Paris : Un bicot fanatisé appelle les nègres et les musulmans à la guerre raciale contre les Blancs

Gandalf Le Blanc
Démocratie Participative
22 mars 2017

J’ai déjà eu l’occasion de dire que le Parti des Indigènes (« PIR ») était une des meilleures choses qui soient arrivées politiquement en France.

Avant d’y revenir, j’invite les lecteurs à prendre deux minutes de leur temps pour écouter le discours de ce maghrébin membre de l’organisation de l’algérienne Houria Bouteldja :

« Ils ». Les Blancs. Vous, moi.

« Machine raciste ». Être blanc dans un pays historiquement blanc revient, pour cette race démoniaque, à être « raciste ». « Raciste » et « blanc » sont, pour ces cancrelats, strictement synonymes. Une leçon pour les faibles et timorés qui repoussent encore stupidement cette accusation plutôt que de la revendiquer.

Je ne me lasserais jamais de marteler une chose essentielle pour pénétrer la mentalité des races inférieures : un puissant complexe d’infériorité se développant sur un terreau racial immuable – faible QI et ravages génétiques induits par des millénaires de consanguinité – que vient péniblement compenser une psychologie victimaire agressive.

Les arabes et les nègres craignent comme le Diable l’eau bénite qu’on leur tende un miroir. Il suffit de leur faire contempler leur faillite culturelle et raciale. Faites en l’expérience, vous serez surpris de voir les convulsions de rage et les bouffées émotionnelles qui s’emparent soudainement d’eux. Ils n’ont que deux options : admettre leur infériorité ou chercher un bouc émissaire.

Tout ce que produisent les nègres, arabo-maghrébins et autres parasites en terme d’idées se résume à un long gémissement mêlé d’invectives contre tout ce qui leur est supérieur.

La jalousie et la haine régissent la psychologie primitive de ces masses. Ce qui se traduit par un recours à la violence et au sadisme, par volonté d’abaisser, donc d’humilier ceux qu’ils abhorrent. C’est-à-dire tout ce qui grand, beau, harmonieux.

Pour en venir au « PIR », il s’agit de la traduction de ce que je viens de dire. Qu’une organisation d’allogènes africains présente ceux-ci comme « indigènes » en Europe illustre précisément ce besoin de conjurer le réel par la haine des Blancs.

Ce Boussoumah a cependant raison sur un point : les choses vont rapidement s’aggraver pour eux. Mais contrairement à ce que ce crouille hurle à grand peine, c’est bien cette république gouvernée par une bourgeoisie blanche dégénérée qui permet à cette lie de se maintenir en Europe. Pas l’inverse.

Nous sommes à l’aube de la destruction totale de ce fléau. Plus rien ne peut l’empêcher, ce n’est qu’une question de temps.