Moselle : après avoir déjà « égorgé son ex-femme au bled », un brave algérien surine mortellement sa nouvelle moukère qu’il venait d’importer d’Algérie

Leutnant
Démocratie Participative
18 septembre 2019

Liberté pour ce génocideur de maghrébines.

Actu17 :

Le corps sans vie d’une femme de 53 ans a été découvert dans un appartement de la cité Maroc à Creutzwald (Moselle) ce lundi matin. Cette dernière présentait des blessures à l’arme blanche. Suspecté d’être l’auteur de cet homicide, son mari est activement recherché.

Des membres d’une association où la victime faisait du bénévolat ont donné l’alerte ce lundi matin. Les gendarmes ont pénétré dans un appartement situé au 2 rue de Bretagne dans la cité Maroc à Creutzwald, et ont découvert le cadavre d’une femme de 53 ans. Cette dernière présentait des blessures à l’arme blanche selon une source judiciaire.

Une enquête a été ouverte par le parquet et confiée à la section de recherches de la gendarmerie de Metz. Le mari de la victime âgé de 66 ans est activement recherché par les enquêteurs, tout comme son fils âgé de 15 ans né d’une précédente union. Le sexagénaire est suspecté d’être l’auteur de ce meurtre.

Plusieurs riverains affirment à L’Est Républicain que la victime, Chafia Ben Cherif, était régulièrement frappée par son mari. Cette dernière originaire d’Algérie comme son conjoint, aurait reçu des coups de la part de ce dernier la semaine dernière, dans un parc, non loin de leur domicile. « Régulièrement, elle hurlait, elle appelait à l’aide. Parfois même en plein milieu de la nuit. On prévenait les gendarmes, mais on avait l’impression d’être les seuls à le faire… », expliquent des voisins au journal.

« Elle nous a dit que son époux la bâillonnait, lui étouffait la bouche avec des coussins pour qu’on n’entende pas ses cris », ont-ils ajouté. La quinquagénaire était arrivée d’Algérie il y a environ 5 ans pour se marier. Selon une amie de la victime, la précédente femme du suspect en fuite « a été égorgée au bled » par ce dernier.

Il y a quelques semaines, le 20 août, les gendarmes étaient intervenus à deux reprises au domicile du couple pour des violences conjugales. Le mari avait été placé en garde à vue malgré l’absence de plainte de la victime. Poursuivi par le parquet, il devait être jugé devant un tribunal pour ces faits, ultérieurement.

Selon les premiers éléments de l’enquête donnés par Le Républicain Lorrain, le crime aurait été commis entre vendredi et samedi.

Si la piste du meurtre par conjoint se confirme, il pourrait s’agir du 106ème féminicide depuis le 1er janvier en France selon le collectif « Féminicides Par (Ex) Compagnons ». Ce lundi, une femme a été mortellement poignardée par son ex-concubin au Havre, devant ses trois enfants, en pleine rue.

Il y a un fil conducteur dans ces « féminicides » : l’oppression patriarcale blanche.