Nantes : Dieu soit loué, la guerre raciale totale est là !

Captain Harlock
Démocratie Participative
06 juillet 2018

Voilà des images qui valent mille mots.

Et pour faire bonne mesure, une vidéo prise juste après la liquidation du nègre musulman Aboubakar Fofana par les flics.

La ville de Nantes est donc, depuis des jours, le théâtre d’émeutes raciales sur fond d’appel aux représailles contre tout ce qui peut représenter le pouvoir, comprendre le pouvoir blanc.

Le même scénario se reproduit sans cesse : un nègre impliqué dans diverses activités criminelles tente de faire le malin avant de se faire arrêté ou calibré par la police.

France Bleu :

Le jeune homme mort mardi soir à Nantes lors d’un contrôle de police faisait l’objet d’un mandat d’arrêt pour vol en bande organisé. Il était âgé de 22 ans et originaire de la région parisienne. Sa voiture était surveillée en raison de soupçons de trafics de stupéfiants, selon une source syndicale.

La voiture du jeune homme faisait l’objet d’une surveillance en raison de soupçons de trafics de stupéfiants, selon une source syndicale. Lors d’un contrôle mardi soir, il a fourni une fausse identité. Alors que les policiers s’apprêtaient à vérifier son identité, le jeune homme a enclenché une marche-arrière en direction d’un CRS et d’une fillette qui circulait à bicyclette, toujours selon la même source. L’un des policiers, qui se trouvait à l’avant de la voiture, a tiré un coup de feu, tuant le jeune homme.

Ce mercredi soir, il a donné des précisions sur les premiers éléments de l’enquête. « Il y a déjà eu des tirs, la semaine dernière, dans le quartier. La situation était déjà très tendue. Ce mardi soir, les CRS ont contrôlé un véhicule Nissan. Le conducteur leur a donné une fausse identité. Les CRS lui ont demandé de se garer pour l’emmener au commissariat et contrôler son identité. À ce moment-là, il a fait une marche arrière à vivre allure. Un policier l’a suivi, il s’est placé à la hauteur du conducteur et il a tiré. Le jeune homme a été touché au niveau du cou et il est mort rapidement ». L’enquête doit maintenant déterminer quel a été le comportement exact du conducteur et dans quelles conditions le policier a utilisé son arme, c’est-à-dire s’il a respecté les règles fixées par le code de la sécurité intérieure.

Ce cafre s’ajoute à Adama Traoré et Théo Luhaka sur la longue liste de la vermine africaine soudainement touchée par la grâce, une fois coincée par les flics.

La presse judéo-communiste s’empresse alors rapidement de présenter le gangster nègre comme un agneau immaculé. Il n’est plus question que de témoignages de « voisins » qui assurent que la victime est un véritable modèle de civisme.

Ce que cette presse judéo-marxiste tente d’empêcher par tous les moyens est simple : que la population blanche ne prenne conscience de la guerre raciale en cours et qui vise à son éradication.

Une éradication réalisée avec des moyens primitifs : viols, meurtres, vols, déprédations diverses, émeutes raciales visant à intimider les derniers restes d’opposition.

Vous avez alors ces masses grouillantes de nègres et de crouilles qui hurlent à la « justice », c’est-à-dire à une débauche de violence contre tout ce qui peut encore s’opposer à leur prédation.

L’extrême-gauche ne s’y trompe, tentant de se raccrocher à ces hordes de sauvages, faute de troupes de choc dans leurs propres rangs.

Les flics peuvent bien sûr rager entre eux, ils demeurent les paillassons consentant de cette république juive. Il y a beau temps qu’elle a été infiltrée par la maçonnerie et placée sous les ordres directs des juifs. La base, notamment dans la bureaucratie, est rongée par le socialo-communisme et la féminisation a encore aggravé cette réalité.

Les seules unités qui voient encore clair sont celles qui doivent affronter la vermine raciale qui se développe partout. Et encore, ce n’est pas une garantie absolue.

J’ai déjà dit et je répète ici que plus tôt l’idée du renversement de la démocratie aura convaincu un large nombre de policiers et de militaires, mieux cela sera. Ce dont nous avons besoin c’est que ces deux institutions se refusent de lever le petit doigt lorsque ce régime juif s’effondrera d’épuisement.

Il y a également une autre chose à mentionner ici : c’est à quel point la démocratie est un régime fondamentalement faible. Observez cette bourgeoisie sénile, pétrifiée de peur devant la rage raciale des nègres et des musulmans : elle est prête à tout négocier pour un retour au calme. Ce schéma ne doit pas nous échapper : seul le fort l’emporte.

Pour ce qui concerne cette négraille, il n’y a qu’une seule réponse à apporter à terme au niveau gouvernemental et cette réponse est le nettoyage ethnique. Pas je ne sais quel « durcissement sécuritaire » comme le propose cette droite levantine puante qui, depuis trop longtemps, a fait perdre de vue aux masses la nature des enjeux.

Cette épuration raciale devra se dérouler dans l’ordre. Elle sera réalisée avec très peu de moyens, contrairement à ce que l’on entend ici et là. Quiconque affirme que ce n’est pas possible est soit agent de l’ennemi soit un défaitiste, ce qui revient au même.

Le seul exemple de la Birmanie démontre comment, en quelques mois, un million de rats mahométans peuvent être purgés par un état du tiers-monde déterminé.

C’est pourquoi je dis et répète que la seule chose qui importe pour nous est de remporter la guerre psychologique, celle qui vise à raffermir les Blancs dans leur volonté de détruire leurs ennemis sur leur sol. Tout ce qui appelle à l’apaisement doit être classé comme ennemi du peuple et, inversement, tout ce qui appelle à une solution définitive à la question raciale doit être nourri et encouragé, par tous les moyens.

Ce basculement n’est plus très loin dans l’opinion.

Les dieux ont déjà condamné la démocratie à la ruine.

Et Mars va nous offrir toujours plus de destruction et de mort pour réparer la souillure que cette création juive a répandu sur notre terre.