Persécuté par les dealers de dope arabes de son quartier, Hakim le djihadiste appelle les kouffars à l’aide

Leutnant
Démocratie Participative
26 avril 2019

Nos dealers arabes menacent nos djihadistes arabes.

La Provence :

Hakim Azza, 30 ans, assigné le 3 mars 2019 par le ministère de l’Intérieur à résidence à Cavaillon avec une obligation de pointage quotidienne au commissariat, pour prévenir la commission d’acte de terrorisme, n’a pas respecté cette mesure le 20 avril. Ce jour-là mis à la porte par son père, « un homme à l’ancienne », il s’est rendu à Roquemaure chez sa sœur… Il s’est aussi présenté à la brigade de gendarmerie locale pour signaler sa présence. Jugé mercredi devant le tribunal correctionnel d’Avignon, Hakim Azza explique avoir fui Cavaillon pour échapper à des trafiquants de drogue qui l’ont menacé car il refuse de prendre en main la gérance d’un réseau.

Aidez-moi, aidez-moi, s’il vous plaît ne me jugez pas, aidez-moi. Au secours au secours ! », s’exclame le prévenu au tribunal. Condamné à 35 reprises, il poursuit en disant que la prison l’angoisse et qu’il veut changer de vie. Le Procureur de la République adjoint soutient que la mesure ministérielle n’est pas négociable en raison de l’extrême dangerosité du prévenu qui a un discours haineux envers les institutions, un homme qui se revendique de Daesch. Un homme sans vergogne qui ne veut pas se soumettre aux mesures prises par le ministre de l’Intérieur insiste le représentant du Parquet qui réclame une peine de 8 mois avec maintien en détention.

Me Faryssy, conseil du prévenu, s’indigne de cette procédure et dénonce un mélange des genres. La défense soutient que son client, qui a engagé des voies de recours et a respecté ses obligations pendant 47 jours a juste raté un jour de pointage avant de se présenter de lui-même à la gendarmerie. L’avocat plaide, dans le même temps, la souffrance de son client qui présente des troubles de la personnalité avant de demander une peine de principe. Après délibéré, le tribunal le condamne à la peine de deux mois de prison avec maintien en détention.

Le frère est persécuté pour suivre la voie droite d’Allah.

Cette justice de mécréants fait les oeuvres du sheytan.

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