OFFICIEL : l’Australie n’est plus un pays majoritairement chrétien

La rédaction
Démocratie Participative
29 juin 2022

 

Après l’abandon de la politique d’immigration blanche en 1973 sur le modèle américain de 1965, l’oligarchie australienne a lancé le remplacement à grande échelle de la population anglo-saxonne et européenne par des masses du tiers-monde.

En 2022, le résultat est probant.

D’après le recensement de 2021 dont les résultats viennent de paraître, si l’Australie était encore de justesse une nation chrétienne en 2016, à 52,1% de citoyens australiens se déclarant chrétiens, ce n’est plus le cas en 2021, avec seulement 43,9% de la population qui s’identifie comme telle.

La poussée des autres religions – importées – est relative (+30% en 5 ans, tout de même), c’est surtout la progression rapide de l’athéisme ou de l’agnosticisme dans les masses de moins de 40 ans qui est le grand phénomène observé, avec 40% de la population australienne qui se déclare sans religion.

La religion n’est qu’un indicateur culturel.

Depuis la fin de la Deuxième Guerre Mondiale, la population du pays a été multipliée par plus de trois, passant de 7,5 millions d’habitants à 25 millions en 2021. Elle devrait encore augmenter de 7 millions d’ici 2050 en raison de l’immigration.

En 1947, 99,3% des Australiens étaient européens. En 2021, ce chiffre se situe aux alentours de 75%, avec un afflux massif de populations d’Inde, du Pakistan et du reste de l’Asie.

Les grandes villes australiennes sont depuis longtemps repeuplées par le tiers-monde et les Blancs y sont partout très largement en minorité.

Les Aborigènes, que l’on disait menacés, ne se sont jamais aussi bien portés, avec près d’un million de têtes, soit plus qu’à l’arrivée des Anglais dans le pays.

Cette masse est la vache sacrée de l’Australie, tout comme le nègre est la vache sacrée de la France. L’Aborigène est intouchable, au sens légal et culturel.

Les Aborigènes bénéficient tous, sans exception, d’un salaire à vie, sans obligation de travail. Ils le dépensent en alcool. L’Aborigène appartient à la faune australienne. Tout comme les dindes sauvages qui déambulent dans les rues du pays, ils errent de parc en parc, à s’abreuver aux frais des contribuables.

Ils ne sont pas nuisibles, car ils redoutent les Blancs, d’autant que le Blanc de base australien est un descendant de bagnard, toujours prompt à boire et cogner.

Leur nuisance est indirecte.

Ils possèdent 20% du pays, contrairement à une idée véhiculée par les marxistes. Le gouvernement australien ne peut rien faire sur ces territoires (en noir) sans l’accord des tribus aborigènes.

Les chefs abos croulent sous l’argent que doivent leur consentir en tribut le gouvernement, notamment pour tout ce qui touche à l’extraction minière.

Et les mines australiennes sont gigantesques.

L’Aborigène de base dont le sang est pur a un QI de 60 et peut à peine interagir avec des hommes. L’arrivée des Blancs a été un télescopage de deux sphères spatiotemporelles séparées de 60,000 ans d’écart.

Tout a été considérablement aggravé par la tentative des missionnaires chrétiens de sauver « l’âme » de ces hominidés, les arrachant de leur désert immuable pour en faire des disciples de Jésus. Le résultat a été une acculturation catastrophique, une migration vers les villes où aucune messe n’a jamais pu compenser les dizaines de millénaires d’évolution qui les séparent de l’intelligence d’homo sapiens.

Quant à Jésus, l’Aborigène ne sait toujours pas de quoi il s’agit, ce qui n’est pas plus mal.

Il est difficile d’estimer quand l’Australie sera à majorité non-blanche, mais 2050 semble le plus probable, comme toutes les démocraties capitalistes sémitisées qui ont placé le profit d’une poignée d’ultra-capitalistes et de financiers juifs avant la survie raciale de leur peuple.

Toutes les excroissances coloniales de l’Europe prouveront durant ce siècle qu’elles n’étaient pas viables.

Qu’il s’agisse du Canada, des États-Unis ou de l’Australie, toutes ces terres vierges peuplées d’une poignée de sauvages, bien que transformées en états modernes à la sueur de l’homme aryen, n’auront pas duré plus de trois siècles.

Elles seront toutes enfouies sous des populations mélanisées, par définition incapables de maintenir la culture aryenne des fondateurs blancs. Ces pays retourneront à un état végétatif, selon leur peuplement, avant d’imploser en factions raciales hostiles les unes aux autres.

La Chine autoritaire, homogène racialement, forte de moyens financiers, industriels et technologiques colossaux, n’aura rien à faire pour établir sa domination. Uniquement de se prémunir de l’empoisonnement du sang qui affecte les démocraties post-blanches, infectées par le juif.

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