Paris : Un brigand tunisien sauvagement lynché par la communauté srilankaise

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
12 septembre 2017

 

Une des conséquences du remplacement de population, c’est qu’il y a également un remplacement des victimes potentielles. Et des réactions.

France Info :

Un voleur à l’arraché, poursuivi par des témoins, a été roué de coups et poignardé, lundi 11 septembre dans le 10e arrondissement de Paris, rapporte France Bleu Paris, confirmant une information du Parisien. Son pronostic vital est engagé.

Ce Tunisien de 26 ans, aidé d’un complice, s’en est pris à la voiture d’un couple de touristes sri-lankais. Le premier a crevé les pneus de la voiture et, pendant que les touristes sortaient pour aller voir, le deuxième s’est emparé d’un sac à main.

Lorsque les touristes ont appelé au secours, dans ce quartier à forte population sri-lankaise, une foule s’est jetée sur le voleur. L’homme a tenté de trouver refuge chez des commerçants, qui l’ont repoussé. Il a été roué de coups de poing, de coups de pied et il a fini par recevoir deux coups de couteau dans le ventre.

La police a trouvé l’homme à terre, dans un état grave. Il a été transporté à l’hôpital entre la vie et la mort. Son complice est en fuite. L’enquête a été confiée à la police judiciaire.

Je connais les Sri Lankais. Ce sont des Cingalais bouddhistes, sauf le nord où une partie des Tamouls est musulmane. Les Tamouls sont une authentique saloperie, du même acabit que les Bangalis musulmans de Birmanie.

J’ignore s’il s’agit de touristes tamouls, mais j’en doute. Ce qui est sûr c’est que les Sri Lankais sont des ultra-nationalistes. En fait, dès lors qu’on sort d’Europe de l’Ouest, tous les pays sont peuplés de gens ultra-nationalistes et ultra-racistes.

Bien sûr, ce type de lynchage est la manifestation de la lente tiers-mondisation de la France. Et les Blancs aimeraient encore agir comme des gens civilisés et faire confiance à l’état de droit. Aussi symptomatique de la régression culturelle que soit cette sinistre réalité, il faut s’y adapter et les méthodes sri-lankaises sont bien plus dissuasives qu’un stage citoyenneté sur ordre d’une magistrate rouge.