Paris : après s’être fait voler sa Rolex à 10,000 euros, un juif se dit victime de persécutions antisémites

Captain Harlock
Démocratie Participative
12 août 2020

Encore une très ennuyeuse histoire d’agression « antisémite ».

Le Parisien :

C’est un déferlement de violences gratuites, de menaces de mort, de coups, de strangulations, d’insultes antisémites, « Sale juif! Sale fils de p…! Sale race! T’es un homme mort! On va te crever! ». David, la victime, 29 ans — « encore sous le choc, sonné » —, dit avoir « l’impression d’avoir vécu un viol ». « C’était un mauvais film dont je ne voyais pas la fin ». Il a déposé plainte.

Ce mardi, le BNCVA (Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme), a annoncé avoir aussi déposé plainte pour violences volontaires en réunion, aggravée, à caractère antisémite. « Nous l’avons transmise au procureur de la République, précise Sammy Ghozlan, président du BNVCA. C’est important que la victime ne se sente pas seule. Nous voulons qu’il ait l’association derrière lui pour le soutenir. Et nous voulons aussi que les services enquêteurs mettent tout en œuvre pour retrouver les auteurs mus par la haine du juif. »

C’est quand même extraordinaire.

Ce BNVCA n’est même pas une association française. C’est une organisation « antiraciste » pilotée par ce Sammy Ghozlan qui vit en Israël et qui est un virulent partisan de l’expansionnisme juif en Palestine.

Pour ceux qui l’ignorent, l’expansionnisme juif en Palestine – que l’on appelle communément le sionisme – consiste pour les juifs à s’emparer par la force de tout ce que bon leur semble dans cette région sur la base d’un privilège conféré par un dieu que les rabbins appellent Yahvé.

En pratique, les juifs nettoient ethniquement les villages qui tombent entre leurs mains en les accusant d’être peuplés d’antisémites. Comme sur cette vidéo filmée ces derniers jours où les bulldozers juifs détruisent la maison de cette petite fille qui se demande terrifiée où elle pourra aller vivre.

Les juifs font ces choses-là sur la base d’un texte écrit par leurs rabbins il y a plusieurs millénaires qu’ils nomment la Torah. Ce que les Chrétiens appellent l’Ancien Testament et qui constitue d’ailleurs la plus grande partie de leur Bible.

Par un fait assez inhabituel, il s’agit-là de la seule forme de colonialisme fondé sur la suprématie raciale d’un peuple sur un autre qui soit tolérée par les médias occidentaux. Il n’y a pas d’équivalent. Si les médias parlent sans cesse du colonialisme européen disparu au siècle dernier, ils observent un étrange silence sur la seule entreprise coloniale connue au 21ème siècle.

Il se trouve que ce cas unique est le fait des juifs.

Le minimum que nous sommes en droit d’attendre de la part des médias français – qui citent sans cesse ce Sammy Ghozlan pour nous accuser collectivement de ne pas satisfaire plus complètement les attentes des juifs – serait de préciser qui il est et depuis quel pays il parle. Et plus particulièrement du fait qu’il adhère à ce projet religieux qui consiste à chasser des gens de chez eux parce qu’ils ne sont pas de race juive.

Je ne crois pas que ce soit une demande excessive.

Lesquels auteurs courent toujours. Cependant, les deux agresseurs ont été filmés par les caméras de vidéo surveillance. « Ne vous inquiétez pas !, a glissé un policier du commissariat du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne) à David. Ils vont les retrouver. » L’enquête a été confiée à la Sureté territoriale (ST) parisienne.

Les faits remontent à jeudi dernier. « Je venais chercher ma fille de 7 mois chez mes parents, rue Archereau (XIXe), se souvient David. Ils la gardent pour les vacances. Deux jeunes hommes, parfaits inconnus, plutôt bien habillés, la vingtaine, ont surgi derrière moi quand je tapais le digicode. Ils se sont engouffrés avec moi dans l’ascenseur. Arrivés à l’étage de mes parents, ils m’ont sauté à la gorge alors que je sortais. J’ai essayé de crier. Je n’étais qu’à quelques mètres de la porte de leur appartement. Ils n’entendaient pas. Les portes sont épaisses ».

Le calvaire du jeune homme ne fait que commencer. « L’un m’étranglait tandis que l’autre me rouait de coups de poing. Puis ils ont ouvert la porte de l’escalier de secours et m’ont balancé. J’ai dévalé les marches. J’étais en bas, à terre. Ils sont revenus me rouer de coups et m’arracher ma montre au poignet et encore m’étrangler. Là, vous voyez la mort. Vous n’avez plus de force. Vous ne respirez plus. Vous voulez juste que ça se termine ».

David s’évanouit. « Après, j’ai un trou noir ». C’est son père qui, inquiet de ne pas voir arriver son fils, va ouvrir la porte de l’appartement. « Il les a entendu courir dans les escaliers. Je pense que sans lui, ils me laissaient pour mort ». Le père voit éparpillés par terre le téléphone de son fils, ses sacs, son trousseau de clé. Et ouvre la porte de l’escalier…

La famille va appeler le commissariat du XIXe qui ne se déplacera pas. David portera plainte dans le Val-de-Marne, où il réside.

La victime, l’arcade sourcilière enflée, le corps couvert d’hématomes, un bout de dent cassé, du sang sur une jambe, des traces de strangulation, va être auscultée par les médecins de l’UMJ (unité médico-judiciaire) de Créteil (Val-de-Marne). Et se voir prescrire dans un premier temps 10 jours d’ITT (Incapacité totale de travail) sous réserve d’autres examens.

« M’avaient-ils repéré les jours précédents en venant chercher ma fille ? s’interroge David, dans ce quartier du XIXe qui abrite une communauté juive importante. Je porte toujours la kippa ? » David s’est aussi fait voler sa Rolex, le modèle Submariner, valeur 10 000 euros.

Et après, des mauvaises langues diront que les juifs sont riches.

Pour en revenir à cette affaire, il s’agit-là d’une bien malheureuse agression dont les motivations crapuleuses sont évidentes. Mais il est tout aussi évident que pour récupérer sa montre à 10,000 euros, David a inventé de toutes pièces cette histoire d’insultes antisémites et de menaces de mort.

Il faut dire que les juifs étant habitués à voler les goyim, être détroussé comme au coin d’un bois par deux inconnus leur semble par définition être une agression antisémite. En tout cas, les médias ne prennent aucune distance vis-à-vis de ces allégations. Ils relaient ce que ce David affirme sur la seule base de ses dires.

Pour ma part, au vu du nombre impressionnant de cas de fausses agressions antisémites, je ne suis certainement pas près de me fier à des déclarations de ce genre.

Mais les médias, apparemment, si.

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