Niort : après avoir faussement accusé son ex de viol, une femme libérée pousse son nouveau mec à le dénoncer à la justice

Captain Harlock
Démocratie Participative
01 décembre 2020

Prenez le temps de vous asseoir avant de lire ce qui suit car vous risquez d’éprouver un profond malaise en songeant à l’épée de Damoclès qui est au dessus de votre tête d’homme blanc hétérosexuel.

C’est un cas d’école de la cruauté sans limite des femmes françaises en 2020.

La Nouvelle République :

Un habitant de Niort de 39 ans avait été arrêté, le jeudi 26 novembre 2020, parce qu’il était suspecté d’avoir tenté de violer son ancienne compagne : jugé en correctionnelle 96 heures plus tard, il a été relaxé, la supposée victime le blanchissant.

En l’espace de 96 heures entre le jeudi 26 et le lundi 30 novembre 2020, ce Niortais de bientôt 40 ans est passé d’une garde à vue criminelle, pour tentative de viol, à une libération à l’issue de sa comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Niort, les faits ayant été requalifiés en agression sexuelle par le parquet au vu du contexte et de la personnalité du mis en cause, au casier judiciaire vierge de toute mention. Le prévenu a aussi dormi trois nuits à la maison d’arrêt après son placement en détention provisoire, au soir du vendredi 27 novembre 2020.

La donne a donc changé, en début d’après-midi le lundi 30 novembre 2020 quand la supposée victime, son ancienne compagne avec qui il a eu deux enfants, s’est avancée à la barre : initialement, elle lui reprochait d’avoir essayé de lui imposer une relation sexuelle, eux qui continuaient à se fréquenter, à Niort où ils disposent chacun d’un domicile, depuis leur séparation remontant à la toute fin du dernier hiver.

« Il ne m’a pas réellement forcée, a-t-elle rectifié pendant que le trentenaire, natif de région parisienne, éclatait en sanglots. C’est moi qui l’ai provoqué : je l’ai mis au défi de me faire l’amour, c’était comme une bagarre puérile entre lui et moi. Nos disputes m’épuisaient, je voulais qu’il ait une bonne leçon. »

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« Si tu me baises pas je porterai plainte pour viol » (DLC 2020)

Les questions et les remarques ont alors fusé, à commencer par celles de la présidente, Sylvie Bordat : « Vous voyez où ça peut conduire… ». L’un des deux assesseurs a pris le relais : « Comment pouvez-vous être surprise que la dénonciation d’un tel acte conduise l’auteur présumé à se retrouver devant un tribunal ? ». Elle répond qu’elle « ne pensait pas » que la seule tentative de viol entraînerait de telles conséquences judiciaires. Et qu’elle « n’arrive pas à laisser quelqu’un seul » alors que son ex a replongé dans la dépression depuis leur rupture au bout de quatre années de vie commune.

Pas surprise, la vice-procureure de la République, Élise Malland, ne l’entend pas de cette oreille : « Votre version n’est pas tenable, il a fait des déclarations précises : vous l’empêchez d’assumer ses actes ! Ce n’est pas comme ça qu’il faut le défendre, ce n’est pas lui rendre service… ». Une certitude, néanmoins : le trentenaire, face au comportement de son ancienne concubine et de leur relation intime ininterrompue bien que la seconde a un nouveau petit ami, « ne sait plus où il en est ». En défense, Me Ambroise Garlopeau ne peut que s’engouffrer dans la brèche, plaidant la relaxe tout en insistant sur cette « relation extrêmement ambiguë ».

L’avocat est entendu, son client se voyant ôter ses menottes par son escorte de la police. La présidente Bordat n’oublie pas la « victime », qui n’avait jamais voulu déposer plainte, appelant d’abord son nouveau compagnon après les soi-disant violences sexuelles, celui-ci se chargeant d’alerter les autorités : « Vous risquez des poursuites pour dénonciation calomnieuse, voire pour outrage ». Ce sera possible si le ministère public, qui avait requis deux ans de prison, dont six mois ferme, contre le mis en cause, décidait de ne pas faire appel du jugement : sauf qu’il l’envisage bien.

C’est un cas d’école.

Cette garce manipulatrice a rompu avec le père de ses deux gosses pour se caser avec un nouveau pigeon, histoire de faire du tourisme sexuel. Le père sombre aussitôt dans la dépression et devient une proie facile pour cette traînée sadique. Elle exploite alors la situation pour soumettre la victime à d’intenses sessions de torture psychologique, allant jusqu’au chantage sexuel.

Quand finalement le pauvre homme cède, la catin démoniaque appelle son nouveau mec pour lui expliquer qu’elle a été sauvagement violée par son ex. Le chevalier blanc d’occasion fonce les yeux fermés, alerte les flics pour finalement terminer devant une magistrate qui lui annonce qu’il sera poursuivi pour dénonciation calomnieuse.

Bilan : un type en dépression jeté injustement en taule, un white knight abusé qui passera prochainement devant la justice et une pute sautée dans tous les sens qui a pu impunément assouvir sa soif de sadisme en ravageant la vie de deux mecs.

Je deviens de plus en plus convaincu qu’il faut mettre des caméras dans toutes les pièces de son domicile, chambre comprise. Avec la campagne de terreur #MeToo, être en tête-à-tête avec une nana comporte désormais des risques énormes. Une femme peut coucher avec un mec avant d’aller porter plainte pour viol le lendemain. Si elle est suffisamment habile dans le mensonge, elle peut clairement faire valider ses accusations et détruire à petit feu sa victime. Dans ce registre, les possibilités sont quasiment illimitées.

Mike Pence, le bras droit de Trump, s’interdit de se trouver dans une pièce avec une femme seule ou de dîner avec une femme. Il ne boit jamais d’alcool lors d’événements mondains si sa femme n’est pas à ses côtés.

Le vieux Mike connaît l’extraordinaire talent que les femmes ont pour la manipulation, tout spécialement avec des hommes de pouvoir qu’elles rêvent de contrôler et de détruire.

Les putes manipulatrices : mode d’emploi

Par Mike Pence

Une étude sur le sujet indique que les politiciens de Washington les plus expérimentés suivent un protocole extrêmement strict pour éviter la moindre interaction en tête-à-tête avec des femmes, y compris de leur staff.

Ces gens agissent ainsi car c’est une question de survie. La liste des putes qui ont ruiné la vie de mecs talentueux est si longue qu’une vie entière ne suffirait pas à citer tous les exemples.

Cette mesure préventive rend les féministes totalement folles de rage. Comme la lumière du jour sur les vampires, l’impossibilité de coincer un homme de pouvoir entre quatre murs pour le manipuler dans l’ombre leur fait pousser des hurlements de douleur.

Le problème aujourd’hui, c’est qu’il n’est plus nécessaire d’être un homme puissant pour devoir se protéger des putes manipulatrices. Comme à Niort donc.

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