Montpellier : Le doyen de la faculté et chef héroïque des Chemises Noires condamne les bandes communo-terroristes (vidéo)

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
24 mars 2018

 

Nous en savons plus sur ce qui s’est passé hier, à la faculté de droit de Montpellier. Nous nous doutions qu’il s’agissait d’un coup des bandes communo-terroristes. Et c’est avéré : les hordes d’anarchistes stipendiés pour semer le chaos ont bien agressé les étudiants de cette faculté, générant un mouvement de foule suite à la réaction des victimes.

Fort justement, le chef des Chemises Noires Philippe Pétel s’est dit « fier » de ses étudiants qui, malgré les coups, ont pu stopper la violente agression de ces asociaux.

C’est homme est admirable.

Dans un pays où les hordes anarcho-communistes sèment la terreur dans les universités depuis 50 ans, cette réaction d’autodéfense face à la sauvagerie rouge est compréhensible. Le Squadriste Pétel le dit : la police n’a pas bougé.

Et en fait, elle ne bouge jamais.

Il est probable que les rouges décident d’utiliser cette réaction de légitime-défense pour attaquer cette faculté et même la personne de Philippe Pétel.

C’est un dangereux signal envoyé pour eux : ils ont l’habitude d’utiliser la dernière brutalité pour s’imposer. Qu’ils soient chassés par la force les fait paraître faibles et ils se doivent donc d’alimenter l’escalade.

 

Il est urgent de se mettre en rapport avec le Doyen et chef squadriste Pétel pour offrir tout soutien nécessaire, étant entendu que nous sommes, par principe, non-violents. Et que c’est par non-violence que nous devons nous mettre en rapport avec lui.

[email protected]

Secrétariat : 04 34 43 29 85

Cette affaire peut potentiellement convaincre les rouges d’étendre la violence à toutes les facultés.

Ils vont probablement aller chercher toute la pouillerie migrante imaginable pour grossir leurs rangs.

Et comme le cartel terroriste de la CGT est occupé à affronter le gouvernement pour une histoire d’argent, elle va probablement appuyer l’agitation. Tout comme ce qu’il reste du PS et de la gauche.