Obéissant aux ordres des juifs, Macron annonce la censure du net pour 2019

Le Libre Panzer
Démocratie Participative
12 novembre 2018

 

Macron, le fourrier des juifs, a une nouvelle idée. Plus exactement, les juifs ont une nouvelle idée dont l’application lui revient.

C’est celle dont nous avons longuement parlé puisque nous en sommes une des causes.

Rien de très nouveau : censurer l’internet.

La vaginette à juif Mahjoubi évoque une censure à mi-chemin entre celle pensée par les fiottes juives de San Francisco et la censure communiste à la chinoise. Ce que les youpins appellent « un internet européen porteur de valeurs ».

Des valeurs boursières, s’entend.

Le journal du banquier juif Pigasse est particulièrement excité à l’annonce de ce futur système terroriste qui repose sur le ciblage de la population par le gouvernement avec l’aide du youpin Zuckerberg.

Le Monde :

La France veut franchir un nouveau palier dans sa lutte contre les discours haineux sur les réseaux sociaux. Emmanuel Macron a annoncé, lundi 12 novembre, dans un discours au Forum sur la gouvernance de l’Internet, la mise en place d’un groupe de travail commun avec Facebook. Le groupe de Mark Zuckerberg a donné son accord à une expérience de six mois, début 2019, dans laquelle des représentants des autorités françaises devraient pouvoir accéder aux outils, aux méthodes et au personnel de Facebook chargés de faire la chasse aux contenus racistes, antisémites, homophobes ou sexistes.« C’est une première. Et une démarche expérimentale très innovante, qui illustre la méthode coopérative que je prône », a expliqué Emmanuel Macron.

Une répression judéo-bolchevique très innovante.

Une « méthode coopérative ».

Collaborer avec la Stasi juive, en résumé.

Ce groupe, d’une petite dizaine de personnes, sera composé pour moitié de salariés de Facebook. Et pour l’autre moitié de membres – ingénieurs, juristes… – sélectionnés par le secrétariat d’Etat au numérique, et issus d’autorités et ministères français : l’Arcep, chargé des télécoms et de la régulation technique de l’Internet ; le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA), responsable notamment des contenus des télévisions et des radios ; la Dinsic, direction interministérielle des systèmes d’information et de communication…

Ce test s’inscrit aussi dans une offensive plus vaste, menée à Paris ou à Bruxelles, pour réguler les contenus en ligne en changeant les règles établies depuis 2000 par la directive sur le commerce électronique, qui distingue les statuts d’éditeur, responsable des contenus et celui d’hébergeur. « Il faudra faire évoluer le cadre légal », a expliqué Emmanuel Macron, prônant, comme le récent rapport de la députée LRM de Paris, Laetitia Avia, la création d’un « tiers statut » appelé « accélérateur de contenus » : celui-ci concernerait les réseaux sociaux et les moteurs de recherche comme Facebook, YouTube ou Google, qui ne produisent pas leurs contenus mais les « éditorialisent » en les classant, notamment via des algorithmes.

La négresse des juifs Avia n’a rien « prôné ». Ce rapport est une création juive, celle du CRIF et de son numéro 2, le youtre Taïeb.

Cette négresse est simplement la boîte Banania pour cacher la perfidie hébraïque.

Rien de plus.

Cette nouvelle réglementation pourrait aussi, pour le gouvernement, être l’occasion de bousculer l’architecture des régulateurs français, dont aucun n’est aujourd’hui dédié aux contenus du Web. Le rapport Avia préconise ainsi de créer un régulateur dédié au racisme et à la haine sur Internet ou d’étendre les pouvoirs du CSA, de longue date demandeur d’avoir autorité sur les contenus en ligne.

Toute cette juiverie gouvernementale panique.

Elle mandate ses nègres et ses pédés pour mettre en place cette censure généralisée.