Mélenchon rappelle fort justement ce que Zemmour écrit dans ses livres : il pense et agit en juif

Captain Harlock
Démocratie Participative
29 octobre 2021

 

Jean-Luc Mélenchon a rappelé une vérité d’évidence aujourd’hui en indiquant que les positions d’Eric Zemmour sont gouvernées par sa pratique du judaïsme.

Mélenchon répondait à la polémique grotesque lancée par le rabbi Korsia, lequel accuse le juif pratiquant Zemmour d’être un « antisémite ».

[NB : Quand un juif pratiquant traite d’antisémite un autre juif pratiquant, c’est grotesque]

Du coup, c’est Mélenchon qui s’est retrouvé assiégé par les juifs qui l’accusent également d’être un antisémite.

Mélenchon se contente de citer ce qu’écrit Zemmour dans ses livres.

Il n’y a aucune ambigüité.

Dans le Destin français, Zemmour écrit :

La royauté française est juive « spirituellement », comme le note Colette Beaune dans son ouvrage fécond sur la Naissance de la nation France. Mais plus on admire les Juifs de la Bible, plus on persécute les Juifs réels, selon un modèle que nous connaissons aujourd’hui grâce à René Girard et sa fameuse analyse sur le désir mimétique. Nous voulons être ce que nous admirons, mais nous le détestons d’être ce qu’il est, car nous souhaitons le remplacer. C’est tout le sens de la disputation provoquée par Saint Louis et des condamnations et persécutions qui s’ensuivent. Voltaire ironisera sur ces juifs brulés au son des cantiques juifs. Les juifs avaient exterminé Amalek sur ordre divin ; les juifs prenaient la place maudite d’Amalek dans la liturgie du nouvel Israël chrétien […] Les deux nations sont condamnées sous peine de mort à retrouver leur intimité ancestrale. Sans l’universalisme chrétien, Israël s’enferme dans un nationalisme ethnique et ségrégationniste qui trouve sa légitimité rationnelle dans le déséquilibre démographique. Sans le nationalisme juif, la France s’abîme dans la sortie de l’Histoire d’une nation millénaire dépossédée de son État, de son passé, de ses racines, de son territoire même, au nom de la religion abstraite et aveugle des droits de l’homme.

Zemmour est un juif pour qui le monde tourne autour des juifs. Cela n’a rien d’exceptionnel, tous les juifs pensent ainsi. Zemmour projette son sémitisme rabbinique sur la France comme Bernard-Henri Lévy projette son cosmopolitisme sur la France, la ligne de démarcation entre les deux se situant sur leur divergence quant à la meilleure stratégie tribale à adopter pour sécuriser les intérêts de la race juive en France.

Les goyim font grand cas de ces querelles récentes entre juifs de premier plan. C’est parce qu’ils ne connaissent rien des juifs. Ces affrontements intra communautaires sont permanents, en France comme en Israël, et mettent aux prises des factions juives sur des points de détail. S’ils débordent actuellement sur la place publique, c’est parce que la ligne de Zemmour correspond à une lutte interne entre l’établissement juif au pouvoir en France depuis 1945 et les partisans du Likoud.

Goldnadel lorgne depuis longtemps sur la présidence du CRIF, sans succès jusqu’à présent, et ce n’est pas pour plaire à Kalifat.

En cas de victoire de Zemmour, tous ces juifs savent que les musulmans seraient déchaînés contre eux et que l’équilibre précaire actuel volerait en éclat. Or, toute la stratégie raciale juive jusqu’à présent consistait à alimenter la rage arabe contre les Blancs grâce à leurs médias et associations antiracistes. Cette politique a fini par retomber sur les têtes de ces hébreux et les juifs coalisés autour de Zemmour répondent à leurs congénères du CRIF et de la LICRA qu’une absence de changement de stratégie ne ferait que renforcer les musulmans au fil du temps.

A aucun moment dans cette équation le sort des Blancs ne traverse la cervelle de ces juifs qui d’ailleurs mangent tous les uns chez les autres le samedi.

Le revirement actuel est parfaitement banal, identique en cela à ce qu’il se passait en permanence dans l’Espagne occupée par les mahométans, les juifs ayant passé huit siècles à jouer un camp contre l’autre, en fonction du rapport de force du moment. Les tenants de l’ancienne stratégie s’opposent à ceux qui défendent la nouvelle. Demain ce sera l’inverse.

Le juif, lui, ne change pas.

D’après vous, que se passerait-il si demain Zemmour devenait président de la république ? Vous croyez que Korsia ou Kalifat l’insulteraient ou qu’ils s’empresseraient d’aller le voir à l’Elysée pour le féliciter et proposer une étroite coopération pour la plus grande gloire d’Israël ?

Ce que Mélenchon dit de Zemmour est factuel, comme il est factuel de dire que c’est parce que le CRIF, la LICRA, l’UEJF et la DILCRAH sont composés de juifs que ces organisations suivent leur politique d’agitation raciale.

Mais la juiverie est si puissante en France que remarquer que Zemmour est juif et agit en tant que juif suffit à être frappé d’interdit, même si tout le monde sait qu’il agit en tant que juif.

C’est la vieille règle édictée par le kahal: tous les goyim doivent savoir que les juifs dominent, aucun goy ne doit dire que les juifs dominent.

C’est la seule véritable vertu de la candidature de Zemmour : plus le juif se place sous la lumière des projecteurs, plus l’antisémitisme progresse.

Il n’y aura pas d’antisémitisme limité à Zemmour. L’incendie antisémite se propagera rapidement à tout le dispositif juif en France.

C’est la beauté de la chose : peu importe ce que fait le juif pour perdre les goyim, tout finit toujours par lui retomber dessus.

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