Montreuil : Des nègres encadrés par les marxistes attaquent en justice la mairie pour continuer à squatter

Leutnant
Démocratie Participative
26 octobre 2017

 

 

Les vertus de la démocratie où d’immondes nègres à peine débarqués de Centrafrique peuvent faire valoir « leurs droits ».

Et bien sûr, dans une ville totalement négrifiée comme Montreuil, on retrouve la vermine marxiste qui se déchaîne pour aider la vermine à s’infiltrer.

Le Parisien :

Réunis en collectif et appuyés par l’association Droit au logement (DAL), des Africains expulsés il y a trois semaines d’un immeuble appartenant à la mairie contestent la légalité de l’expulsion.

La ville est assignée en référé au tribunal d’instance de Montreuil, ce jeudi, par vingt-cinq Africains expulsés de leur squat il y a trois semaines. Ils occupaient un immeuble appartenant à la mairie, rue Gambetta. Réunis en collectif et appuyés par l’association Droit au logement (DAL), ces hommes et ces femmes, qui campent depuis dans la rue, contestent la légalité de l’expulsion.

Ils assurent être entrés dans l’immeuble il y a plus d’un mois. Tous racontent s’être fait escroquer par un homme qui leur aurait fait signer un faux bail pour encaisser un « droit d’entrée » de 800 € par personne, ainsi qu’un loyer du même montant.

« Missié, nou ça y’en avoi’ été esc’oqué là dis-don. Nou ça y’en vouloi’ no sous là ».

Contactée ce mercredi, la ville s’est abstenue de tout commentaire. Quelques jours après l’expulsion, elle avait assuré avoir respecté le délai maximal de 48 h prévu par la loi, entre le moment ou leur présence a été remarquée et l’évacuation des lieux. « Il n’y avait personne dans l’immeuble avant cette date puisque nous avons constaté une présence jeudi 5 octobre grâce au déclenchement d’une alarme anti-intrusion, soit la veille de l’expulsion, où 9 personnes ont été délogées », avait-elle alors indiqué. Une affirmation que conteste l’avocate des plaignants. « Leur présence dans l’immeuble remonte à plusieurs semaines, affirme-t-elle. La ville aurait dû respecter la procédure, qui consiste à envoyer un huissier et dresser un constat ».

Dans la rue Gambetta, plusieurs riverains affirment aussi avoir vu, dès le mois de septembre, « des Africains sortir tôt le matin de l’immeuble. » Une voisine, excédée par les nuisances occasionnées par la présence du squat en face de chez elle, s’en est plainte, dès le 1er octobre, sur le réseau social Facebook.

De tous, ce sont ces rats du DAL qui sont les pires.

L’heure de la grande distribution de triangles rouges se rapproche.