Patriotisme : la moitié de la communauté juive de Grenoble a fui à l’étranger

Captain Harlock
Démocratie Participative
19 mai 2022

Les promoteurs du Grand Remplacement sont finalement grand-remplacés.

Par contre, à la différence des petits Blancs, ils ont 36 destinations alternatives pour poursuivre leur rapine.

Le Figaro :

Au micro de France Bleu Isère ce matin, le rabbin de Grenoble, Nissim Sultan, a affirmé que plusieurs familles juives avaient déménagé dans une autre ville, voire dans un autre pays pour fuir les attaques antisémites.

« C’est une tendance lourde depuis une bonne quinzaine d’années », explique Nissim Sultan. D’après lui, « la moitié de notre noyau dur de fidèles » a quitté la ville, ce sont « des familles jeunes avec des enfants ou des retraités ». Ils seraient partis s’installer dans d’autres quartiers, villes voire d’autres pays comme Israël, le Canada ou les Etats-Unis.

Le rabbin de Grenoble explique que « chaque tag éveille les consciences à une réalité plus globale qui fait qu’on craint pour ses enfants à l’école, dans la rue ». « En tant que parents responsables, on prend donc les devants », poursuit Nissim Sultan.

En organisant l’invasion non-blanche du monde occidental, les juifs pensaient perpétrer le génocide parfait contre les populations européennes. Ils se voyaient régner sur un océan démocratique marron, pour l’éternité, comme Yahvé le leur promettait dans la Torah.

En France, les voilà désormais les cibles privilégiées de leurs petits protégés musulmans importés avec patience et détermination par l’intelligentsia hébraïque.

Vous remarquerez que ces mêmes juifs qui se disent plus français que les Français ont déguerpi comme des rats, sans demander leur reste.

Cela surprendra certainement Jean philosémite, le lecteur assidû d’Alain Finkielkraut, qui croyait que les juifs étaient d’ardents patriotes, prêts à défendre la France jusqu’au bout.

Pour l’antisémite endurci, c’est au contraire la marque de la permanence des caractéristiques raciales du parasite juif.

Semer le chaos dans un pays, le presser comme un citron et fuir quand la colère des goyim menace. Quand les goyim ne les chassent pas d’eux-mêmes.

Le patriotisme que l’on peut attendre du juif, c’est celui d’un pou. S’il s’accroche à un pays, c’est pour l’exploiter avant de filer à la première déconvenue sérieuse – non sans avoir insulté la nation entière qu’il squattait avec son insolence coutumière.

Un peuple qui suit aveuglément les juifs qui lui sucent le sang est un peuple condamné, à toutes les époques et sous toutes les latitudes. Dès que l’épreuve survient, le juif a disparu tandis que le goy naïf se retrouve seul avec la facture laissée par son ancien « compatriote ».

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