Martinique : des femmes blanches et des noirs détruisent la statue classée de Joséphine de Beauharnais

Captain Harlock
Démocratie Participative
27 Juillet 2020

 

L’insurrection négro-marxiste s’intensifie en Martinique où une organisation suprémaciste noire a mis ses menaces à exécution après l’expiration d’un ultimatum adressé aux autorités françaises sur place.

Cette statue avait une réelle valeur historique et artistique.

Wikipédia :

Un premier projet d’établissement d’une statue à la mémoire de Joséphine de Beauharnais, née Marie Rose Tascher de la Pagerie, baptisée aux Trois-Îlets le 27 juillet 1763 et impératrice des Français de 1802 à 1809, date de 1837.

Il faut attendre le Second Empire pour voir renaître le projet, lorsque l’empereur Napoléon III lance une souscription en Martinique pour financer le monument et fait un don de 12 000 francs. La première esquisse en plâtre de la statue est montrée le 15 mai 1855 à l’Exposition universelle de Paris. Le sculpteur Vital-Dubray s’inspire d’un buste de l’impératrice réalisé par François Joseph Bosio, que celle-ci avait offert à sa fille la reine Hortense pour sa parfaite ressemblance. L’artiste choisit lui-même en Toscane le marbre de Carrare qui est offert par l’empereur Napoléon III pour réaliser la statue.

Voilà la statue avant l’avènement de la négrocratie.

L’action a été menée par une organisation suprémaciste noire.

France Antilles :

Les militants RVN ont mis leurs menaces à exécution. Ce dimanche matin (26 juillet), présents sur la Savane, à Fort-de-France, ils ont détruit la statue de Joséphine de Beauharnais.

Dans une vidéo mise en ligne sur les réseaux sociaux cette semaine, plusieurs membres du collectif « Rouge-Vert-Noir », avaient mis en demeure le maire de Fort-de-France de « déboulonner » la statue de Joséphine de Beauharnais qui se trouve sur la Savane. Un ultimatum qui a expiré ce dimanche 26 juillet…

En réponse, le maire de Fort-de-France avait indiqué par voie de communiqué qu’il ne céderait à l’injonction de personne. Didier Laguerre avait aussi prévenu qu’il saurait « prendre ses responsabilités, à chaque fois que des destructions seront opérées dans l’espace public de la Ville ».

Plusieurs militants de la mouvance RVN ou encore de MUN, après avoir tagué l’édifice ont donc mis leurs menaces à exécution.

Mais il n’y a pas que des nègres derrière cette nouvelle fièvre iconoclaste.

Les femmes blanches que l’on retrouve dans les manifestations de ce type ont inventé une nouvelle forme de mouvement terroriste international dont le but est l’accès illimité au pénis noir.

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