Pérou : découverte d’un immense charnier d’enfants remontant à l’ère pré-colombienne

Captain Harlock
Démocratie Participative
28 août 2019

Quelle culture extraordinaire

Les pacifiques indiens à plumes, aujourd’hui menacés par l’Occident supra-capitaliste à l’origine du méga réchauffement climatique, étaient de paisibles et innocentes populations qui ne demandaient qu’à rester dans leur jungle immémoriale.

Du moins jusqu’à ce que les cruels conquistadors espagnols et portugais ne viennent les empêcher de manger leurs enfants.

Journal de Québec :

Une équipe d’archéologues a mis au jour les restes de 227 enfants sacrifiés selon un rituel de la culture précolombienne Chimu, présente sur la côte nord du Pérou actuel jusqu’à la fin du XVe siècle, a indiqué mardi à l’AFP l’archéologue Feren Castillo, une découverte d’une ampleur sans équivalent dans le monde.

« Il s’agit du plus grand site de sacrifice d’enfants, » a expliqué l’archéologue depuis la ville de Trujillo (nord ouest), précisant que les fouilles commencées en 2018 se situaient sur le site de Pampa la Cruz, dans la station balnéaire de Huanchaco, à quelque 700 kilomètres au nord de Lima.

Les enfants, âgés entre 4 et 14 ans, ont été tués selon un rituel offert aux dieux de la civilisation Chimu censé apaiser leur colère, supposée responsable des catastrophes naturelles liées au phénomène climatique El Niño.

Lol.

Je comprends la sympathie qu’éprouvent les babos vis-à-vis de ces peuplades arriérées : elles ont le même psychisme archaïque.

La seule différence réside dans le fait que ces écolo-communistes livrent nos enfants au dieu marron pour apaiser la violence des éléments.

Le communisme est comme la peste. Il mute sans cesse et sitôt qu’une épidémie est enrayée, une nouvelle souche du virus se met à sévir.

Mais revenons-en à ces inoffensifs indiens persécutés par les Blancs.

Les archéologues ont d’ailleurs trouvé des preuves d’un épisode de pluies abondantes au moment du sacrifice.

« Partout où nous creusons nous en trouvons un autre (enfant) », inhumé le visage tourné vers l’océan, a poursuivi le responsable des fouilles. Certains ont encore de la peau, des cheveux, et portent aux oreilles des bijoux en argent.

Huanchaco a été le théâtre de plusieurs sacrifices massifs d’enfants sous l’empire Chimu. Un charnier de 56 enfants avait été exhumé en juin 2018 sur le même site de Pampa la Cruz et un autre de 140 enfants et 200 jeunes lamas avait été découvert en avril de la même année à proximité, sur le site de Huanchaquito.

Le magazine National Geographic avait alors souligné le caractère exceptionnel de la découverte.

« Huanchaco est définitivement le lieu choisi (par les chimus) pour perpétrer ces sacrifices, » a conclu M. Castillo.

L’empire Chimu a connu son apogée entre 900 et 1450 sur la côte nord du Pérou, jusqu’à l’actuel Équateur. Il prend fin en 1475, renversé par l’empire Inca, un cinquantaine d’années avant l’arrivée des premiers conquistadors dans la région.

Si en un seul sacrifice, ces sauvages pouvaient exécuter plus de 200 enfants, on peut imaginer qu’en près de 550 ans d’existence ce peuple a sacrifié des dizaines de milliers de petites victimes.

Les scènes de tuerie devaient être particulièrement atroces, avec des gosses dont on ouvrait la poitrine à vif pour en arracher le cœur sous les yeux des autres malheureux, le tout dans une véritable piscine de sang.

La conquête espagnole n’a d’ailleurs pas vraiment entamé la soif d’hémoglobine de ces populations.

Elles sont devenues un peu plus timides, à la limite.

Et encore.

C’est cette diversité culturelle sud-américaine qu’apportent les migrants incas aux États-Unis.

Quelle chance.

Vraiment, l’humanité a perdu beaucoup avec la conquête espagnole.