Notre-Dame : des métèques afro-maghrébins avaient essayé de brûler la cathédrale de Saint-Omer en passant par l’échafaudage en mars dernier

Captain Harlock
Démocratie Participative
18 avril 2019

 

Les origines de l’incendie de Notre-Dame de Paris paraissent de plus en plus suspectes comme beaucoup de gens le pensent depuis le début.

En dépit des efforts du gouvernement juif pour nier d’emblée cette possibilité, des faits s’accumulent en plus des témoignages des experts les plus sérieux qui ont travaillé pendant des années sur le site.

Surtout, vous avez la presse juive qui déploie tous ses efforts pour diaboliser ceux qui s’interrogent.

Comme BFMTV, la chaîne du youpin Drahi.

Ce sont les accusations caractéristiques dont nous abreuvent généralement les juifs quand ils n’aiment pas que des informations de nature à les gêner, d’une façon ou d’une autre, sortent sur la place publique.

Le journal Le Parisien a livré, à la marge, quelques détails supplémentaires.

Le Parisien :

Parmi toutes ces auditions, qui se poursuivent ce mercredi, deux intéressent au plus haut point les enquêteurs. Selon nos informations, deux agents de la sécurité de la cathédrale ont aperçu les premières flammes, hautes de près de « trois mètres », selon leurs déclarations. Ils ont même fourni une photo aux enquêteurs de la PJ. Et s’ils ont pu voir les premières flammes, ce n’est pas par hasard. Quelques minutes plus tôt, vers 18h15, une alarme incendie a en effet clignoté sur les écrans de contrôle. Sauf que selon nos informations, un bug informatique aurait indiqué un mauvais endroit aux agents. Cela a-t-il entraîné un retard préjudiciable à l’intervention des pompiers ? Ce sera à l’enquête de le déterminer.

Une certitude : les agents de sécurité ont indiqué aux policiers que le foyer de l’incendie était localisé à l’angle, c’est-à-dire à la base de la flèche de Notre-Dame, du côté Seine. Quand ils arrivent sur place en empruntant l’ascenseur, le feu est déjà vif et ils ne peuvent plus rien faire. Reste désormais à savoir ce qui a pu provoquer ce violent incendie. Une des pistes envisagées par les enquêteurs de la Crim’ est celle d’un problème électrique. « Il pourrait y avoir eu un court-circuit, souligne un proche du dossier. Les enquêteurs s’interrogent notamment sur les ascenseurs qui ont été posé pour les travaux. »

Il a été régulièrement rappelé par les experts que les systèmes électriques étaient rigoureusement interdits sur les lieux et que rien ne pouvait se faire de manière erratique en raison des règles strictes en vigueur.

Ces ascenseurs n’ont pas été posés n’importe comment. C’est impossible.

Cette hypothèse de « bug informatique » qui détecte sans détecter n’a pour ainsi dire pas de crédibilité.

Elle ne change de toute façon rien : l’incendie a bien été repéré, relativement tôt, et le personnel en charge de la sécurité s’est rendu sur place par le même ascenseur, proche de la flèche. Ils n’ont pas dû chercher bien longtemps pour trouver le foyer.

Une alerte avait d’abord été donnée, menant à l’interruption de la messe, avant que celle-ci ne reprenne puis, une vingtaine de minutes plus tard, ne cesse définitivement.

Aleteia :

Pas de messe dans ma paroisse le lundi. En prenant le 47, en ce Lundi saint, je serai rapidement à Notre-Dame. J’arrive à 18h20, un peu en retard pour la messe de 18h15 célébrée par mon ancien curé de la paroisse Saint-Lambert, le père Carrau.

La lecture vient de se terminer et j’entends le psaume 26 chanté « Le Seigneur est ma lumière et mon salut. » L’évangile de saint Jean, l’onction à Béthanie, est proclamé. L’homélie commence. Le père Carrau n’a pas eu le temps de prononcer grand-chose quand une sorte d’alarme fait entendre alternativement une sirène puis une voix très forte qui dit un message inaudible, en plusieurs langues.

Dans le chœur, la dame à côté de moi me demande si j’ai entendu comme elle « le gros bruit ». Je lui réponds par l’affirmative bien que ne sachant pas précisément d’où ça venait ni ce que cela recouvrait. Plutôt en hauteur et à gauche. Habituée aux alertes incendie en tant qu’enseignante, je me demande cependant si c’en est une. Mais les vigiles arrivent et font évacuer tout le monde. Mêmes les fidèles de la messe. Aux alentours de 18h35.

Quand nous nous retrouvons dehors, nous ne savons pas ce qu’il en est. Les vigiles non plus. Très à cheval sur les procédures, ils rembarrent vigoureusement tous ceux qui veulent passer outre. Les grilles se ferment. Puis, alors que les touristes ne peuvent plus entrer, quelques fidèles dont je suis sont autorisés à rentrer, à rejoindre le prêtre pour continuer la messe interrompue. Plus de micro. Mais des personnes derrière et autour de l’autel s’affairent bruyamment dans cette cathédrale désormais vide, silencieuse. Le père Carrau a quitté l’ambon pour être plus proche de cette poignée de fidèles et commence deux phrases pour être interrompu très très vite : des hurlements nous intiment de sortir. On sent l’affolement grave. On obtempère sur le champ ; nous sommes dehors à nouveau à la vitesse de l’éclair. Incendie, attentat ? On déguerpit sans demander son reste.

Dehors à nouveau. Un peu sonnée. La messe ce n’est pas pour ce soir. Et là, levant la tête, de la fumée. Horreur. Il est aux alentours de 18h50. L’incendie est déclaré. Personne autour de moi ne croit pourtant que c’est grave. Ce n’est simplement pas possible. Mais au fur et à mesure que les minutes s’écoulent la sidération est palpable, celle de tous ceux qui sont présents, la mienne évidemment énorme. Les larmes me montent aux yeux.

L’incendie est détecté officiellement à 18h15. Vers 18h35, l’alerte est donnée et les gens évacués mais aucun incendie n’est visible de l’extérieur d’après ce témoin qui retournera ensuite brièvement à l’intérieur jusqu’à 18h50, soit 35 minutes après la détection de l’incendie.

Ce que l’on apprend, c’est que la flèche était notamment accessible par l’ascenseur de l’échafaudage. Cet échafaudage était situé autour de la flèche au pied de laquelle a débuté l’incendie.

Autre fait : l’incendie a commencé après le départ des ouvriers du chantier.

La proximité du foyer avec l’échafaudage et le départ d’incendie une fois les ouvriers partis laissent peu de place pour le hasard. Tout comme la violence du départ de feu qui a pu rapidement consumer du chêne vieux de plusieurs siècles en quelques minutes.

Des documents vidéos démontrent que ces échafaudages étaient utilisés par des allogènes pour se rendre sur le toit.

L’accès était loin d’être impossible.

Je veux enfin revenir sur un précédent très récent, à Saint-Omer.

La même méthode a été utilisée.

La Voix du Nord :

Au strict minimum, l’hypothèse de l’incendie criminel devrait être admise comme une piste possible. Or, tous les médias juifs ont systématiquement accusé de « conspirationnisme » tous ceux qui voulaient évoquer cette possibilité. C’est leur ficelle habituelle pour maquiller un crime d’origine sémitique.

Le gouvernement judéo-macroniste veut tout étouffer, c’est évident.

Ce truc est faisandé à 100%.

A 200%.

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