Mélenchon dénonce la juiverie organisée du CRIF lié aux « lobbys financiers »

Le Libre panzer
Démocratie Participative
14 décembre 2019

C’est au moins un des rares effets bénéfiques de l’islamisation par la beurette : la haine du juif.

Mélenchon semble devenir de plus en plus indisposé par les ambitions délirantes des juifs en France. Un peu moins par celles des mahométans, il est vrai.

Le Point :

Le dirigeant LFI Jean-Luc Mélenchon s’en est pris vendredi au Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) dans un post de blog commentant la défaite historique du travailliste Jeremy Corbyn aux élections britanniques.

« Retraite à points, Europe allemande et néolibérale, capitalisme vert, génuflexion devant les ukases arrogants des communautaristes du CRIF : c’est non », écrit M. Mélenchon.

Interrogé par l’AFP sur cette réflexion concluant le texte, l’entourage de M. Mélenchon a affirmé que ce dernier voulait dire qu’il ne se laisserait « pas influencer par des lobbys quels qu’ils soient, financiers ou communautaristes« .

« Lobby », « financiers », « communautaristes ».

Un ukaze, ou oukase (du mot russe signifiant « ordre ») est selon le dictionnaire Larousse « une décision autoritaire arbitraire et sans appel ».

Selon Jean-Luc Mélenchon, le chef du Labour (parti travailliste) « a dû subir sans secours la grossière accusation d’antisémitisme à travers le grand rabbin d’Angleterre et les divers réseaux d’influence du Likoud » le parti de droite du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu: « Au lieu de riposter, il a passé son temps à s’excuser et à donner des gages. Dans les deux cas, il a affiché une faiblesse qui a inquiété les secteurs populaires ».

M. Corbyn, dont le parti a été lourdement défait jeudi par les conservateurs du Premier ministre britannique Boris Johnson, se voit reprocher depuis plusieurs années d’avoir laissé prospérer l’antisémitisme au sein du Labour. Le mois dernier, le grand rabbin britannique Ephraim Mirvis avait dénoncé le « nouveau poison – approuvé par la direction », qui « s’est enraciné au sein du parti travailliste ».

C’est exact.

Corbyn a passé son temps à ramper devant les juifs qui utilisent le mythe de l’Holocauste pour extorquer ce qu’ils veulent des goyim assez stupides pour y croire.

Corbyn ne fait pas exception, peu importe sa passion sincère pour les mahométans antisionistes du Hamas ou du Hezbollah.

Cette passion trouve sa source dans la haine de soi sans limite qui sert d’idée force à la gauche blanche, si bien qu’un rabbin parviendra toujours à faire culpabiliser un idiot communiste qui adhère au concept bizarre des chambres à insecticide d’Adolf Hitler.

Le revers du Labour « doit servir de leçon », écrit encore M. Mélenchon, selon qui « Corbyn a passé son temps à se faire insulter et tirer dans le dos par une poignée de députés blairistes. Au lieu de riposter, il a composé.« 

Selon lui, M. Corbyn aurait plutôt dû « refondre totalement » son parti « au lieu de composer avec lui ». « Construire son raisonnement politique en fonction des points d’équilibre interne, c’est se tromper à coup sûr ».

Le virage marxiste de Corbyn n’était pas de nature à changer la donne électorale, encore moins s’il l’avait pleinement assumé. Surtout dans un état bourgeois comme la Grande-Bretagne.

Le problème vient d’ailleurs : la gauche ethno-masochiste blanche ne parvient pas à se défaire de son amour immodéré pour les populations marron, ce qui converge avec les ambitions du grand patronat et de la finance anglaise.

Il faut dire que socialistes et métèques partagent un même amour parasitaire pour l’argent des contribuables blancs.

Si Corbyn avait adopté un discours anti-immigration dur, s’il affichait un amour sincère du peuple anglais, il aurait très probablement gagné des millions d’électeurs issus de la classe ouvrière blanche qui voient dans le Brexit et le quart de juif Johnson une sorte de rempart, de protection.

Il aurait été aisé de montrer que Johnson est un escroc à la botte de la City en rappelant qu’il prépare la régularisation d’un demi-million de pakistanais, d’afghans ou de nègres.

La gauche n’a pas d’avenir car elle prétend obtenir les voix du prolétariat blanc tout en crachant son venin antiblanc matin, midi et soir.

Son internationalisme n’est rien d’autre que la haine du peuple autochtone. Le ressentiment individualiste, petit-bourgeois du trotskisme urbain a radicalement coupé la gauche du petit peuple percuté par l’immigration du tiers-monde voulue par la finance juive.

De toute façon, cette île maudite n’a jamais apporté que le malheur en Europe depuis qu’elle est constituée en état. Il n’y a pas une conjuration dans laquelle elle n’ait pas apporté son concours, un gouvernement dans lequel infiltrer des banquiers juifs.

Pour autant que l’Angleterre est concernée, sa disparition est la seule évolution positive qu’on puisse en attendre. Active, elle servira de cheval de Troie aux juifs comme elle vient de l’illustrer si spectaculairement contre Corbyn.