Marion Auque dit qu’il faut parler d’islam

La rédaction
Démocratie Participative
15 mars 2023

 

Marion Auque a besoin de se remettre les cheveux sur l’épaule pendant qu’elle se concentre sur des questions sérieuses.

« La grande question historique »

« En tant que femme »

La bonne nouvelle, c’est que l’âge remplit toujours la même fonction : rappeler aux simps que les dindes autour desquelles ils orbitent ont une date de péremption.

Plus Marion Auque vieillit, plus les hommes sollicitent leur ouïe à la place de leur vue et prêtent attention à ce qu’elle raconte, quelque chose d’impossible à obtenir en dessous de 29 ans.

Et là, à 34 ans, ça commence à peiner.

Bien sûr Arthur, mais si Marion Auque se mettait à parler de la question ethno-raciale, du QI et de l’atroce prolifération des Français de Ligue 1 au lieu de ces abstractions abrahamiques à propos du bon et du mauvais dieu oriental, ses souteneurs juifs changeraient brutalement de ton et couperaient immédiatement les financements et les invitations médiatiques. Convaincre une femme de se priver volontairement d’argent et d’attention n’est pas du domaine du possible.

Les juifs marchent sur une corde très mince. Ils doivent utiliser comme rempart la colère des Blancs contre les Musulmans peu malléables que leur politique d’immigration a installé en France sans pour autant réveiller l’instinct de conservation tribal de la population blanche. Cet instinct la ferait réagir d’un bloc contre tous les parasites étrangers, à commencer par les juifs qui sont des immigrés comme les autres.

En divaguant sur le bon et le mauvais islam, la colère des autochtones peut être cantonnée à un espace d’application limitée qui ne remet pas en cause la domination du parasite juif. Typiquement des sujets aussi vitaux que les prénoms portés par les Musulmans ou la longueur de leurs barbes.

Marion Auque monnaye ses services à cette fin et elle sait très bien quelle main elle ne doit pas mordre. Elle s’insert dans la gestion cosmopolite du troupeau autochtone qui suppose de tolérer l’expression d’une certaine frustration face à l’immigration sans pour autant attaquer les causes de l’immigration : la démocratie judéo-féministe de marché.

En fait, ce qui lui permet encore d’être accueillie à la télé sont ses attaques contre l’islam à domestiquer. Si elle se limitait exclusivement au militantisme anti-anal et anti-travelos, elle serait invisibilisée quasi immédiatement. L’idéologie anale est devenue centrale dans l’organisation du système.

L’islam urticant, c’est très bien pour commencer à faire dévier un drone de son plan de vol préétabli par le système, mais s’y cantonner c’est l’y faire retourner.

Au bout d’un moment, il faut parler de biologie, de QI, de démographie non-blanche, de la dimension génétique de la criminalité, du mythe de l’égalité raciale inscrite dans la religion d’état de l’holocauste et de ces femmes blanches sémitisées qu’on appelle les féministes qui sont obsédées par l’assassinat de leurs bébés.

Seulement voilà, le faire, c’est prendre des tirs très serrés de DCA par ce régime contrôlé d’une main de fer par la juiverie anti-blanche.

Tout le monde est très occupé, nous n’avons pas de temps à perdre en platitudes énoncées par des femmes blanches sans qualifications professionnelles qui demandent à des simps de payer leur bullshit job en disant des trucs à propos des barbus sur YouTube.

L’islam, c’est de la merde, tout le monde le sait, c’est le consensus.

Est-ce qu’on peut passer à la phase raciste maintenant ou bien on se contente de vivre dans les bantoustans diversitaires assignés par la République à chaque goy ?

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