Masque « mal mis » : le colonel de gendarmerie Nasser Boualam justifie les enlèvements de citoyens blancs sous prétexte sanitaire

Captain Harlock
Démocratie Participative
23 août 2020

La Gendarmerie française et ses officiers maghrébins tiennent à vous rappeler que le gouvernement est désormais libre de vous arrêter sous n’importe quel prétexte.

Nice-Matin :

Le colonel Nasser Boualam, patron des gendarmes des Alpes-Maritimes, apporte son soutien plein et entier aux militaires qui ont interpellé l’employé du Carrefour Contact de Breil-sur-Roya mercredi.

« Le chef de patrouille a demandé à trois reprises au salarié de l’établissement de mettre son masque alors qu’il l’avait, non pas sous le nez, mais sous le menton, a expliqué le colonel Boualam. Il a refusé et a insulté les militaire qui, de nouveau, lui ont demandé de mettre son masque correctement et de se calmer. Ce Monsieur ne se calmant pas, le chef de patrouille lui a demandé de le suivre. Pendant sa garde à vue, il a intégralement reconnu les faits et admis lui-même que l’action des gendarmes était légitime et sans violence.« 

Lol.

Je suis convaincu que ces « aveux » sont sincères et nullement le fruit de menaces.

L’employé récalcitrant est sorti de la gendarmerie après avoir été verbalisé et convoqué au tribunal pour un rappel à la loi. « Je lis beaucoup de commentaires au sujet de cette vidéo qui sont faux. Mes gendarmes ont agi avec mesure et sang-froid. La responsable du magasin dit des bêtises et se trouve en infraction puisqu’elle n’a pas respecté les obligations qui lui incombent. Je voudrais qu’il y ait un peu plus de retenue et de mesure dans les commentaires. L’action des forces de l’ordre est une fois de plus mise en cause alors que nous contrôlons régulièrement les établissements recevant du public pour protéger la population et pour éviter une nouvelle vague épidémique. »

Imaginez un seul instant que cette action de terreur psychologique digne du NKVD soviétique n’ait jamais été filmée : personne n’aurait jamais su qu’un homme avait été enlevé par le gouvernement au prétexte d’un masque mal placé. A l’évidence, l’Etat-Parti cherche à tester la mise en place d’enlèvements politiques dans un pays où les allogènes ont le feu vert gouvernemental pour s’en prendre à la population.

Si on peut enlever un homme au prétexte d’un masque « mal mis », n’importe qui peut être arrêté n’importe quand. Il suffira à l’Etat d’invoquer un « risque sanitaire ». C’est également ainsi qu’il faut interpréter les hospitalisations de personnes positives au Covid19 ces derniers mois qui se sont terminées par leur décès sans que leurs familles puissent les visiter durant leur « agonie » supposée. Il a été admis que nombre de ces gens ont été activement euthanasié par un cocktail létal. Quand des juifs ont été menacés de subir ce sort par inadvertance dans les hôpitaux parisiens, Meyer Habib a demandé une dérogation.

Tout le dispositif bolcheviste est en place : on peut se saisir de vous, vous tenir au secret pour motif de « quarantaine », vous hospitaliser pour vous injecter une dose létale de rivotril sans qu’aucun proche ne puisse vous voir. Vos obsèques ont lieu en petit comité, sans autopsie. Les autorités n’ont aucune explication à fournir. Grâce à des officiers politiques de la « diversité », la police politique mettra un zèle certain à procéder à l’élimination de Blancs suspects d’insoumission.

L’Etat dispose donc de l’arsenal, il ne lui reste plus qu’à s’en servir. Ce sont les conditions objectives qui en décideront.

La vidéo des faits a renversé la situation, cette fois-ci. Il n’y aura pas toujours de caméras pour témoigner de l’enlèvement d’opposants.

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