depuis deux jours, mais j’ai attendu que la poche des eaux soit rompue pour venir à l’hôpital. » Toute la famille s’est mise alors en route pour la maternité…
Douce nuit orientale.
N’écoutez pas les prêcheurs d’Apocalypse, la retraite de nos méritants Boomers est assurée, la CGT l’assure !
