« On nous empoisonne ! », Victoria Abril s’emporte contre le «Coronacircus» grâce auquel « Macron s’en prend à nos libertés fondamentales »

Captain Harlock
Démocratie Participative
02 mars 2021

 

Cette vilaine goya espagnole vient de mettre fin à sa carrière française.

Le Figaro :

Invitée au trophée Féroz, à Madrid, pour recevoir le prix d’honneur, l’actrice espagnole a surtout fait parler son sens de la discorde. Arrivée sans masque sur le tapis, Victoria Abril a obligé les invités inquiets à se tenir loin d’elle. L’ex-muse de Pedro Almodovar a ensuite entamé son discours, évoquant la pandémie qui a fait plus de 2,5 millions de morts dans le monde. «Ce n’est pas le Covid, c’est le coronacircus. J’en ai marre de cette farce», s’est-elle emportée, relate le journal La Vanguardia .

Connue pour avoir mené une très large partie de sa carrière en France, l’actrice aurait annoncé son désir de retrouver ses terres, à Malaga, au bord de la mer, pour «pouvoir respirer». Lasse d’un Emmanuel Macron qui «s’en prend à nos libertés fondamentales» et d’un pays (La France) où l’on ne peut «ni aller au restaurant, ni voir une exposition, ou danser», elle a dénoncé une vie régie par la peur. Avant de clamer : «Il y a pire que perdre la vie, c’est perdre l’envie de vivre.»

Victoria ne pourra plus jamais tourner un film en France.

J’imagine qu’elle le savait parfaitement avant de dire la vérité sur la situation de ce pays.

Des plaintes aux fausses allégations, il n’y a qu’un pas que l’actrice a franchi allègrement à propos des vaccins notamment. «Non testés», selon elle, ceux-ci seraient à l’origine de «plus de morts» que s’il n’y en avait pas. «Ils nous ont transformés en cobayes. Les effets du vaccin ne sont pas connus», a-t-elle avancé, intimant à Maria Guerra, présidente de l’AICE (Asociación de Informadores Cinematográficas de España), qui tentait de l’interrompre, l’ordre de la «laisser parler». Sans crainte de «passer pour une complotiste», l’actrice a conclu sa diatribe, sûre de son fait, par cette affirmation : «Ils nous empoisonnent !»

Victoria sera bien mieux à Malaga.

De toute façon, il n’y a plus de cinéma français. Uniquement des déjections séfarades financées par l’argent du contribuable.

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