Notre liberté a pris fin le 6 juin 1944

Captain Harlock
Démocratie Participative
06 juin 2019

En ce 6 juin 2019, nous sommes tous heureux de célébrer le débarquement anglo-américain en Normandie, il y a 75 ans.

Je dis que nous sommes heureux parce qu’apparemment, nous sommes heureux.

Une des raisons de ce pourquoi nous sommes heureux, c’est que nous pouvons vivre libres. D’après Emmanuel Macron.

Je pense aussi.


Quand je pense à la France en particulier et à l’Union Européenne en général, je songe au mot « liberté ».

Liberté des peuples comme liberté des personnes.

Cela valait donc le coup d’écrabouiller les Normands sous un déluge de bombes.

Et de faire violer les Françaises par des nègres démocratiques.

Voici une anecdote, parmi de nombreuses autres, sur le sujet.

La Revue du 20ème siècle :

De par plusieurs de ces aspects, le premier viol qui donna lieu à un procès en France établit les modalités qui caractérisèrent la plupart des autres agressions commises entre le débarquement et la fin de la guerre. En fin d’après-midi le 14 juin 1944, à Vierville-sur-Mer, à quelques kilomètres de Sainte-Mère-Église et au centre de ce qui avait été quelques jours auparavant la zone de parachutage des 82e et 101e divisions aéroportées, une réfugiée polonaise du nom d’Aniela S. fut violée dans un champ à environ 300 mètres de sa maison. Sa sœur, Zofia S., et elle tiraient une charrette vers ce champ pour traire quelques vaches. Sur le chemin elles rencontrèrent « quatre soldats de couleur armés de carabines » qui les aidèrent à pousser la charrette.

L’un des soldats demanda du lait. Aniela commença à traire une vache pendant que Zofia se dirigeait vers un champ voisin pour rassembler d’autres vaches. Alors qu’elle rentrait dans le champ, un GI pointa sa carabine sur elle et la fit tomber en la frappant au visage. Selon les minutes du procès, elle se battit au sol avec le soldat pendant dix minutes. Elle témoigna devant les juges que le soldat « essaya de la prendre de force mais qu’elle ne voulait pas se rendre ».

Pendant qu’elle trayait la vache, Aniela remarqua que trois des quatre soldats étaient dans le champ voisin. En s’en approchant, elle remarqua que l’un d’eux était allongé sur sa sœur. Elle cria en sa direction et sa sœur lui répondit : « Ils ont braqué une carabine sur ma tête. » Se rendant compte du danger, Aniela s’enfuit en courant mais tomba au sol après qu’un deuxième coup de semonce fut tiré. L’un des soldats la saisit immédiatement mais fut lui-même écarté par Clarence Whitfield, un soldat de première classe âgé de 24 ans affecté au sein d’une unité du train. À cet instant, l’assaillant de Zofia abandonna la lutte. Il quitta le champ avec deux autres soldats pendant que Zofia s’enfuyait chercher de l’aide.

Après avoir violé Aniela, Whitfield « indiqua en faisant des gestes qu’il voulait qu’elle se livre à un acte sexuel contre nature ». Elle refusa et bientôt entendit son mari qui l’appelait. Craignant que le soldat noir ne tue son mari, elle essaya de s’emparer de son arme. Alors que Whitfield et Aniela se battaient, le mari entra dans le champ en courant, accompagné de trois officiers américains. L’un d’eux se saisit de la carabine et le mari d’Aniela frappa Whitfield qui demanda : « Pourquoi avez-vous fait ça ? Je n’ai rien fait. » Il fut retiré du lieu du crime, mais pas avant qu’un officier lui fît remarquer que sa braguette était ouverte.

Lors du bref procès qui eut lieu le 20 juin 1944, les témoins affirmèrent que Whitfield avait bu du vin. Un avocat demanda à Aniela si elle avait essayé d’empêcher Whitfield de la violer. Elle répondit : « Je craignais pour ma vie. Je ne pouvais pas faire grand-chose. » Whitfield avait en effet gardé son arme auprès de lui en permanence et s’en saisissait à chaque fois qu’Aniela essayait de se lever.

Ce viol est caractéristique tant par le nombre des soldats présents sur les lieux du crime, que leur appartenance à une unité de soutien, leur identité raciale, l’ébriété du violeur, la présence et l’utilisation d’armes de combat, et aussi par le fait qu’il fut commis de manière gratuite et fortuite. Il l’est enfin par l’issue du procès : Whitfield fut déclaré coupable, condamné à mort et pendu.

Plus généralement, la mort de 75,000 civils français sous les bombes anglo-américaines représentent un bien maigre prix à payer pour que nous puissions vivre en liberté comme aujourd’hui.

Au fond, le débarquement n’a jamais cessé depuis le 6 juin 1944. Il est devenu moins militaire, beaucoup plus nègre et encore plus démocratique.

Le régime pro-américain mis en place en France en 1944-1945 a été paré des vertus de l’indépendance nationale.

Pendant un temps, De Gaulle a même réussi à donner un peu de substance à ce simulacre en plaçant ce régime dans le camp des vainqueurs alliés. Après tout, nous avons même eu un juge à Nuremberg, Henri Donnedieu de Vabres, dont Renaud, son petit-fils sodomite, a été notre ministre de la cul-ture.

C’était un délais que les juifs ont consenti à accorder à De Gaulle. Une fois mort, l’erreur a été corrigée.

Nous sommes désormais le plus officiellement du monde des vaincus comme les autres, coupables d’avoir défié les juifs au même titre que le Troisième Reich.

Du coup, je dois dire que je ne comprends pas pourquoi la France a encore un siège permanent au conseil de sécurité de l’ONU.

Les Anglo-Américains nous l’avaient donné en tant que puissance victorieuse. Sur le papier disons.

Puisque la France a gagné la guerre tout en la perdant, nous célébrons donc notre héroïque victoire contre nous-mêmes.

Hier, en Grande-Bretagne, c’est un nègre qui a entonné le Chant des Partisans écrit par les juifs Maurice Druon et Joseph Kessel. Ce chant sémitique appelle à assassiner des Blancs en les égorgeant au couteau.

Puisque j’évoque ici ces « célébrations » au Royaume-Uni, autant parler de cette monarchie « victorieuse ».

En 1945, Churchill a pu faire le malin à l’entrée du bunker d’Adolf Hitler à Berlin avec ses amis bolcheviques.

Il ne pourrait plus faire le fanfaron aujourd’hui.

Une monarchie négrifiée.

Le cadeau naturel de cette « victoire » et de ce procès de Nuremberg dont tous ces stupides goyim pensaient que le châtiment serait réservé à l’Allemagne nationale-socialiste.

Hier, pour l’Aïd, la Grande-Bretagne victorieuse célébrait une autre victoire : l’Aïd à Londres.

Et à Birmingham.

Ou même jusque dans la petite ville de Wycombe dans le Buckinghamshire.

Je ne veux pas oublier de mentionner la liquidation des soldats de sa Très Gracieuse Majestée par des djihadistes, comme Lee Rigby.

En France aussi, nous pouvons apprécier les fruits de la victoire.

La libération du racisme blanc est un tout qui comporte son lot d’obligations.

Puisque la France actuelle a été « libérée » par les bicots sous commandement judéo-yankee avec l’appui de De Gaulle et ses amis communistes, il est logique qu’elle continue à être de plus en plus libérée par ces mêmes troupes au service des mêmes intérêts.

D’ailleurs, le verdict de Nuremberg s’applique également aux Américains eux-mêmes qui agonisent désormais sous l’effet du venin juif qu’ils ont répandu dans le monde.

Et plus les Américains en meurent plus ils doivent remercier les juifs de les avoir mobilisé pour faire les oeuvres du démon.

« Ce soir, nous remercions Dieu pour les braves fils du Royaume-Uni et des Etats-Unis qui ont vaincu les Nazis et le régime Nazi et libéré des millions de personnes de la tyrannie. Le lien entre nos nations est pour toujours lié par cette grande croisade. »

En effet, pour toujours.


On ne se défait pas d’un pacte avec le Diable.

On est condamné à faire sa volonté. De bonne ou de mauvaise grâce.


La guerre entamée il y a un siècle par la finance juive et le bolchevisme juif continue et vise toujours l’Europe.

Les puissances victorieuses continuent d’occuper le continent via leurs gouvernements fantoches et leurs auxiliaires du tiers-monde qui déferlent partout.

Lille

Paris

Nice

 

Nantes

Et la propagande de guerre alliée sature toutes les ondes.

Il y a donc des gens qui ont raison de célébrer le débarquement de 1944 organisé par les ultra-capitalistes anglo-américains avec l’aide des ultra-marxistes russes.

Ceux-là n’échappent d’ailleurs pas plus à leur sort que les autres.

Ceux qui ont raison de se féliciter, outre la bourgeoisie blanche imbécile qui spécule sur la destruction des peuples européens, ce sont les sémites et les sous-hommes qu’ils ont sous leur commandement.

Pour ce qui concerne les nations blanches, elles n’ont aucune raison de se féliciter de leur réduction en esclavage. Elles le font parce qu’elles sont totalement zombifiées par les médias juifs.

Ceci dit, plus le temps passe et plus les choses se clarifient. Ces démocraties financières aux ordres des juifs ne nient plus ce qu’elles veulent pour l’humanité blanche.

 

Ces célébrations toujours plus massives du « Débarquement », du « 8 mai » ou de la « Libération de Paris » deviennent plus religieuses, obsédantes, fanatiques à mesure que le programme juif produit ses effets démographiques.

De même pour la religion d’état occidentale qu’est le mythe de l’holocauste.

Les juifs ne veulent pas seulement détruire la race blanche, ils veulent que la race blanche célèbre sa propre destruction en offrande à Yahvé.

Les camps sont clairement définis : celui de l’instinct de survie raciste ou celui la bonne conscience judéo-démocratique.

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