« On verra comment elle se terminera » : Vladimir Poutine apparaît le sourire aux lèvres après la dérisoire contre-offensive des golems de Zelensky

La rédaction
Démocratie Participative
17 septembre 2022

 

L’avantage d’un système autoritaire, c’est que le leader suprême ne peut pas prétendre qu’il n’est au courant de rien ou responsable de rien.

Son pouvoir repose sur son omniscience et son omnipotence théoriques. Se défausser avec des excuses a pour conséquence immédiate d’encourager les putschistes à passer à l’action.

Avec sa maîtrise habituelle, Vladimir Poutine est apparu pour couper court aux délires médiatiques alimentés par la juiverie financière internationale qui soutient Zelensky et qui arme ses mercenaires. Le président russe a accordé une conférence de presse en marge de sa rencontre avec les leaders chinois et indien en Asie centrale. Encore une fois, il a démontré la largeur de ses vues historiques et stratégiques, et rappelé les données brutes que doit affronter la Russie face à la guerre d’anéantissement que mènent les démocraties impérialistes contre elle, à savoir que les démocraties juives veulent démanteler la Russie pour se répartir ses ressources.

Les médias occidentaux faisaient grand cas de l’offensive ukrainienne récente à l’est de Karkhov, il était donc important pour Vladimir Poutine de rappeler que cette contre-offensive était largement anticipée après 8 mois de préparation par l’OTAN et que rien de fondamental n’en est ressorti, à part l’abandon de champs de patates représentant l’équivalent de la moitié d’un département français.

Avec sa classe légendaire, Vladimir Poutine a tenu à répondre spécifiquement sur cette « contre-offensive ».

« Voyons comment elle se terminera » a été sa remarque.

Ne perdons pas de temps en spéculations sous l’effet de la propagande juive.

Vladimir Poutine a ensuite abordé la question des récentes provocations juives sous drapeau ukranien, notamment à propos des attaques terroristes du juif Zelensky et de ses souteneurs de l’OTAN. Le président russe a indiqué que des saboteurs de ZOG tentaient d’attaquer des centrales nucléaires russes.

Il a répondu que l’armée russe n’est pas particulièrement timide dans ses actions, mais que les choses pourraient très sévèrement empirer pour la bande de Kiev si elle persiste dans l’orientation qui est la sienne, à savoir l’escalade militaire avec l’aide de l’OTAN. D’où les frappes d’avertissement contre les systèmes électriques de l’Ukraine il y a quelques jours.

Cet avertissement signifie que si le juif Zelensky continue de suivre ses coreligionnaires de Washington, l’Ukraine sera méthodiquement privée de toutes ses infrastructures civiles. Une telle campagne rendrait les villes inhabitables, ce qui n’est pas le cas actuellement. Il y a un coût politique à le faire, car c’est la population ukrainienne qui en supporte les conséquences, mais il n’y a pas de raison de faciliter les projets de Zelensky en épargnant son effort de guerre.

Du côté de ZOG, le programme est clair : envahir la Russie.

L’ancien boss de la CIA était sur CNN hier pour l’expliquer : l’OTAN arme et encadre l’Ukraine pour envahir la Russie, à commencer par la Crimée.

Ces gens pensent que la Russie ne peut rien faire de plus qu’actuellement, que ses moyens militaires ont atteint le maximum de leur potentiel. Comme ils en sont convaincus, ils s’attendent à une campagne assez facile à mettre en oeuvre, moyennant quelques centaines de milliers de goyim ukrainiens à sacrifier.

Biden est apparu également hier pour dire aux Russes de ne rien faire contre ce plan en ne ripostant pas avec son arsenal nucléaire tactique, qui n’a aucun équivalent dans le monde de par sa taille.

« Ne faites pas ça. Ne le faites pas. Ne le faites pas. Vous allez changer le visage de la guerre comme jamais depuis la Seconde Guerre mondiale », voilà ce que le président Joe Biden dit qu’il dirait au président Vladimir Poutine si le dirigeant russe envisageait d’utiliser des armes nucléaires ou chimiques tactiques. Dimanche, dans 60 Minutes.

On peut raisonnablement estimer que la prochaine offensive russe sera beaucoup plus dure qu’actuellement et qu’elle ne se limitera pas à la seule ligne de front.

Je pense pour ma part qu’une pluie de bombes nucléaires tactiques sur le front ukrainien aurait des vertus pédagogiques pour l’ensemble des démocraties. Quand des états factices comme la Lituanie se permettent d’émettre des menaces contre des états nucléaires comme la Russie, un recadrage est urgent.

Pour l’instant, la Russie mène une opération de police contresémite dans le Donbass. Cette opération de police pourrait muter si le gang de Kiev ne réalise pas la gravité de la situation. Beaucoup d’états voisins pourraient en retirer d’utiles leçons.

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