Ni Boomer, ni Doomer : le chemin vers la victoire au 21ème siècle

Captain Harlock
Démocratie Participative
08 Février 2021

 

Ce qui nous différencie fondamentalement des Boomers est notre perception de l’avenir.

Les Boomers sont fondamentalement optimistes tout comme l’est leur idéologie libérale-cosmopolite.

L’expérimentation sociétale qu’ils ont lancé à partir de la fin des années 60 s’est convertie pour les deux générations suivantes en véritable enfer sur terre. Tout ce que les Boomers ont présenté comme un progrès a systématiquement été un recul pour leurs enfants et leurs petits-enfants.

Encore aujourd’hui, en dépit du désastre objectif que constitue la tiers-mondisation raciale de nos pays, les Boomers restent viscéralement optimistes.

Non seulement ils ne comprennent pas que leur utopie dégénérative puisse être rejetée et combattue mais ils se montrent de plus en plus agressifs à mesure que les nouvelles générations subissent les conséquences de leur hédonisme social et politique.

La conception qu’ont les Boomers du progrès est l’antithèse du progrès réel. Les Boomers pensent que le futur est par obligation meilleur que le présent et bien davantage encore que le passé. Ils sont incapables d’expliquer pourquoi rationnellement. C’est une superstition qui est gravée de manière indélébile dans leur cervelle.

Ce type de structuration mentale a pour effet de les libérer de tout sens des responsabilités. Si quoi que vous fassiez vous pensez que tout ira mieux demain, vous n’avez aucune raison de faire votre autocritique. Il suffit de vous éclater en endettant les futures générations et les problèmes se résoudront d’eux-mêmes.

L’autre conséquence, c’est que les progrès réels ne sont plus régulièrement soumis à une révision objective. Le progrès devient une notion abstraite qui se suffit à elle-même et qui ne s’appuie plus sur quoi que ce soit de tangible.

Dans les démocraties occidentales sous l’influence culturelle et économique des Boomers – et des juifs – les médias ont échangé le progrès quantifiable par de la verroterie. Comme le droit des homosexuels qui s’éjaculent mutuellement dans l’anus d’organiser des parades.

Ce que nous faisons de notre côté, c’est évaluer les progrès réels des sociétés occidentales.

Le problème lorsque nous le faisons, nous arrivons encore et toujours à la même conclusion en ce qui concerne la France : tout est pire, d’année en année.

L’écrasante majorité parvient à cette conclusion.

La patrie autoproclamée du « progrès » de 1789 est ainsi devenue le pays le plus pessimiste du monde et la Chine le plus optimiste du monde.

L’offensive néo-marxiste que nous expérimentons actuellement sous prétexte écolo-sanitaire est une tentative de la vieille garde gauchiste de conserver le contrôle du monde occidental au moment où les nouvelles générations procèdent à la réévaluation de la situation – ce que les Boomers et les juifs appellent le « populisme ».

Les juifs et les Boomers ont décidé que la meilleure façon de résoudre la crise de leur système était de nous enfermer de manière permanente tout en nous piquant régulièrement.

Cette solution a peu de chances de fonctionner dans la durée.

Même sous surveillance perpétuelle, les nouvelles générations voient l’écroulement de leur qualité de vie.

C’est d’ailleurs la principale conséquence de l’invasion des sociétés occidentales par un flot incessant de sous-hommes du tiers-monde : la baisse de plus en plus forte de la qualité de vie.

Les médias consacrent énormément d’énergie et de temps pour nous convaincre que la transformation lente de la France en Bangladesh bis est un progrès.

Dès qu’on allume la télévision ou la radio, l’immigration est obligatoirement positive. Ils créent une réalité parallèle dans l’esprit des gens. Et les juges s’assurent que personne ne bronche.

Ce qui nous guette, c’est devenir le négatif des Boomers.

Des Doomers.

Le Doomer pense que tout sera de pire en pire, éternellement. C’est un danger aussi grand que l’optimisme de principe du Boomer. Pourquoi faire quoi que ce soit pour résoudre quoi que ce soit si tout est voué à être irréversiblement pire ?

Les Zoomers – les enfants des Doomers – rééquilibreront ce rapport déformé à la réalité.

Aussi sérieuse que soit la situation raciale actuelle, elle n’est irréversible que pour un esprit du 20ème siècle qui raisonne en termes d’état-nation avec un peuplement et des frontières nettement démarqués.

Pour un esprit du 21ème siècle qui intègre la volatilité raciale, cette situation n’est difficile que temporairement. Pour lui, les paramètres de la survie sont bouleversés par des possibilités technologiques nouvelles qui rendent relatif tout ce que nous tenons pour acquis. Un peu comme au 20ème siècle lorsque les états assimilaient encore puissance et expansion territoriale parce qu’ils conservaient le prisme physiocratique et la levée en masse du 18ème siècle.

Par exemple, l’internet dispense de plus en plus radicalement de vivre dans une grande agglomération multiraciale pour travailler. Avec le télétravail, les vaches à lait en cols blancs fuient ces villes, laissant les politiciens de gauche sans ressources pour entretenir leur utopie communiste municipale. Une ville comme New York est actuellement en train de disparaître de la carte financière mondiale au profit de la Floride pour cette raison.

Bien sûr, tout le monde ne peut pas télétravailler – il y a des métiers qui nécessitent une intervention physique régulière. Mais cette rupture ouvre des possibilités nouvelles qui étaient impensables pour des millions de Blancs il y a encore 5 ans.

Ce n’est qu’un début.

Les gens qui raisonnent encore en termes d’état-nation ne peuvent pas s’adapter au 21ème siècle, pas plus que les monarchistes n’ont pu s’adapter au 19ème siècle.

Ces états fossilisés ne sont plus que des bureaucraties parasitaires surendettées dont la seule fonction est de rembourser les dettes souscrites par les Boomers.

Originellement, les élections servaient à orienter la politique fiscale de l’Etat. Aujourd’hui, les élections ne servent plus à rien parce que la seule politique possible est l’augmentation perpétuelle des impôts jusqu’à la faillite intégrale avec son corolaire qu’est le démantèlement des administrations centrales.

Nous sommes déjà des millions et des millions à avoir abandonné en pratique l’Etat et la démocratie.

Ce n’est pas que toutes les solutions soient immédiatement disponibles ou que nous n’allons pas traverser une crise grave mais notre rapport au temps et à l’espace va changer radicalement tout comme nos buts à court, moyen et long terme.

Si nous raisonnons comme au 20ème siècle, nous pouvons nous lamenter perpétuellement sur le fait que Paris, Marseille, Lyon ou Strasbourg soient des poubelles raciales.

Les poches de pus racial seront nettoyées à terme mais ce n’est pas notre priorité à court terme.

Si nous raisons comme au 21ème siècle, nous effaçons ces villes négrifiées et islamisées de notre carte mentale et les remplaçons par des zones de peuplement alternatives sur lesquelles nous voulons exercer toute notre influence contre l’Etat finissant pour préparer la contre-offensive.

Ce processus de dissociation anti-gouvernemental entraînera un mouvement social positif qui sera fondé sur ce que les Blancs veulent faire librement ensemble et non plus sur ce qu’ils ne veulent pas faire sous la coercition juive.

Si des Français de souche veulent obstinément lier leur avenir à celui des nègres ou des mahométans au nom du monothéisme démocratique, peu nous importe tant qu’ils ne sont plus en mesure de nous contraindre à les suivre dans leur suicide.

Ce qui doit tomber, il ne faut pas le retenir. Il faut encore le pousser.

Le clonage des organes, les possibilités d’inversement du vieillissement d’ici au 22ème siècle – voire avant, l’ectogenèse ou la massification de la robotisation offriront les possibilités d’un avenir racial nouveau dans lequel le temps deviendra une notion beaucoup plus relative qu’aujourd’hui.

Quand ce nouvel état d’esprit s’exprimera plus fortement et qu’il utilisera les nouvelles technologies pour s’organiser et agir, une révolution culturelle prendra forme et ouvrira des voies de développement totalement nouvelles.

C’est l’idée derrière le concept de Grande Bourgogne Blanche comme initiative positive face à la décrépitude raciale de l’Etat Français sémitisé.

Cette idée peut être étendue à tous les pays de peuplement blancs.

Il suffit qu’un seul pays accueille la base d’un tel mouvement pour que la révolution aryaniste commence.

Ce n’est évidemment pas quelque chose qui nous sera donné. Les juifs veulent nous détruire et feront tout pour y parvenir. Mais des possibilités stratégiques révolutionnaires peuvent nous permettre de conjurer l’anéantissement.

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