Pendant ce temps-là, dans le paradis antiraciste sud-africain, les nègres brûlent des nègres dans la rue

Captain Harlock
Démocratie Participative
04 septembre 2019

 

Quelques nouvelles du paradis multiculturel sud-africain qui, comme vous le savez, est censé incarner la seule alternative acceptable à l’apartheid.

Récemment, les nègres locaux se sont mis à brûler les nègres venus d’ailleurs.

C’est étonnant car l’Afrique du Sud post-blanche doit incarner l’état antiraciste modèle.

France 24 :

Depuis dimanche, cinq personnes ont été tuées dans la région de Johannesburg, épicentre des violences, a annoncé mardi 3 septembre la police, qui a fait état de 189 arrestations et indiqué avoir déployé des renforts dans les points chauds de la capitale économique.

Mardi encore, la police a tiré des balles en caoutchouc dans le centre de Johannesburg, la principale ville du pays, pour disperser des centaines de personnes, certaines armées de machettes et de haches.

Elle a aussi repoussé des petits groupes dans le township d’Alexandra, qui jouxte le quartier financier de Sandton, pour prévenir de nouveaux pillages de commerces tenus par des étrangers. « Le plus grand nombre » de victimes sont des Sud-Africains, a précisé le ministre de la Police, Bheki Cele.

« Les gars sont arrivés en trombe et ont vandalisé les magasins », a expliqué à un témoin, Gavin Booldchand, à Coronationville, une banlieue pauvre de Johannesburg où deux personnes ont été tuées mardi. « Le propriétaire d’un magasin est sorti et a tiré dans la foule (…). Il a tiré sur un Noir en plein visage », a-t-il ajouté, accusant les étrangers de « prendre » les emplois des Sud-Africains.

La vague de violences et de pillages a débuté dimanche après la mort de trois personnes dans l’incendie encore inexpliqué d’un bâtiment du centre-ville de Johannesburg, avant de se propager à d’autres quartiers de la ville, puis à Pretoria.

L’Afrique du Sud, première puissance industrielle du continent, est le théâtre régulier de violences xénophobes, nourries par le fort taux de chômage et la pauvreté. Les violences des derniers jours ont causé une vive inquiétude dans les communautés immigrées de Johannesburg. « Ils ont tout brûlé », a témoigné mardi un commerçant originaire de Bangladesh, Kamrul Hasan, devant son commerce incendié du township d’Alexandra.

Jusque-là silencieux, le président Cyril Ramaphosa a pris la parole mardi après-midi pour « condamner dans les termes les plus forts » ces violences xénophobes. « Les attaques visant des commerçants étrangers sont totalement inacceptables », a-t-il insisté dans une vidéo postée sur Twitter, « je veux que cela cesse immédiatement ».

« Il ne peut y avoir aucune justification pour qu’un Sud-Africain s’en prenne à des gens d’autres pays », a insisté le président de la « nation arc-en-ciel » rêvée par son prédécesseur et mentor, Nelson Mandela. « Notre nation brûle et saigne », a aussi dénoncé le chef du principal parti d’opposition, Mmusi Maimane, à la tête de l’Alliance démocratique (DA).

En plus du bilan humain, les trois jours de violences ont fait d’importants dégâts. Des dizaines de magasins ont été vandalisés à Johannesburg et dans la capitale Pretoria, et des poids lourds soupçonnés d’être conduits par des étrangers incendiés dans la province du KwaZulu-Natal.

En 2015, sept personnes avaient été tuées au cours de pillages visant des commerces tenus par des étrangers à Johannesburg et à Durban. En 2008, des émeutes xénophobes avaient fait 62 morts dans le pays.

En fait, il n’y a pas « d’émeutes xénophobes » particulièrement exceptionnelles mais simplement un retour progressif au fonctionnement normal de tout pays africain.

Ce qui suppose pour les nègres de brûler d’autres nègres qui en retour les rebrûlent, etc., pour les quelques prochaines dizaines de millénaires.

Ce n’est bien évidemment pas ce qu’a vendu la presse juive à l’opinion occidentale.

La presse juive avait présenté l’Afrique du Sud sous contrôle blanc comme l’enfer sur terre, un enfer tel qu’il devait être écrasé pour lui substituer le pouvoir négro-communiste de l’ANC.

Tous les indicateurs font de l’ancienne Afrique du Sud un état autrement plus sûr et prospère que celle tombée entre les mains des nègres. Comme le Zimbabwe.

C’est ce qui attend également les pays blancs menacés par le communisme marron dont les bataillons d’électeurs sont renforcés chaque année par des millions de nouveaux immigrés importé par le cartel politico-bancaire démocratique.

Avec les mêmes conséquences prévisibles.

Au fond, c’est assez simple avec le sémitisme messianique que l’on appelle communément la gauche.

Elle a toujours tort mais n’abandonne jamais avant d’avoir détruit un pays ou un peuple pour le démontrer.