« Pas viril » : Solange Te Parle vous présente son téckel béta blanc avant de se faire sauter par du nègre agressif

Captain Harlock
Démocratie Participative
11 juin 2019

 

J’ai les oreilles qui saignent.

Voici la plus gluante fiotte du jour cyniquement exhibée par la traînée Solange Te Parle Mais Ne S’Epile Pas La Chatte.

Vous aurez remarqué que les fiottes ont un regard de poisson mort. Il est prouvé scientifiquement qu’un homme sodomisé perd son âme, ce qui se voit dans son regard de tante lascive devenue femelle.

Il faut aller au coeur de ce problème crucial qu’est la dégénérescence homosexuelle contemporaine. Beaucoup de jeunes se demandent d’où ces damnés peuvent provenir.

Il y a des gens qui essaient de lutter contre cette lèpre avec des arguments rationnels. Y compris quelques rares femmes comme l’anomalie macroniste Agnès Cerighelli.

C’est certainement méritoire mais inutile car nous avons à faire des malades mentaux et, par définition, il ne peut y avoir aucune discussion rationnelle avec des gens déficients mentalement.

Dire que ces malades mentaux sont des malades mentaux est un pas dans la bonne direction mais, là encore, c’est insuffisant.

Il faut dépasser ce diagnostic clinique et élargir notre perspective pour comprendre les causes de ce phénomène de plus en plus endémique.

Les causes sont simples : la race blanche, après 75 ans de paix, de démocratie de marché, de consumérisme et de tertiairisation de l’économie, s’est biologiquement dévirilisée.

C’est un phénomène physiologique.

Mais ce n’est pas propre à la race blanche. Toute race qui connaît la paix et l’opulence matérielle finira par être rattrapée par la dégénérescence.

Le travail physique et la guerre forgent les corps et les esprits, tout comme lever de la fonte ajoute des kilos de muscles à un corps et endurcit le système nerveux.

Le meilleur laboratoire pour le prouver est la Corée : un même stock génétique, deux systèmes politico-économiques. C’est probablement l’expérience sociale la plus radicale à grande échelle jamais réalisée.

L’économie de marché est certainement la plus efficace dès lors qu’il s’agit de produire de la richesse. Mais elle porte son lot de défis, des défis jamais rencontrés à cette échelle par l’homme.

Même les Romains de la décadence n’approchaient pas le degré de confort matériel dont bénéficie aujourd’hui un ouvrier occidental.

Avec la mécanisation et l’automatisation, les secteurs primaires et secondaires ont massivement désembauché au cours du siècle. Les paysans ont presque disparu et ceux qui restent sont des managers plus que des fermiers.

Cette paysannerie celtique millénaire a migré vers les villes où elle est devenue, pendant une voire deux générations, ouvrière.

L’ouvrier dépeint par les affiches communistes ou nationales-socialistes présente l’archétype du héros viril.

Au point qu’il est difficile de les distinguer.

Il suffit d’analyser les affiches du PCF pour constater l’évolution.

Hormis quelques secteurs particuliers comme l’agro-alimentaire, les usines n’ont plus rien de commun avec ce qu’elles étaient au siècle dernier.

Les femmes sont massivement entrées dans le secteur tertiaire à partir des année 60 si bien qu’aujourd’hui, la différence dans les tâches accomplies au travail est bien moins grande entre les deux sexes.

La puissance physique de l’homme est pour l’essentiel abandonnée au profit de ses capacités intellectuelles. Les femmes quant à elles prolifèrent dans de plus en plus de domaines où seules la mémorisation et la répétition sont demandées.

Tout le monde peut observer la tendance à l’androgynisation des hommes et des femmes qui en résulte. Cette nouvelle réalité se transforme à présent en sous-culture urbaine. La bourgeoisie contrôlant les moyens de production peut imposer ses normes culturelles dominantes au prolétariat.

A la confrontation sociale et raciale s’ajoute la confrontation sexuelle.

Le fascisme était une réaction masculine, plébéienne, de droite contre la bourgeoisie urbaine déjà en voie de féminisation.

Les sculptures du grand Arno Breker réalisées sous le Troisième Reich témoigne de la recherche de l’affirmation des qualités respectives des deux sexes et de leur complémentarité.

Breker mettait l’emphase sur ses caractéristiques guerrières en raison de l’effacement déjà manifeste de la virilité chez l’homme urbain de la démocratie libérale de l’entre-deux-guerres.

Maintenant que la femme occidentale est fortement masculinisée et l’homme féminisé, elle veut réellement exercer le pouvoir avec les encouragements du juif.

Cela passe par la mise en scène de ce pouvoir en s’emparant du phallus symbolique.

Exhiber des homosexuels constitue pour la femme infectée par le féminisme juif le moyen de signifier la neutralisation de l’homme. C’est aussi une stratégie d’encagement hostile.

Les homosexuels partagent avec les femmes ce besoin de neutralisation.

Mais la biologie des femmes reste intact et plus les hommes blancs se féminisent, plus elles deviennent frustrées sans réellement savoir pourquoi.

Elles demandent alors à des mâles colorés, restés en dehors de la modernité, de venir les prendre.

Ce qu’a fait cette Solange Te Parle avec un esclave.

Ces bourgeoises développent progressivement une stratégie matriarcale.

Bien insérées économiquement au sein de la classe dominante des grands centres urbains, elles veulent assouvir leurs besoins sexuels sans craindre de voir leur position sociale remise en cause par la réaction masculine blanche.

C’est ce qu’offrent les gigolos marron qu’elles louent.

La démocratie femelle

Vous ne trouverez aucun parti démocratique qui remettra en cause ce système. Un parti démocratique est un produit dérivé de la démocratie, pas l’inverse. Il est le fils illégitime de la déchéance démocratique, il ne peut pas avoir la force intérieure pour l’inverser mais seulement pour la répandre.

Le système démocratique reposant sur la seule loi du nombre, aucun parti révolutionnaire qui déclarerait vouloir changer la nature de l’Etat pour en faire l’instrument exclusif de la volonté de l’homme ne pourrait l’emporter dans les urnes.

Ce n’est pas un obstacle insurmontable : il suffit de ne pas en parler dans le détail et d’appliquer un programme de régénération une fois le pouvoir conquis. Mais un tel pouvoir serait par définition autoritaire, plébéien, méritocratique et hiérarchisé. Ce qui suppose non seulement une révolution politique, mais une révolution anthropologique.

C’est le noeud du problème : sans guerre, il n’y a pas de guerriers et sans usines, il n’y a pas d’ouvriers.

La désintégration sociale que nous traversons résulte de cette mutation sociologique et démographique et cette désintégration est la meilleure chose qui puisse nous arriver.

Plus vite l’anarchie se répandra, plus vite la démocratie s’effondrera, plus tôt les masses se tourneront vers une réaction masculine autoritaire.

Tant que les Boomers seront vivants, ils prolongeront l’utopie freudo-marxiste jusqu’à la consommation totale des structures sociales.

La lutte raciale, sociale et sexuelle va obligatoirement accoucher d’une nouvelle génération, endurcie par l’enfer qu’elle va affronter. C’est une évolution naturelle.

Ce que nous devons faire, collectivement, c’est de faciliter l’accouchement de cette génération en proposant une formule synthétique qu’elle pourra assimiler. Une bannière. Ce qui attire une telle jeunesse est révolutionnaire.

Les partis bourgeois « nationalistes » actuels cherchent à s’insérer dans le système qui est n’est qu’une survivance des Trente Glorieuses. Cette formule ne mène à rien.

Ce qui importe aujourd’hui, c’est de constituer une minorité explicitement raciste, déterminée à agir. Cette minorité dominatrice, constituée en dépit de la répression juive, attirera assez vite la part naturelle de la population qui recherche son leadership masculin blanc pour la diriger face à ses ennemis sociaux et raciaux.

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