Nous avons une vision claire du rôle des antifas et des flics dans la stratégie juive de sabotage des manifestations

Captain Harlock
Démocratie Participative
29 août 2021

 

La manifestation d’hier, samedi 28 août, a rassemblé environ 350,000 personnes, ce qui reste un chiffre équivalent aux premières manifestations des Gilets Jaunes.

Le principal avantage des manifestations à ce stade est de permettre à tous les Democrates de se découvrir et de se rencontrer.

Le drapeau QUI? est une œuvre d’art

Nous savons tous que nous sommes une minorité de non-vaccinés, puissante, mais minoritaire malgré tout.

La vaccination semble marquer le pas avec 48 millions de personnes zombifiées par Pfizer. Selon toute vraisemblance, Macron et sa bande préparent la vaccination obligatoire à l’automne si elle ne parvient pas à progresser nettement.

Les récentes décisions de différents tribunaux suspendant le passeport sanitaire à l’entrée des supermarchés va pousser le gouvernement à durcir sa position en vue de l’après 15 novembre, date où une nouvelle loi sera votée pour proroger le passeport.

Grâce aux rapports des Democrates, nous avons un panorama de la situation dans les différentes manifestations.

Après trois semaines, la manifestation de l’homosexuel Philippot est devenue une mauvaise farce hébraïque. Cette nasse est tenue par une masse de mercenaires négroïdes et de flics du renseignement tandis que des juifs passent en revue tous les participants. Tous les discours sont insignifiants et de la musique de kermesse donne à fond durant cette promenade parrainée par le CRIF dont les agents arpentent les cortèges.

Comme ce vieux yid à kippa qu’on croirait sorti d’un ghetto de Pologne.

Il dissimule sa kippa sous son chapeau.

Le sodomite Philippot se coordonne avec la Préfecture de Police et la juiverie organisée pour mettre en scène l’imposture.

Il ne perd rien pour attendre.

Les antifas coordonnés par les flics

Dans les autres villes, nous avons pu confirmer la stratégie du ministère de l’Intérieur et du juif Darmanin.

Les flics du renseignement contrôlent les mouvements des antifas afin de démanteler les cortèges. La stratégie est simple : assembler le jour de la manifestation tout ce qu’une ville compte de camés anarchistes végétant dans les squats, leur donner l’ordre de surgir dans le cortège pour en prendre la tête ou pour en détourner une partie vers une rue qui n’était pas prévue durant le parcours.

La confusion espérée est censée démobiliser progressivement les manifestants.

Comme ici, à Strasbourg, où la tentative des antifas a échoué.

Des antifas venus d’Allemagne avaient reçu consigne de prêter main forte à la vermine rouge locale.

C’est à Caen que cette stratégie a été mise clairement en évidence par nos camarades avec des flics pris en flagrant délit de coordination avec les meneurs antifas pour casser les cortèges en les désorganisant.

Montpellier, la capitulation de la Ligue du Midi permet aux antifas de semer la terreur

A Montpellier, tout s’est déroulé comme prévu – c’est-à-dire pour le pire.

Comme vous le savez, l’association appelée « Ligue du Midi » de Richard Roudier a capitulé après l’annonce par les antifas de leur prise de contrôle de la ville pour le samedi 28 août. Cela faisait suite à l’échec de leur tentative la semaine précédente. Après la décision de Richard Roudier de céder la rue aux rouges sans demander son reste, les autres nationalistes savaient qu’ils feraient face à une présence antifa au moins multipliée par trois.

Malgré cela, l’idée d’abandonner la rue à la vermine marxiste ne pouvait être tolérée et nos camarades n’ont pas reculé – ce qui mérite d’être souligné. Les antifas n’ont toutefois rassemblé, en tout et pour tout, qu’une cinquantaine d’individus dont une part d’éléments allogènes.

Les antifas traquaient n’importe qui arborait un drapeau tricolore devant la préfecture de Montpellier où ils s’étaient rassemblés, un détachement d’une vingtaine d’entre eux repérant les cibles. Sur ordre de Darmanin, les CRS présents avaient pour ordre de laisser les antifas faire le travail du CRIF, ce qu’ils ont fait le plus clair du temps avant de devoir intervenir face à ce qui ne peut être qualifié que de tentative de meurtre sur les personnes que les antifas prenaient pour cibles. Après un bref mais violent affrontement qui aurait pu très mal finir, des camarades ont été légèrement blessés. Rien toutefois qui soit de nature à casser leur moral.

Fait intéressant, les antifas ont abandonné l’idée de prendre le contrôle de la manifestation face au refus des manifestants de s’associer de près ou de loin à la crasse anarcho-communiste. A la place, les antifas se focalisent sur les antisémites conformément aux ordres du ministère de l’Intérieur et des juifs.

Si c’est une défaite de rue pour les nationalistes, le fait politique marquant est que les rouges ne parviennent pas à s’emparer du contrôle de la manifestation après des semaines de tentatives.

Les antifas n’arrivent pas à leurs fins

Les manifestations dans certaines villes sont des kermesses gauchistes sans intérêt, comme à Strasbourg ou Nantes. Là, les crapules de la CGT font leur petite sortie pour occuper le terrain tandis que les chefs de ce syndicat soutiennent à fond le gouvernement.

Beaucoup d’autres manifestations sont libres de toute présence antifa mais sont trop calmes pour marquer l’opinion.

Enfin, certaines villes comme Caen sont le théâtre de manifestations dynamiques où les antifas échouent systématiquement à briser la mobilisation pour le compte des flics et des juifs. Ce que nous devons à des manifestants totalement hostile aux marxistes ainsi qu’à une présence énergique de Democrates.

Et puis nous avons le cas de Montpellier qui pourrait être comme celui de Caen si des capitulards ne cédaient pas poliment la rue à l’extrême-gauche au premier communiqué des antifas diffusé sur internet. D’autant que la totalité de l’effectif antifa dans cette ville ne s’élève pas à plus de 50 nervis.

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