Marion Maréchal invite une négresse à face d’ewok pour prouver à la presse juive qu’elle est antiraciste

Captain Harlock
Démocratie Participative
22 septembre 2019

Le visage de la résistance à l’immigration en France : Candace Owens

Avec cette république juive sur les reins, vient son inévitable poison : la partitocratie.

Cette foire est le lieu de toutes les surenchères, de toutes les compromissions.

Le plus puissant moyen dont disposent la finance internationale et sa bourgeoisie pour nous engluer indéfiniment dans le marasme.

La traînée des juifs Marion Maréchal, après avoir craché sur sa base catholique pour sauver l’honneur de Soros et courtisé la théocratie israélienne, tente quelque chose de très, très nouveau : le patriotisme café-au-lait.

Cette invitation s’ajoute à celle d’Enthoven.

Cette « convention de la droite » totalement mytho ressemble étrangement à ce que pourrait être une convention de la gauche.

La baronnie lepéniste qu’est le FN/RN existe désormais depuis 47 ans – un demi siècle – et elle ne s’est jamais mieux portée qu’au moment où son inutilité politique est pour ainsi dire devenue proverbiale.

Cela n’empêche pas la clique qui vit de ses suffrages de nourrir diverses approches pour élargir ses parts de marchés. Y compris les plus idiotes et les plus viles.

Son aile marron flambant neuve aspire à refaire à l’intérieur de ce parti ce que les gens marron font déjà en France : un lobby racial.

Cela confirme ce que nous disons ici : laissez un centimètre carré d’influence à une de ces blattes d’Afrique ou d’Orient et vous aurez le loisir de voir se constituer dans votre dos une cinquième colonne tribale bien déterminée à réduire votre propre poids au sein de votre propre organisation.

Vous serez surpris de voir qu’après la conquête du dixième centimètre carré d’influence, ces gens vous parleront comme un potentat saoudien à la dernière de ses domestiques des Philippines.

« Mais les nègres et les arabes vont être blancs à notre place ! »

Qu’une blatte soit une blatte n’est pas contre nature. Que des Blancs s’acharnent à croire qu’en se concentrant suffisamment fort, une blatte devienne un lévrier pose vraiment question.

Des questions d’ordre psychiatrique.

Les gens de notre race qui nourrissent ce type d’obsessions sont si triqués par les juifs qu’ils ont désormais besoin de nègres et d’arabes pour prendre la parole à leur place et défendre leurs intérêts.

Dites-moi : si vous n’avez même pas le courage de défendre vos intérêts, pourquoi des nègres ou des arabes s’aventureraient-ils à le faire ?

La seule raison qui peut convaincre des allogènes de le faire est simple : en faire une nouvelle rente ethnique parmi d’autres.

Notre principal problème est constitué par ces Blancs ahuris qui, échec après échec sur la question, nient les déterminismes raciaux. Au point d’en devenir les copies radicales de la LICRA.

Ces gens ont peur. Ils veulent des droits sans avoir à lutter et souffrir pour les obtenir. Ils se transforment en clones des juifs, des maghrébins ou des nègres et se mettent à geindre, à geindre infiniment, comme des victimes, pour qu’on leur accorde ce qu’ils veulent.

Sauf que cela ne marche qu’au détriment des Blancs. Ce que ces gens qui geignent veulent suppose, pour les métèques et les juifs, de renoncer à tout ou partie de leurs gains réalisés sur le dos des Blancs.

Ces parasites versent des larmes de crocodile. Pour eux, c’est simplement la routine. Voir des Blancs pleurnicher ne peut qu’aiguiser davantage leur appétit génocidaire puisque, pour eux, les Blancs sont les pigeons.

Un pigeon qui pleure est un excellent pigeon.

Le bilan de ce type de reptations de la part de la droite antiraciste est d’exciter la haine antiblanche ambiante.

S’il y a bien quelque chose qui est contre-nature chez l’homme blanc, c’est bien de jouer aux pleureuses orientales.

C’est un des résultats désastreux de l’influence ashkéno-séfarade en France.

J’ai l’impression d’avoir à faire à des forcenés qui nient les lois de Newton de notre époque que sont les déterminismes raciaux. Ils en viennent à concevoir une authentique haine des racistes en raison de leur accoutumance à la foirade.

Ces gens refusent de se remettre en cause et finissent par rallier l’ennemi pour sauver la face. Au fond, il n’a jamais été question pour eux de remporter la guerre raciale mais d’être des bourgeois respectés.

Il est temps de dire à ces gens-là que nous ne sommes pas psychologues et que nous n’escomptons pas les accompagner, à nos frais, dans leurs vaines tentatives de mariage de la carpe marron et du lapin blanc.

S’ils aiment les nègres, soit : ils ne sont pas seuls en France. Qu’ils abrègent leurs tourments psychologiques et adhèrent à LREM où ils seront accueillis à bras ouverts. Là, ils pourront se faire saigner la langue à force de discours sur le patriotisme au mafé.

Ce sera mieux pour tout le monde. Surtout pour nos nerfs qui sont déjà tellement sollicités.

Le patriotisme marron n’est pas le vôtre

Le vote des métèques pour le RN ne me gène pas pour une raison assez simple : en dépit de 40 ans d’efforts, ça n’existe pas, ça n’a jamais existé et ça n’existera jamais.

Je n’ai donc aucune raison de m’énerver à propos de cette licorne.

Les bougnoules et les nègres sont peut-être stupides mais pas au point de voter pour autre chose que pour les partis qui les ont si grassement gavé au détriment du fruit du travail des travailleurs blancs.

C’est qu’à la différence de la droite antiraciste qui essaie de nous convaincre de flatter nos ennemis, les métèques votent exclusivement pour leurs intérêts raciaux.

Il y a bien des nègres et des maghrébins patriotes. Probablement même des roms patriotes. Ces gens naissent avec le patriotisme chevillé au corps. Il se trouve également que ce patriotisme inné est conditionné par la haine fanatique de l’homme blanc, aujourd’hui comme il y a 1000 ans et comme ce sera encore le cas dans 10,000 ans.

La seule façon pour le RN de parvenir à mitiger marginalement cette réalité biologique et ses conséquences électorales serait, si par extraordinaire il parvenait au pouvoir, d’arroser ces métèques d’argent blanc.

N’importe qui sait que l’électorat RN vote précisément pour l’inverse.

Et l’évolution démographique interdit au RN toute victoire.

C’est donc le poisson qui se mord la queue : pas de vote métèque pour le RN sans que le RN n’arrose de pognon ces étrangers, pas moyen d’arroser ces étrangers de pognon sans arriver au pouvoir.

Alors, pourquoi ce genre de débats ?

Ce type de discussions n’a en réalité pour but que de neutraliser, au sein même de ce parti théoriquement anti-immigration, une zone d’exclusion aérienne où peuvent prospérer ces parasites afro-maghrébins et recommencer le petit jeu qu’ils ont déjà mené avec succès dans les autres partis.

La constitution d’un lobby métèque au sein du RN ne peut avoir pour seule évolution concrète qu’une confrontation interethnique en son sein.

Que cela se déroule au sein du RN, aux yeux de tous, démontre le degré de pourrissement racial qui y prévaut.

Ce n’est pas un scoop.

En pareil cas, vous avez toujours des gens qui viennent vendre leur billard antifa à 18 bandes et expliquer que 2 et 2 font 5 mais que, bien entendu, ça fera 4 à une date ultérieure. En attendant, nous sommes priés de croire que ça fait 5 voire 6, si d’autres instructions en ce sens nous sont communiquées.

Pour ma part, je préfère élaborer sur la base de la réalité et non pas sur les combinaisons foireuses de gens foireux, agenouillés devant des juifs et des nègres, qui proclament que ce que nous avons sous les yeux n’existe pas vraiment.

Je ne peux pas empêcher des naïfs ou des crétins d’être pigeonnés s’ils y tiennent absolument. En revanche, rien ne m’y oblige.

Et, croyez-le ou non, j’ai encore en moi un soupçon de ce qu’on appelle la dignité et qui m’interdit de négocier les conditions de ma disparition avec des métèques puants et arrogants qui prétendent me dire comment me comporter sur la terre de mes ancêtres.

En somme, je compte bien appliquer à ces envahisseurs ce qu’ils nous appliquent déjà depuis trop longtemps.