Mila vend désormais ses culottes pour résister à l’islam

Captain Harlock
Démocratie Participative
16 janvier 2022

 

J’étais au courant depuis des jours, mais aujourd’hui il ne se passe rien donc j’ai le temps d’en parler.

Mila a enfin révélé le secret de son opposition radicale à l’islam.

C’est une histoire de chatte et d’argent, pour votre plus grande surprise.

Les traînées sont dénuées de scrupules.

Avant 1945, année funeste s’il en est, les bordels étaient légaux en France. Les bordels ont toujours existé, partout et tout le temps. Ce qui varie d’une époque à une autre, c’est leur légalité et la capacité de l’Etat à taxer les putes. Aujourd’hui, non seulement l’Etat ne peut pas taxer les putes, mais en plus le féminisme est parvenu à interdire la criminalisation de la prostitution.

Les putes gagnent sur tous les tableaux. Elles peuvent escroquer les affamés sans avoir à répondre de leurs actes tout en prétendant être Sainte Thérèse de Lisieux.

Par le passé, l’humanité souffrante pouvait au moins avoir quelque chose en échange de ses deniers. Dans un monde soumis au joug féministe, les femmes doivent tout obtenir des hommes en échange du moins possible. Ce qui nous mène à cette prostitution sans la prostitution où le type passe à la caisse sans que la pute ne donne rien ou presque.

Le discours anti-immigration me semble bien peu performant, en l’état.

Personne n’y croit.

Une approche différente paraît urgente.

Une posture présidentielle vraiment subversive consisterait à dire quelque chose du genre : « Nous avons un très gros problème démographique et nous avons besoin d’immigrées pour payer nos retraites ! Toute femme de moins de 23 ans d’un pays pauvre doit pouvoir venir enrichir la société française ! Il nous faut au moins 400,000 nouvelles immigrées par an pour faire le travail que les Françaises ne veulent plus faire ! »

L’état d’hystérie des femmes blanches serait difficilement descriptible.

Les poussives manifestations féministes ne seraient rien par comparaison. Ce serait certainement les premières émeutes ovariennes de l’histoire de France.

La femme blanche est immunisée contre tous les dangers. On peut l’appeler traînée, salope, garce, pute, tout lui glisse dessus comme de l’eau sur un manteau. Mais appelez-la « femme » et vous serez stupéfait de la façon dont elle recule, à quel point elle est blessée, comme elle fait marche arrière : « Je suis découverte ! ».

Faites venir du tiers-monde 400,000 gonzesses de 20 ans par an pour remplacer ces Françaises haineuses et ingrates et vous verrez ce pays devenir une forteresse imprenable, les frontières hérissées de miradors et de mitrailleuses, les charters pleins à craquer, les débats interminables sur la nécessité d’en finir avec l’immigration et la défense de l’identité française.

Vous n’en croiriez pas vos yeux.

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