Nancy : la Ligue de Football aux ordres du gouvernement pédo-LGBT ferme une partie du stade pour protéger les fiottes violeurs d’enfants !

Captain Harlock
Démocratie Participative
29 août 2019

Fermons les stades car cette femme est en colère

Cette vipère arrogante de Macron, particulièrement concerné par le sort des pédés, a ordonné de procéder à une escalade répressive sans précédent contre des millions de fans de football pour donner de nouveaux gages à la secte pédo-LGBT dont la moitié de son pouvoir dépend.

BFMTV :

La commission de discipline de la LFP a infligé une lourde sanction à Nancy, à la suite de l’arrêt des rencontre contre Le Mans le 16 août en Ligue 2. La tribune Piantoni du stade Marcel-Picot sera fermée pour un match.

C’est historique: la commission de discipline de la LFP a officiellement sanctionné un club de football professionnel pour des chants à caractère homophobe. Dans un communiqué ce mercredi, cette dernière annonce que l’AS Nancy Lorraine est sanctionnée de la fermeture de la tribune Piantoni pour un match ferme. Le 16 août dernier, c’est durant la rencontre contre Le Mans que la première rencontre avait été arrêtée pour des chants de cette teneur.

Dans la foulée de cet arrêt, la Ministre des sports Roxana Maracineanu avait félicité l’arbitre Mehdi Mokhtari pour sa décision. Pour rappel, c’est à la suite d’un match contre le rival FC Metz (« Nous haïssons les Messins, ces ****, ces bons à rien ») que le speaker a fait une première annonce. Après cette prise de parole, la tribune ultra de Nancy « FC Saturday » a insulté la LFP (« La Ligue, la Ligue, on t’enc*** »). C’est alors que l’arbitre a renvoyé momentanément les joueurs aux vestiaires.

Dans son communiqué, la commission de la LFP ne s’arrête pas là. Elle note une série de « rappels à l’ordre » pour Marseille (deux fois), Montpellier, Bordeaux, Rennes, le LOSC, Nîmes, Nantes, Reims, Strasbourg, Grenoble, Le Mans, le Paris FC et Chambly pour « propos insultants ». Seront donc analysés la teneur des chants descendants des tribunes, tous n’étant pas forcément considérés comme homophobes.

Ces « rappel à l’ordre » pourront en plus tomber sans interruption de match. Reste à savoir au bout de combien de « rappel à l’ordre » une équipe se verra sanctionnée, l’OM en comptant déjà deux. Par ailleurs, l’AC Ajaccio a aussi écopé de la fermeture d’un tribune après la rencontre de la première journée de Ligue 2 contre Le Havre le 26 juillet pour « propos discriminatoires ». Ici, ce sont des propos racistes qui sont sanctionnés.

Ce gouvernement de juifs et de sodomites a visé trop haut dans le flicage de la plèbe.

C’est la révolte générale.

La police politique homosexuelle de Macron est désormais infiltrée dans les stades où elle écoute tout ce que disent ou chantent les supporters pour pouvoir les traquer et les persécuter.

Et à terme, les interdire de stade.

C’est la première opération homo-terroriste de l’histoire.

C’est sans précédent.

Les larbins de la LFP ne se sont pas faits prier et ont aussitôt entrepris de châtier le club de Nancy pour faire un exemple, espérant flatter le lobby homo-sidaïque qui contrôle l’Élysée.

Maintenant, je vous pose la question : qui des fiottes ou des supporters est censé donner le ton dans un stade de foot ? En toute logique, ceux qui font vivre ce sport en payant leurs billets et non pas une secte qui exige d’être vénérée parce qu’elle s’injecte du sperme sidaïque dans l’anus.

Ces pédales ont besoin d’une correction historique de nature à leur faire comprendre que leur seule option, à moyen terme, est de vivre cachées dans des caves.

Les Ultras ont une opportunité unique d’humilier Macron sur cette affaire. Il suffit qu’ils continuent à dire « enculés » et « pédales » en chantant, dans tous les stades, jusqu’à ce que la clique au pouvoir capitule.

Il est temps.

En plus, les vacances sont finies, c’est donc un bon moyen de se divertir.

Appelons cette opération « Opération Triangle Rose ».