Mila passe chez Yann Barthès : ça ne suffira pas à empêcher les musulmans de l’assassiner

Captain Harlock
Démocratie Participative
04 Février 2020

Le fait que Mila ait un type racial nordique ne contribue pas à la rendre populaire chez les mahométans haineux

Hier soir, Mila la blasphématrice était accueillie sur Quotidien pour s’exprimer après deux semaines cloîtrée chez elle.

J’ai écouté ce qu’elle a dit. Pour résumer, elle a essayé de sauver sa tête en parlant de « musulmans modérés » sans se dédire à propos de l’islam pour ne pas décevoir l’avocat juif de Charlie Hebdo Richard Malka qui investit dans l’affaire.

Comme elle a essayé de ménager la chèvre et le chou, les crouilles sont furieux.

Les furieux n’aiment qu’une chose : la soumission complète et spectaculaire.

Les larves des « Grandes Gueules » ont été particulièrement vicieux. Ils ont invité un rat en furie mais l’ont sélectionné pour qu’il n’ait pas un horrible accent du bled comme 90% des maghrébins établis en France.

« Farid »

Il va sans dire que ce qui sauve cette gamine est le fait qu’elle soit une lesbienne LGBT revendiquée. Si elle n’avait été qu’une jeune Française normale, elle aurait été solidement boycottée par les médias du système qui n’auraient vu en elle qu’une sorte de Lepéniste.

Mais comme les médias juifs comptent énormément d’homosexuels, un certain nombre d’entre eux sont de plus en plus inquiets face à la vivacité démographique de la France d’après la France.

Donc, ils consentent à la mettre en avant simplement parce qu’ils pensent que ça reste narrativement sous contrôle, c’est-à-dire à gauche.

Mais tout ça n’a pas grande importance.

Mila ne peut plus mettre les pieds dans un seul établissement de son département. Le ministère de l’Education, qui a compris les ravages médiatiques de cette fatwa réelle, tente depuis des jours de négocier un retour de l’infidèle dans son établissement, pour sauver la face.

Il s’agit uniquement de gagner du temps.

Blanquer sait très bien que d’ici deux ou trois semaines, elle devra fuir. Sauf à déployer un escadron de CRS en permence devant son lycée. Et encore, Daech dispose de RPGs pour forcer le passage, le cas échéant.

Cette nana est devenue une cible à forte valeur ajoutée pour les djihadistes. A la fois parce qu’elle a été surmédiatisée et parce que c’est une lesbienne LGBT.

Aussi influents que soient les activistes du lobby LGBT, une lesbienne est très loin d’avoir la même valeur qu’un juif sur le marché victimaire. Les moyens déployés pour la sauver seront bien plus modestes que pour protéger une synagogue où tel ou tel juif médiatique.

Les musulmans, outre le commandement de venger l’affront fait à Allah, savent que des millions de kouffars blancs s’identifieront, eux ou leurs gamins, à cette gamine. Voilà un puissant levier pour semer la terreur en France avec une opération minimale qui pourra être menée n’importe quand sur les dix prochaines années.

Les gens pensent que c’est, au mieux, une question de « liberté d’expression ».

C’est une question de pouvoir et les crouilles exercent déjà, grâce au jeu démocratique, assez de poids pour refroidir les ardeurs de l’Etat Français.

La Secte du Bédouin a besoin de sang frais.

Elle ne va certainement pas capituler face à Mila au motif que Barthès l’a invité sur son plateau. Ni d’ailleurs que les flics soient avertis.

Tant que les Blancs seront des moutons étroitement contrôlés par une république juive qui les empêche de se défendre, ils se feront exécutés.